Danse Du Diable

amis, bien habillés, qui l’acclamèrent. Ils s’approchèrent, l’embrassèrent et parlèrent du bon vieux temps. Ils firent un excellent parcours de golf et, le soir, au country club, ils dégustèrent un excellent steak et du homard. La femme rencontra le diable, qui est réellement quelqu’un de charmant et elle passa un merveilleux moment à raconter des histoires et à danser. Elle passa un si bon moment qu’avant de s’en rendre compte, il était temps de partir. Tout le monde lui serra la main, lui dit au revoir

La table verte de Kurt Jooss Introduction Précurseur et créateur de la Tantztheather, Kurt Jooss fonde, entre les deux guerres mondiales La table verte en 1932 sous titrée Danse macabre en 8 tableaux et 16 danseurs, oeuvre prémonitoire de la montée du nazisme et de l’établissement du 3e Reich. La Table verte (en allemand Der Grüne Tisch ), est un ballet de Kurt Jooss, représenté pour la première fois à Paris le 3 juillet 1932, au Théâtre des ChampsÉlysées. Figuration chorégraphique des préparatifs

et représenté comme une sorte de démon ( Le diable, ne désarmant pas, tente encore une fois de reprendre sa proie). B) Les personnages qui sont représentés sur le tableau qui à inspiré Gustave Flaubert pour son conte « Hérodias » sont Salomé la fille de Hérodias et Hérode Philippe et l’autre personne qui a la tête coupé est Jean Baptiste. Le tableau est exactement descriptif car dans le conte Hérodias, Gustave Flaubert nous parle d’une femme qui danse et donne l’ordre de faire couper la tête

La danse romaine : I. La danse à Rome a) La danse guerrière Nous allons commencer par la danse à Rome, et plus particulièrement la danse guerrière : La danse en armes a été introduite à Rome par un roi étrusque Numa (VIIIe-VIIe siècle avant Jésus-Christ). Elle est pratiquée par la confrérie des prêtres Saliens, dont le nom signifie « Sauteurs ». Douze prêtres, portant chacun un bouclier et une lance, accomplissent une procession à travers la cité, lors de la célébration du culte de Mars, le

l'inverse, des auteurs comme Antonin Artaud tentent de retrouver l'identité autonome du théâtre : les mouvements gestuels et la danse seraient les ancêtres du théâtre oriental et occidental. On trouve à l'origine du théâtre toutes sortes de rites et de danses magiques, ayant un rôle religieux, et qui subsistent encore chez certains peuples dits primitifs. L'emploi de la danse d'abord, avec ce qu'elle présente de défi à la temporalité, est à l'origine de la représentation. Certains peuples expriment

est un genre musical et une danse né en Andalousie au 18ème siècle. Le sud de l’Espagne est alors une terre d’exil pour le peuple Gitan qui se mêle aux andalous en échangeant culture et chant et partageant misère, mépris et persécution. Il est associé à l’ethnie gitane par le dictionnaire de l’Académie Royale mais ce n’est pas applicable a son origine. Il est issu d’une tradition vivante remontant à la plus haute antiquité. Ces 3 principaux axes sont : le chant, la danse et la guitare. Certaines personnes

lurons qui auraient envie de courir la chasse-galerie ou le loup-garou, je vous avertis qu’ils font mieux d’aller voir dehors si les chats-huants font le sabbat, car je vais commencer mon histoire en faisant un grand signe de croix pour chasser le diable et ses diablotins. J’en ai eu assez de ces maudits-là, dans mon jeune temps. Pas un homme ne fit mine de sortir : au contraire, tous se rapprochèrent de la cambuse où le cook achevait son préambule et se préparait à raconter une histoire de circonstance

vocale) Œuvres faisant référence aux récits de créations, à la Préhistoire et à l’Antiquité galloromaine : - D.Milhaud, La Création du monde. - I.Stravinski, Le Sacre du printemps. - M. Ravel, Daphnis et Chloé. Arts du spectacle vivant (théâtre, danse) Arts du visuel Arts plastiques, cinéma, photographie, arts numériques Peinture pariétale préhistorique : - Lascaux, grotte Chauvet - Altamira (Espagne) Quelques repères sur le théâtre antique : - architecture du Sculpture antique : théâtre La Vénus

bouleverse la tradition, avant d’étudier la tonalité sarcastique dans le poème. A première lecture, le lecteur a effectivement le sentiment que le jeune Rimbaud imite son illustre prédécesseur François Villon. En témoigne la reprise du thème de la danse macabre, comme dans la « Ballade des Pendus ». Ce dernier est tout de suite évoqué dans le premier quatrain d’octosyllabes du poème : « Au gibet noir, manchot aimable, / Dansent, dansent les paladins, » (vers 1 et 2). L’attention du lecteur est également

Le diable au corp Raymond RADIGUET « Raymond Radiguet partage avec Arthur Rimbaud le terrible privilège d’être un phénomène de lettres françaises », confiait Jean Cocteau en 1952, près de 30 ans après la disparition de celui qu’il avait pris sous sa protection. Phénomène, en effet, que ce Radiguet, étoile filante de la scène artistique et littéraire du Paris de l’immédiat après-guerre : il manifeste la même précocité intellectuelle que son aîné en poésie (il écrit l’essentiel de son premier