Dantès

de Cyrano de Bergerac, qui a inspiré à Edmond Rostand le personnage de Cyrano de Bergerac, a bien existé, et a vécu de 1619 à 1655. Le vrai Cyrano n’était pas d’origine gascogne. Il est né à Paris dans une famille bourgeoise et habita pen- dant son enfance dans la vallée de Chevreuse. Là, il vécut dans une atmosphère campagnarde. Il retourna à Paris à l’âge de dix ans, pour entrer au collège de Beauvais, dont il se moque dans la comédie Le Pédant joué. Jeune homme, il mena une vie

même façon, le père de Baba (dans le film) est mécanicien ; celui de Laye, dans le livre, l’est aussi, mais en même temps que forgeron. Et il peut travailler l’or avec l’aide des génies appropriés, qui apparaissent sous la forme de serpents, pen- dant que le griot accompagne à la kora (sorte de harpe) l'opération qui est magique. La mère de Laye a certains «pouvoirs» qui s'éloignent dans le film, la différence d’époque jouant ; mais on y retrouvera les thèmes de l’or, des serpents, du joueur de

compil´ n’est pas du code directement ex´cutable mais un ensemble d’instruction interpr´tables e e e par la machine virtuelle Java. Java peut ˆtre ex´cut´ sous quasi tous les unix, sous windows, sous e e e macOS, ou dans des syst`mes embarqu´s poss´dant une puce javaOS. e e e Definition : Machine virtuelle : machine logicielle d´finie par un ensemble d’instruction et une mani`re e e d’interpr´ter chaque instruction. e Principe d’ex´cution: e 1. compilation des instruction en byteCodes ou instructions

, δ ) : l’´tat initial est κ(I), qui est bien ´l´ment de P(Q) ; e ee F = {X ⊂ Q, X ∩ F ?∅} est constitu´ des parties poss´dant au e e moins un ´tat final ; e pour tout ensemble X d’´tats de Q et tout caract`re c, δ (X, c) = e e   κ q∈X 22 Complexit´ de la d´terminisation e e Si l’afnd de d´part poss`de n ´tats, notre algorithme conduit ` un algorithme e e e a poss´dant 2n ´tats (mˆme si en r´alit´, on ne conserve que les ´tats e e e e e e accessibles). Le coˆt de la d´terminisation est donc

rimes ? (4 points) Comptez sur votre copie précisément les syllabes des vers 10 et 12. (2 points) Le poème est en alexandrins. Les strophes contiennent des rimes croisées masculines/ féminines ABAB ; CBCB ; DEDE. Ni/ les/ voi/les /au /loin // des/cen/dant /vers /Har/fleur (on prononce voile/-z-au/ loin) Un/ bou/quet /de/ houx /vert /et /de /bru/yère /en /fleur. (pas de diérèse sur bruyère, élision du e) 6. Relevez deux métaphores et une métonymie. (Six points, deux pour chaque) On relève « l’or du

coloniale. Or, ce chef-d'œuvre de la littérature mauricienne apparait en 1926 et ne peut par conséquent être inscrit dans une littérature postcoloniale. Il ne faut pas non plus oublier que le courant postcolonial doit pouvoir trouver ses origines dant la période de colonisation. En effet, ce qu'on pourrait appeler une littérature postcoloniale porte les cicatrices de la colonisation. Elle marque donc l'idée d'une continuité. Selon John Mc Leod, le post-colonial appelle trois tâches d’interprétation

de vue spatial représente justement le rapport qu’entretient le personnage avec le récit. Avec l’utilisation du « je », l’es​pace du nar​ra​teur et du ré​cit se confondent, la troisième personne le positionne dans un es​pace dif​fé​rent et in​dé​pen​dant de ce​lui du ré​cit, en​fin quand le nar​ra​teur est am​bigu il peut être à l’ex​té​rieur du ré​cit soit im​pli​qué dans l’ac​tion à l’image d’un nar​ra​teur-per​son​nage. L’auteur dispose librement de ces approches pour passer d’un point de vue à

détenteurs conserveraient leur titre et leur siège à la Chambre des Lords toute leur vie, mais ni ce titre ni ce siège ne pourrait être transmis à leurs descendants. Cette mesure visait à renforcer la Chambre des Lords en élargissant sa composition, la ren- dant ainsi plus acceptable par ceux qui n’aimaient pas le principe de la pairie héréditaire. Elle avait aussi l’avantage d’offrir une plus grande flexibilité dans la création des pairies, dans la mesure où l’octroi de pai- ries à vie n’avait pas sur la

sensiblement plus �lev� que les autres cr�dits affect�s � court terme car la prime de risque est plus �lev�e. Le taux apparent de l�escompte est souvent sous-estim� et d�pend de la nature des traites qui sont remises aux banquiers. C�est en proc�dant aux diff�rentes simulations que l�on trouvera les produits financiers adapt�s aux besoins de l�entreprise. Le total de la charge financi�re est d�termin� � partir d�une simulation. B. EXEMPLE D�APPLICATION Une entreprise vous demande de pr�voir

quotidien ; l'échec a un effet repoussoir quand on recherche un effet roboratif ; le lecteur souhaite et apprécie la réussite du héros avec lequel il s'est identifié (même quand il est pervers, mauvais : Mme de Merteuil dans Les Liaisons dangereuses, Dantès dans le Comte de Monte Christo : histoire d'une sombre vengeance) b. L'histoire présente une linéarité rassurante : idée d'un destin qui s'accomplit ; tous les efforts du personnage vont dans un sens : le roman devient plus lisible (d'où le malaise