Dans Quelle Mesure Le Réel Y Prend Il Néanmoins Une Dimension Symbolique

permanence de l’information : - MCT : capacité de stockage limitée et oubli, effacement rapide - MLT : capacité de stockage illimitée et oubli moins rapide, le stockage pouvant s’étaler sur plusieurs années voire indéfiniment. Cependant, dans la mesure où cette mémoire qubit un flux continu d’informations, elle ne s’établit qu’au prix d’une perpétuelle réorganisation des traces mnésiques 2. Le passage de la MCT à un état stable de stockage à long terme et à son organisation

les principes d’utilité et d’économie (maximisation). PRINCIPE D’UTILITE L’utilité d’une action selon BENTHAM, c’est pour chaque être humain le surcroît de jouissance que cette action procure, qu’il s’agisse de biens matériels ou de biens symboliques. Le principe d’utilité est un principe qui se pose, lui, au niveau social et il veut qu’on choisisse des actions susceptibles de créer un surcroît de jouissance pour le plus grand nombre d’individus. Le problème politique qui est posé selon

l’envie. On ne pourra jamais dire à quoi ça fait référence si on n’a pas le contexte. Ça part de l’index. La fonction de référence dépend toujours du contexte. Le langage animal est toujours au niveau iconique ou indexical, mais jamais au niveau symbolique. Signifiant sur signifié (le contraire de Saussure). Les flèches sont supprimée car pas de lien stables entre signifiant et signifié. Le sujet 3 façons de comprendre le sujet de l’inconscient : 1. LE SUJET DE L’INCONSCIENT (LACAN)

compréhensive et explicative : Pour Weber il y a 3 dimensions dans l’action sociale : Comportement humain mais doté d’un sens subjectif => quel sens donnent les individus à leur comportement. Comportement humain qui suppose la coordination d’opérations mentales ou musculaires par un individu. Orientée par rapport à autrui : cadre de la relation intersubjective. L’idéaltype : C’est un outil (un type idéal) : ce n’est pas un reflet du réel mais une image mentale pour essayer d’élaborer des hypothèses

entre « game » (jeu défini par des règles qui en ordonnent le cours) et « play » (jeu qui se déploie librement). 2. Quels jeux pour l’enfant ? • Piaget a établit une classification génétique en 3 stades : - les jeux d’exercices (2 ans), - les jeux symboliques (se mettre à la place de… faire comme si…), - les jeux à règles (5-6 ans). Jean Château, L'enfant et le jeu, Scarabée, 1967. Jean-Claude Arfouilloux, L'entretien avec l'enfant. L'approche de l'enfant à travers le dialogue, le jeu et le dessin

Public, constituent en réalité la condition de fonctionnement de la démocratie de masse. Le concept de communication politique, pour sa part, est confronté à deux limites : d’une part les rapports entre expression et action ; la part croissante que prend la logique représentative comme moyen de réguler les flots de communication nombreux et hétérogènes d’autre part. Ces deux limites sont directement liées au concept d’égalité des opinions au sein de la communication politique. Il est évident que sans

particulière : il va être mis en œuvre un certain nombre de muscles du visage. Ekman a identifié 54 mouvements musculaires du visage qui correspondaient à ces émotions primaires. Il y a bien sûr des différences individuelles entre les expressions mais néanmoins, il y a des traits qui sont transversaux et prototypiques de chaque expression. Plus nous utilisons le non-verbal (l’expression émotionnelle physique faciale) pour exprimer nos émotions, moins nos changements physiologiques sont importants.

cherche à vivre sa vie comme s'il la racontait ». (Sartre). Ces récits ont plusieurs fonctions dans la société. L'une d'elles consiste à réaliser en imagination les désirs impassibles à satisfaire dans la réalité ; l'autre consiste à donner un sens au réel,-à diffuser une Vision du monde et, avec elle, des modèles de conduite. Dans l'Antiquités la distinction entre récit véridique et récit fictif est confuse, et ne s'inscrit pas toujours dans des genres littéraires définis. Elle ne devient rigoureuse

souligner ce qu'il a d'original. On s'attachera à montrer comment la description anecdotique d'un cadre banal plutôt réaliste et inhospitalier et de ses habitants sans relief, conformistes et prosaïques, se charge progressivement d'une valeur symbolique : ce qui se joue à Oran se joue aussi au quotidien dans nos propres existences, il s'agit d'un miroir de notre propre condition humaine absurde. Support : p11/12 du début à « le hasard des cartes. » Questions préparatoires : ✗ Comment est décrite

est barbare », mettant ainsi en lumière que les arts ne pouvaient pas réellement évoquer un évènement aussi inhumain que la Shoah. Néanmoins, ces créations ne peuvent–elles vraiment pas dépeindre ou aborder un tel évènement ? Au-delà, considérer que l’art ne peut véritablement évoquer la Shoah n’enferme-t-il pas celui-ci dans la représentation d’une seule vision du réel ? L’art sur la Shoah est en tout premier lieu la production d’un artiste, une représentation qui dépend de l’expérience de cet artiste