David Hume

incluant une partie de la Renaissance, le  XVIIe  siècle, et le siècle des Lumières. La philosophie moderne est, d'une part, l'héritière de la pensée antique en bien des points. Les penseurs de l'époque moderne comme  Platon,  Descartes, Leibniz ou Hume, sont en effet loin d'avoir rompu tout lien avec la philosophie des Anciens. Ils les connaissaient parfaitement et leur ont notamment emprunté une partie de leur vocabulaire. Mais, d'autre part, les Modernes ont souvent conçu leur propre travail comme

une personne extérieure pourra dire ce que l’on aura été, d'un point de vue extérieur et rétrospectif. Ainsi il serait possible que quelqu’un nous donne une réponse à la question « qui j’étais ? ». Mais là nous avons le problème de l’exactitude. David Hume nous dit que « l'objet n'est pas le même si l'on change une de ses parties » en effet, comment dire après avoir changer d’ampoule à une lampe, que c’est la même lampe ? De même manière, peut on trouver une réponse exacte à la question « qui suis

sens, les hommes sont coupés du monde. Selon David Hume, toute la connaissance de l’homme est due à l’expérience que l’on fait avec les sens : c’est une vision empiriste. On appelle empirisme l’idée selon laquelle toute la connaissance est fondée sur l’expérience. En ce sens, tous les énoncés sans rapport avec l’expérience n’ont aucune valeur, aucun sens : toutes les théories que l’on fait sans référence à l’empirisme sont vides de sens. Pour David Hume, deux types de connaissances sont accessibles

sensible de leur objet d’étude pour essayer de le comprendre. Ainsi il semblerait légitime d’affirmer que le scientifique qui prétend comprendre le monde qui l’entoure doit d’abord s’en tenir à l’expérience du monde. 2 – L’empirisme de Hume. David Hume (1711-1776), philosophe, économiste et historien, est l'un des plus importants penseurs des Lumières écossaises et est considéré comme l'un des plus grands philosophes et écrivains de langue anglaise. Fondateur de l'empirisme moderne, l'un des

qu'il y est connexion, il faudrait trouver dans la cause la raison d'être de l'effet. L'expérience permet seulement de constater les causes et les effets des événements, elle montre qu'il y a une répétition constante, comme le montre l'empiriste David Hume qui disait : « Toutes les conclusions tirées de l'expérience sont des effets d’accoutumance. Toutes les conclusions tirées de l'expérience supposent que le futur sera semblable au passé ». On parle de l'expérience de la vie, qui permet à un individu

ont fait leurs preuves pour guider nos actions. Cette idée assez proche de celle développée plus tard par Friedrich Hayek est rejetée par Keynes. C'est pour cela qu'il va s'intéresser aux probabilités. En effet, alors que pour Moore comme pour David Hume toute la connaissance probable est fondée sur l'expérience, pour Keynes au contraire les probabilités nous permettent d'appréhender jusqu'à un certain point le futur ou du moins le résultat de nos actions. Par contre, il retient de Moore que la

The earliest proponent of utilitarian theory was David Hume in the mid-1700s (Rachels, 1998). Hume introduced many of the basic concepts of utilitarian theory and he believed morals guided human behavior (Quinton, 1973). Hume’s basic beliefs included a perception that humans are naturally kind (Quinton). According to Quinton, a second belief proposed by Hume was that humans sympathize with others and seek common ground. Jeremy Bentham followed Hume and was the first to formally write down ideas about

exigence ne pourra être en conformité avec le monde réel. La distinction que fait Nietzche entre monde rationnel et monde réel ne conduit pas forcément à remettre en cause toute vérité. Elle renvoie plutôt a une distinction qu'avait déjà établie David Hume entre vérité formelle et vérité matérielle. Mais comprendre et éclairer cette différence suppose d’abord de s'interroger sur les différents usages de la raison raisonnante. Dans le domaine de la connaissance et des sciences général, il existe deux

Economie chez John Locke . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 ´ La Physiocratie ou l’Invention de l’Economie . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 La Philosophie Morale de David Hume . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 Adam Smith : de la Sympathie a l’Echange . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 ` ´ David Ricardo ou la Rupture M´thodologique . . . . . . . . . . . . . . . . 20 e 23 3 Utilitarisme, Utilit´ et Justice Sociale e 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 3.7 Introduction . . . . .

David Hume : auteur du XVIII ème siècle (siècle des lumières). Sa conception du bonheur : il ne faut pas se compliquer la vie. D) La conception du bonheur selon Freud. (Deuxième moitié du XIX) A l’origine médecin, il a voué sa vie à la science. Il est mort juste avant la seconde guerre mondiale et il est le plus connu des psychologues au programme, le plus célèbre. Freud développe une conception que l’on peut qualifier de pessimiste : En effet, sa thèse est qu’il peut y avoir un conflit