Danse de caractère

L'histoire des Geïsha : Du Japonais Gei ( Art ) et Sha ( la personne), le nom de cette profession décrit bien son domaine : savoir par leur culture animer une réunion ou un dîner pour plusieurs invités. Leur instruction méthodique de l'art de la danse, du chant ou de poésie destinent ces professionnelles à divertir des personnalités riches et cultivées. L'histoire des Geishas est relativement récente. Apparues vers 1660 à Edo, elles furent rapidement appréciées par leur éducation et leur raffinement

Illusion comique : Acte II, scène 8 et 9 Scène 8 : le discours d'une femme jalouse. Le premier vers commence par une métonymie (Clindor est représenté par un trait de caractère) qui met en avant le caractère supposé par Lise : « L’arrogant » . L'expression « tenir ville gagnée » et familière et repose sur une métaphore guerrière (c'est un cliché pour désigner la séduction). Le discours de Lise souligne son origine sociale : c'est une servante : « c’est pour son nez » Le thème de l'arrogance

l'indifférence et de la moquerie (9-11/12-19-34). => Cet appel à la compassion conduit à un rapprochement du destinataire et du locuteur. 3- Villon, porte-parole - Le poème est structuré par la présence de connecteurs logiques qui révèle son caractère argumentatif. Le discours est moins tourné vers l'intériorité du locuteur qu'ouvert à d'autres destinataires. - Les effets de rapprochement entre locuteurs et destinataires font que Villon apparaît d'abord comme le porte-parole des pendus, puis

principalement sont ceux de l’enfermement, l’angoisse. D – Un rituel démoniaque ? 5 - Comment comprenez-vous la danse des forçats ? Quel est le lien avec le sabbat ? Pour ce faire, relevez le champ lexical du rite démoniaque. Définitions du sabbat : 1 – Par une interprétation malveillante des chrétiens, assemblée nocturnes bruyantes de sorciers et de sorcières au Moyen Age. 2 – Danse, agitation frénétique. Réponses attendues : Mouvement convulsif – rires déchirés – haletants – mystérieuses

Commentaire Baudelaire, poète et critique d'art du XIX° siècle a fait basculer la poésie dans la modernité de par ses thèmes et ses images.Le poème « Le serpent qui danse »appartient à la section intitulée « Spleen et Idéal » des Fleurs du mal.Il évoque en neuf quatrains l 'ambivalence de la femme à la fois séductrice et dangereuse.Comment cette ambivalence est- elle suggérée?Le poème fait l'éloge d' une femme aimée qui invite à la rêverie mais il s' agit aussi d'une évocation teintée

« auréole », elle l’ouvre au ciel : « ailes » (= aspect cosmique, céleste)  Pouvoir bénéfique du regard : allitération en [s] = sentiment de bien-être, « danse », «douceur » Synesthésie : « chasseurs des bruits et sources des couleurs » (= le regard de Gala est vivant) Ces yeux reflètent des qualités particulières : La douceur : « rond de danse et de douceur », « ailes couvrant le monde » Le dynamisme soulignée par des verbes et images de mouvement : « fait le tour », « roseau du vent » cette mobilité

2 aspects de tout signe linguistique Signifiant : image acoustique ou graphique qui est en quelque sorte l’empreinte psychique du son ou du mot écrit. Ex : « bœuf » Signifié : l’idée (≠ chose) à laquelle renvoie le signifiant « bœuf » Idée : caractère commun à un ensemble de réalités particulières données. Il existe plusieurs signifiants pour un signifié (≠langue) L’idée d’une chose est dans tous les hommes, mais on l’exprime différemment. Le lien signifié-signifiant est arbitraire : c’est

SUJET DU DEVOIR Alors les textes et l'annexe sont: Texte 1: Jean Pic de La Mirandole, De la dignité de l'homme. Texte 2: François Rabelais, Tiers Livre Texte 3: Michel de Montaigne, Essais -->, III, 13. Annexe: Bruegel l'Ancien, La danse des paysans. Les questions sont: 1) Montrez que les réflexions présentées dans ce corpus se veulent universelles. 2) De quelles maniere ces textes font-ils l'éloge de l'être humain? Il faut répondre par une vingtaine de ligne chaque questions. Jules

dans la Gaule et tout le monde celtique. Le druide préfigure au destin du peuple. Le Leprechaun est par définition un être qui se distingue par sa petite taille (90 cm). Trapu, vêtu de vert et d’un tablier de cordonnier. Le Leprechaun est d’un caractère assez bougon, qui abuse souvent du dudeens (une liqueur de leur fabrication) et de sa pipe qui lui permet de fumer on ne sait quelle herbe. On pourrait dire que le Leprechaun est un être solitaire, et associable, dont la mauvaise humeur caractéristique

(indifférenciation et homogénéisation).(Enriquez, E., 2003)IV. Les institutions et leur caractère paradoxalPulsion de vieau service de la mortPulsion de mortau service des processus vivantsPulsion de vieLiaison et CréationEmpêche la reconnaissance de l’altéritéProcessus mortifèresPulsion de mortRéduit les tensionsAccroît l’entropieProvoque des émotions disruptivesProcessus vivantsIV. Les institutions et leur caractère paradoxalComment la mort est-elle à l’origine des processus vivants ?Niveau individuelAcceptation