Dans Tout Amour N Aime T On Que Soi Même

Le passage présenté se situe à la fin de la scène 5 de l’acte II, qui voit Phèdre et Hippolyte se rencontrer suite à l’annonce de la mort de Thésée. Hippolyte vient de déclarer sa flamme à son amour, Aricie, et Phèdre dans l’extrait lui avoue sa passion. L’extrait constitue l’aveu terrible de Phèdre par une tirade, et marque un rebondissement dans le drame de la pièce. (présentation de l’extraitcruel » est employé trois fois v. 671 v. 681 v. 684. → Phèdre essaye de trouver des excuses sans y arriver

des dogmes religieux), "Un épouseur à toutes mains ». Sganarelle désapprouve le comportement de son maître mais il ne peut le quitter, il est lié à DJ (cf. la dernière réplique de la pièce) 2/ Dom Juan est poursuivi par Elvire et ses deux frère Dom Carlos et Dom Louis pour une question d'honneur : ils veulent comprendre pourquoi il a quitté Elvire, précédemment enlevé d’un couvent par ce dernier car il l'aimait. On retrouve ici l'unité de péri l: Dom Juan tout au long de l’œuvre est en fuite. Après

évoquent leurs émotions, le mal qu'ils subissent par l'amour. Ces poètes nous font partager leur peine, leur haine. Ils apaisent leur douleur en l'écrivant sous forme de poème. Ils se surpassent. Tout abord pourquoi ai-je choisi ce thème de l'amour pour mon anthologie ? Je trouve que l'amour et tout ce qui si rapporte est intéressant, à mon âge j'accorde une grande importance à cela, puisque souvent les premiers amours ce manifestent dans l'adolescence, et j'ai beaucoup d'intérêts à travailler

mort d´Anne et en même temps l´origine de ma tristesse. La présentation du livre selon Anne  Moi c´est Anne, la dame qui cherche de l´amour, Raymond m´a invité à séjourner avec lui, sa fille et sa maîtresse à la côte d´Azur. L a mère de Cécile était une encienne amie à moi, je peux dire que je suis une femme assez élégante, intelligente, sophistiquée avec beaucoup de principes moraux ce qui donnent l´impression que je suis controllante et indifferente. J´ai beaucoup aimé Raymond malgré sa

La nourrice conseille à Phèdre de se battre pour vivre et d’aimer Hippolyte au grand jour puisque plus rien ne s’oppose à cet amour. Acte II Scène I Aricie avoue à Ismène sa confidente son amour pour Hippolyte ; Ismène lui dit qu’il est déjà à elle et que plus rien désormais ne s’oppose désormais à leur amour puisque Thésée est mort. Scène II Hippolyte avoue son amour a Aricie et lui dit qu’il lui offre Athènes et qu’elle sera enfin libre. Scène III Phèdre cherche à parler à Hippolyte. Scène

envie de revoir ton visage. C'est tout. C'est comme les gens qui retournent dans le village où ils ont passé leur enfance ou dans la maison de leurs parents ou vers n'importe quel endroit qui a marqué leur vie. C'est comme un pèlerinage quoi. Oui exactement, c'est comme un pèlerinage. A croire que ton visage est un endroit qui a marqué ma vie. Le temps peut permettre d'effacer certaines douleurs, certains visages, certains sons, certains regards et peut être même certains sentiments. Mais parfois

statue .L’établissement de l’Empire et du code civil (1804) par Napoléon Bonaparte ne permet pas, bien au contraire, d’amélioration du statut de la femme. Nuls droits politiques ou civils ne lui sont accordés. Pourtant bien qu'elle n'ont pas les même droit que les homme le 18e's est le siècle des remise en question . Des femme forte commence a apparaître comme Olympe de Gouges,qui a pu écrire la Déclaration des droits de la Femme . Dans bel-ami l'auteur ,Maupassant a promu les femme, de façon

autres et de honte de soi-même, on dirait cependant qu’il ne parle pas de lui « On ». Cet homme est le stéréotype du vieux mari jaloux et possessif, qui veut ridiculiser les autres et qui en fait se ridiculise lui-même. On retrouve ce personnage dans beaucoup de comédies classiques. Dans une première partie, Don Ruy Gomez critique les jeunes gens qui, d’après lui, ne savent pas aimer. Il reconnait, au début de l’extrait être jaloux des autres, et honteux de lui-même. Il blâme les jeunes qui

tellement nombreuses qu’il ne se souvient même pas de leurs noms. C’est le Dom Juan de Musset, il est maitre de toutes les stratégies nécessaires pour amadouer les femmes : la douceur, la séduction, le beau-parler: « tout ce qui te plaira, de tout ce qui peut passer sur tes lèvres sans leur ôter ce sourire céleste que je respecte plus que ma vie. » (Lorsqu’il séduit innocemment Rosette la deuxième fois où les deux se baladent dans le jardin) ; et même le latin. Ainsi, pour quelqu’un comme Perdican

s’appuie sur les ressources du langage théâtral pour faire ressortir à la fois le caractère véhément du discours de Don Ruy, mais également, à un second degré, le ridicule. Un discours véhément Ce que Don Ruy reproche aux jeunes hommes, c’est leur amour volage et faux. La métaphore filée de l’oiseau centralise la première partie de la tirade et fait de leur sentiment l’équivalent de la course rapide et éphémère de l’oiseau dans le ciel. Le système verbal régissant ce réquisitoire est éloquent, inscrivant