David Hume De L Origine De La Religion

L’Europe des idées de la Renaissance aux Lumières Introduction : aux origines de la pensée européenne Ce qui va nous intéresser c’est la manière dont s’est constitué au fil des siècles et particulièrement pendant l’âge moderne un fond culturel commun, une sorte de patrimoine commun aux européens dont l’influence perdure jusqu’à aujourd’hui. On va essayer de voir comment les européens ont essayé d’ordonner le monde qui les entourait par la pensée. Pour cela ils ont élaboré des théories philosophiques

McCloskey La concurrence et la coopération, p. 37 David Boaz Médecine à but lucratif et incitation à la compassion, p. 44 Tom G. Palmer Partie II : Interaction volontaire et intérêt personnel p. 49 Le paradoxe de la morale, p. 51 Mao Yushi La logique morale de l’égalité et de l’inégalité dans la société de marché, p. 64 Leonid V. Nikonov Adam Smith et le mythe de la cupidité, p. 72 Tom G. Palmer Ayn Rand et le capitalisme : la révolution morale, p. 78 David Kelley 
 Partie III : La production et

exercent ainsi une action dissolvante sur le troc direct. Les économistes font généralement dériver la monnaie des difficultés extérieures auxquelles se heurte le troc une fois qu'il s'est étendu, mais ils oublient alors que ces difficultés ont leur origine dans le développement de la valeur d'échange et, par suite, du travail social en tant que travail général. Par exemple, comme valeurs d'usage, les marchandises ne sont pas divisibles à volonté, ce qu'elles doivent être en tant que valeurs d'échange

| | | |David HUME (1739) | |

du travail. » Le travailleur devient “spécialisé”. Son travail s’appauvrit. C’est la dépossession de Marx. Sur le plan international, Smith montre que la division du travail et des tâches est bon pour la croissance. Paragraphe 3 : DEFINITION DE DAVID RICARDO (ECONOMISTE ANGLAIS/ 1772-1823) « L’économie politique est une recherche au sujet de la répartition du produit de l’industrie entre les classes qui concourent à sa formation. » Il publie cela dans les années 1810. Il va analyser la cause

seconde bille de billard est un | | |événement distinct du mouvement de la première ; il n’y a rien dans l’un qui suggère la plus petite indication | | |sur l’autre. » David Hume. | |cause |Dans un sens général, qui provoque un résultat appelé effet. | |

mit en place par le biais de la « solution finale » ou par les conquêtes. En alléguant cette explication, la seconde guerre mondiale peut alors se déclarer en prenant comme justification cette théorie pour le moins démesurée. Mais quel est son origine? Hitler ne fait que reprendre le terme employé par Friedrich Ratzel à la fin du XIX° siècle qui cherche à unir un pays et à mettre en place une politique coloniale à l'instar de ses voisins français et anglais. Hitler n'acceptait pas d'ailleurs que

principe d’une espérance dans un bonheur futur : « La morale n’est donc pas à proprement parler la doctrine qui nous enseigne comment nous devons nous rendre heureux, mais comment nous devons nous rendre dignes du bonheur. C’est seulement lorsque la religion s’y ajoute, qu’entre en nous l’espérance de participer un jour au bonheur dans la mesure où nous avons essayé de n’en être pas indignes. Quelqu’un est digne de posséder une chose ou un état, quand le fait qu’il la possède est en harmonie avec le

civilisateur et facteur de régression. De plus, d'après la Genèse, le premier état de l'homme, dans le jardin d'Eden, est oisif, et pour l'homme, c'est un idéal. Dans la Bible, la fin de cette utopie est due à la femme (ce qui est le cas dans beaucoup de religion) qui a entraîné l'homme dans sa chute. Leurs punitions seront la souffrance et le travail. Mais il faut rappeler que la Bible dit que ce ne sont pas Adam et Eve les premiers punis, puisqu'il est écrit que Dieu dit à Eve « Le sol sera maudit à cause

généalogie, d'une explication de l'homme comme être entièrement corporel et animal dirigé par des pulsions et des affects qui expliquent ses croyances. Nietzsche est ainsi en ce sens un philosophe de la nature humaine et a pu de ce fait être rapproché de David Hume et de Freud19. La réévaluation des valeurs[modifier] Le second aspect majeur de la pensée de Nietzsche est la réévaluation des valeurs, au premier rang desquelles les valeurs morales et métaphysiques (le bien et le vrai par exemple), qu'il soumet