Dans Le Regne Des Fins De Kant

FREUD, la croyance religieuse a été dénoncée comme contraire à la raison. Pourtant la tradition admet la possibilité d'être à la fois croyant et raisonnab le. DESCARTES assure même donner des preuves rationnelles de l'existence de Dieu. Et aux dires de KANT c’est la raison pratique elle-même qui postule Dieu et l’immortalité de l’âme, fondements de toute croyance religieuse. Ces thèses antagonistes conduisent à s'interroger sur la compatibilité de la raison et de la foi. c. Enjeux : Il est vrai que l'enjeu

qualité nouvelle et inédite : la tolérance. Turgot plaide pour elle, Malesherbes la défend et Voltaire en est le héros. Le goût du plaisir, la science, le progrès, la tolérance, la critique sociale, tout va dans le même sens et mène ce siècle du règne de Louis XIV à la Révolution. Cette dernière est aux antipodes de la monarchie absolue. L'ordre se fissure alors peu à peu, l'autorité se dissout, la religion s'affaisse. La Révolution est l'héritière des philosophes éclairés par les lumières, c'est

réel renouveau culturel. On définira donc l'Humanisme comme étant le renouveau de l'Antiquité ; de la nature humaine. Autrement, il s'agit du renouveau de la pensée religieuse. 1) L'essor culturel de la Cour de FranceUn mouvement amorcé sous le règne de Charles V (prénommé aussi « Le Sage »). On donne une importance primordial à la culture au sein du gouvernement sans compter l'apparition de la « librairie royale » avec 1150 ouvrages. Charles V va faire d'ailleurs traduire les textes d'Aristote

 843,  il   va  se  disloquer  car  le  roi  partagait  l’empire  avec  les  héri8és.   Trois  royaumes  donc,  et  la  couronne  impérial  va  passer  sur  celui  qui  règne  sur  l’Allemagne,   au  souverain  allemand. En  962  et  jusqu’en  1806,  on  va  appellé  ça  le  saint  empire  romain  germanique. Ces  empereurs  vont  reconnaite  l’aspect

de l'Allemagne de l'époque ), ne semble pas prendre conscience de cette lacune gênante. Nietzsche nous cite Goethe écrivant que les Allemands ne sont que des barbares sans véritable culture42. Mais parmi cette élite allemande mentionnée plus haut règne au contraire une autosatisfaction, une joie triomphale depuis la dernière guerre contre la France. Il s'agit là d'un contraste qui saute aux yeux pour Nietzsche. Quelle sorte d'hommes est devenue assez puissante pour pouvoir empêcher que les sentiments

l'inverse n'est pas vrai : tout système coopératif n'est pas une organisation. Des amis qui se réunissent ensemble pour jouer au football constituent un système coopératif ; les employés d'une firme sont les agents d'une organisation dont la structure, les fins et le système des rôles et statuts ont été prédéterminés et dans laquelle ils s'insèrent. Le problème des organisations, pour Barnard, est de constituer un système, c'est-à-dire de réaliser l'intégration de ses membres, et de parvenir à la meilleure

- educare : nourrir - eduquere : conduire • L'intention éducative est la pratique pour nourrir le sujet en vue d'un certain but, type d'idéal. Cela inclut ou non la réflexion. Il y a réflexion quand cette pratique échoue: pertinence des moyens, fins visées, révisions des buts, quelle méthode adopter,... Cela amène une attitude critique.  / pGXFDWLRQ " L'éducation est un processus pratique, une activité délibérée ou non. C'est aussi le résultat d'un processus éducatif. La notion de pédagogie

elle, en somme, qui a suscité Socrate. De la même façon, le Pragmatisme peut servir aujourd'hui à tirer la pensée philosophique de ce nouveau « sommeil dogmatique » où elle tend à s'endormir depuis la secousse que lui avait imprimée la critique de Kant. Son avantage est, comme il a été dit, de mettre en lumière les faiblesses du Rationalisme ancien. Celui-ci doit se rénover pour satisfaire aux exigences de la pensée moderne et rendre compte de certains points de vue nouveaux introduits -par la science

théologico politique, les normes qui valent dans cet espace ne pourront plus chercher leur détermination dans le religieux. On va essayer de déterminer des règles de co-existence commune en cessant de chercher du côté de la raison de la force. Kant est l’auteur par excellence de l’autonomie. « Réponse à la question : qu’est-ce que les Lumières ? » (fin du XVIIIe, 20 pages). À lire au cours de l’année. Pour lui c’est le passage à l’autonomie. Il définit les Lumières comme la sortie de l’Homme

une nouvelle génération reprend l’activité de l’ancienne pour une part et la modifie pour une autre part. Le risque avec l’histoire est de penser que l’histoire à venir est le but de l’histoire passée, grâce à quoi l’histoire se voit assigner des fins particulières. Cependant le cours de l’histoire mène vers une histoire mondiale (à l’instar de la production) La libération de chaque individu ne se réalisera qu’à ce moment-là. Le moteur de l’histoire, de la religion ainsi que de la philosophie ce