De architectura

plus en plus connu. Leonard de Vinci la cite plusieurs fois dans ses travaux au XVIe siècle. Mais c’est Cesariano, un de ses élèves, qui va livrer la première description de l’appareil dans une note ajoutée à une réédition du célèbre traité De Architectura de Vitruve en 1521. Pour la première fois, la camera obscura est décrite précisément dans un ouvrage publié. Mais c’est grâce aux explications très développées de Battista della Porta dans la deuxième moitié du XVIe siècle que la camera obscura

de cette vie théâtrale : quelques monuments plus ou moins bien conservés, des pièces (en nombre infime au regard de l'extraordinaire activité dramatique des auteurs latins), quelques écrits théoriques (comme Vitruve, qui, dans le livre V du De Architectura traite des endroits propices à la construction des théâtres, de leur architecture et de leur acoustique). Comme le prouve la programmation actuelle des saisons théâtrales, le répertoire antique et surtout grec n'a jamais cessé d’être joué, parfois

[25] Cf. Mauro Cristofani, La scrittua e i documenti, in La grande roma dei Tarquini, p. 17 [26] Il suffit pour cela de comparer la structure architecturale du temple de Jupiter Capitolin avec celle des temples étrusques. Cf. Mauro Cristofani, Architectura e produzione figurativa, in La grande Roma dei Tarquini, p. 133 [27] Cf. Domenico Musti, La tradizione storica e i documenti, in La grande Roma dei Tarquini, p. 9

d'un placage de marbre coloré, qui, à la cheville accordinf-trous, couvert les murs de la claire-voie aux fenêtres. En favorisant l'édifice rond-plan pour un bâtiment central-plan avec un déambulatoire, en employant la décoration traditionnelle architectura pour accentuer l'articulation de l'intérieur, a, d, enfin en utilisant des éléments de décoration traditionnelle aux côtés de motifs chrétiens, le mausolée de Constantina est une manifestation impressionnante du bouleversement social et culturel

dessiné par Léonard de Vinci. | Léonard fera à cette époque des oeuvres remarquables comme "La Dame à l'hermine" (1490), le portrait favori du duc de Milan. Il réalisera également "L'homme de Vitruve" (1492) qui illustre un passage du livre "De Architectura" de Vitruve (Marcus Vitruvius Pollo, 1er siècle av. JC) que la Renaissance a réédité et adulé. Ce croquis illustrera le traité "De divina Proportione" de Luca Pacioli paru en 1496 et est exposé à la Galleria dell'Accademia de Venise. A la demande

Nantes (fin des guerres de religion) 1598 Olivier de Serres, Théâtre d’Agriculture (1600) 5 L’ARCHITECTE ET SON METIERL’ARCHITECTE ET SON METIERL’ARCHITECTE ET SON METIERL’ARCHITECTE ET SON METIER Architecte : issu du mot latin "architectura", il est lui-même tiré du grec "arkhitektôn" qui signifie « maître charpentier » . Il désigne aujourd’hui celui qui conçoit l’édifice, exécute les plans et élévations, établit les devis et dirige le chantier. Il est le maître d'œuvre. Au Moyen-Age

Haute Renaissance - Réflexion théorique: traités d’architecture largement diffusés L'architecture de la Renaissance Au XVe siècle, les traités d'architecture se multiplient grâce à l'imprimerie. Ils s'inspirent de l'ouvrage de Vitruve, De architectura. C'est dans la Florence de cette époque que se lit la rupture avec les traditions médiévales. Les principaux noms de l'architecture sont alors Léonard de Vinci et Andrea Palladio. L'architecte sort de l'anonymat (on connaît peu les noms des architectes

Classique, Baroque, Rococo, et Neo classique. Grâce à l’invention de l’imprimerie, ce qui a permis la diffusion des écrits traduits de l’antiquité grecque et romaine, notamment ceux de Vitruve architecte romain du Ier siècle. a.v.J.C son traité De Architectura qui exerça par sa theorie une grande influence sur les architectes de la Renaissance :Palladio, et plus spécifiquement Alberti dont la théorie se base d’ailleurs sur celle de Vitruve: « La beauté consiste dans l’intégration rationnelle des proportions

de la construction du palais, le gros œuvre est achevé en 798 et l’aménagement en 804/805 notamment par l’inauguration de la chapelle par le pape Léon III. Charlemagne emploie le moine messin Eudes ou Odon de Metz inspiré du traité de Vitruve « De Architectura » (architecte romain du Ier siècle avant JC, source d’où nous vient l’essentiel des connaissances sur les techniques de construction de l'Antiquité classique.), sous la direction de savants de l’Académie palatine qui est un groupe de lettrés entourant

lecture parfois complexe des sites. Les origines : de l’Antiquité au Moyen-Age Dans l’Antiquité, on ne retrouve que peu, ou pas, de traces de quelconques établissements à fonction hospitalière. Vitruve même, dans son pourtant très exhaustif De architectura, au Ier siècle avant Jésus-Christ, n’évoque pas d’établissement voué à l’accueil et au soin des malades et indigents. Quelques rares établissements à portée publique, comme le Prytanée d’Athènes (servant parfois de lieu d’hébergement, notamment