David Hume Si Tout Homme

Justine DELOYER 3e SDM Année académique 2010-2011 * ------------------------------------------------- Remerciements ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont participé de près ou de loin à l'élaboration de ce travail. ------------------------------------------------- Plus particulièrement: ------------------------------------------------- Madame Elyane ANGENON, infirmière de coordination

revendications des peuples. Comment s’organise l’Europe ? Grâce à l’équilibre européen, qui est un équilibre mécanique, c’est à dire que l’on fait en sorte qu’aucunes puissance ne soit hégémonique, c’est ce que David Hume appelle l’équilibre des puissances (Balance Of Power, d’après Hume). Les élites ont le sentiment qu’ils font partis d’une civilisation commune et européenne. Cette civilisation européenne est quelque chose de très palpable au 19ème siècle. Cette idée va petit à petit se dégrader

suivis pas les anglais, français, hollandais. Ces-derniers ouvrent des comptoirs commerciaux, ne pouvant pas exploiter les mines d'or espagnoles et portugaises. Les espagnols exploitent les mines d'or et d'argent du Mexique, du Pérou, des Antilles, tout cet or va affluer vers l'Europe. Le stock européen de métaux précieux va être multiplié par 8. => Énorme inflation à la fin du XVe. Voir graphique de l'augmentation des prix des céréales. Ouvre aux importations diverses : - Tabac → introduit

entraîner le développement du capitalisme : textes anciens (la torah) ne condamnent pas le prêt à intérêt et les activités bancaires entres juifs et les autres peuples F.Braudel : le capitalisme n’est pas né avec le protestantisme mais bien avant même si apport considérable. Les wébériens répondent que Weber a étudié l’esprit du capitalisme et non pas son système. Les princes et les marchands ont des intérêts communs à partir du 11ème et 12ème siècle => association vertueuse qui ne se fait plus avec

L 521-2 & le référé-liberté ou les PGD. Ne pas confondre la dénomination et le concept (définition in abstracto) => raisonnement par concept d’analyse. De prime abord concept importe Tous les manuels qui traitent des libertés fondamentales comme si l’auteur accédait à l’essence de l’objet sont scientifiquement problématiques. Il s’agit d’une stratégie commune de dénomination qui justifie le principe comme étant fondamental sur le fondement sur des occurrences. Bruno Genevois Art 3 CDH : « Nul

Hume, Dialogues sur la religion naturelle. Introduction Parution : 1779 (3 ans après la † de H.). Cléanthe est le héros : H. n’épouse pas ncsrt la cause de Philon. La religion répond à une inclination, mais il faut un argument « parfaitement formel et régulier » pour prouver que celle-ci diffère de notre inclination à l’anthropomorphisme. La religion naturelle accorde inclination et raison, croyance et argument ; elle satisfait la demande φQ.[1] L’examen φQ doit révéler l’évidence du dessein

de définir la philosophie, c'est déjà philosopher. Tout le monde est un philosophe potentiel : nul besoin de s'appeler Socrate, Platon ou Aristote pour philosopher, seul compte l'amour de la réflexion, de la remise en question et du questionnement. À la différence des sciences humaines, des sciences naturelles et des sciences formelles auxquelles elle a été intimement liée, la philosophie n'a pas d'objets d’étude propre. Elle s’intéresse à tout, mais elle a toutefois une prédilection pour certains

représente la liberté et qu’être libre est effectivement le propre de l’homme. Il est donc capable d’être monstrueux, inhumain, d’aller à l’encontre de sa propre liberté justement parce qu’il est libre. Si l’homme est un être de culture, n’est-il pas aussi « un produit de sa culture » ? Inquiétude : * Si l’homme est le produit de son éducation, n’est-il pas pieds et poings liés à sa culture et donc absolument pas libre ? * Le fait de grandir dans un contexte culturel (une langue, un monde artistique

Qu’est-ce que la problématologie ? Comment le questionnement est-il devenu aujourd’hui le point de départ de la pensée ? On a toujours questionné, le monde, les autres, qui on était, et ce ne sont pas seulement les philosophes qui l’ont fait, mais tout un chacun. Pourtant, on n’a jamais questionné le questionnement lui-même. La plupart de nos activités intellectuelles les plus essentielles ne procèdent-elles pas par interrogation, comme le raisonnement, qui résout par ses conclusions, ou la perception

grandes transformations dans le domaine intellectuel. B) La « révolution » de la lecture et la naissance du public moderne. INTRODUCTION : A l’arrivée du XVIIIème siècle, la religion est omniprésente dans la société et le gouvernement possède tout pouvoir. En effet, il contrôle les esprits, et ce depuis des générations. Ainsi, le peuple est guidé par la religion, et la notion d’individualité n’est pas acquise. Cela s’applique à l’Art et particulièrement au domaine de la littérature. Etant