De l'âme

est composé de 2substances différentes et indépendantes l’une de l’autre : l’âme et le corps. La prééminence est accordée à l’âme (car immortelle) tandis que le corps est périssable et mortel. (Socrate dans Platon dit que « le corps est la prison de l’âme ». Monisme : pour certains philosophes l’âme et le corps ne sont pas séparables(=une seule substances à travers la quelle ils s’interpénètrent). Si le corps meurt l’âme meurt aussi. •Spinoza : Il n’existe qu’un seul être qui se décline selon

soulevés.  Qu'est-ce que la mort ?  Qu'est-ce qui est mortel et qu'est-ce qui ne l'est pas ?  Quelle est la nature de l'âme et quels sont ses rapports avec le corps ? Toutes ces questions débouchent sur celle de l'immortalité de l'âme qui sera posée en relation avec la théorie platonicienne de la connaissance puisque pour Platon connaître c'est se ressouvenir de ce que l'âme a connu dans une autre vie. 1 L'apparition de Socrate Après avoir rendu compte de la manière dont les amis de Socrate

réincarnation. La démonstration qui va suivre servira à la justifier rationnellement. Il s’agit de montrer que les morts existent quelque part d’où ils renaissent. Le premier argument amené par Socrate pour prouver sa théorie sur l’immortalité de l’âme est la théorie des contraires, cette arguments tente de prouver que toute choses existe grâce à son contraire. Il commence par demander à ses disciples si sans le jour, la nuit existerait et si sans la nuit, le jour existerait. Ils se rapprochent ensuite

dans la question, Descartes croit que l’âme est immatérielle et D’Holbach pense le contraire. Voici les faits qui prouvent leur pensée. Dans son ouvrage Traité des passions de l’âme, René Descartes met en évidence les fonctions de l’âme après avoir présenté le corps et ses fonctions. En effet, pour son époque, les connaissances de l’anatomie humaine étaient très impressionnantes. En effet, par cette présentation de l’anatomie, il a su mettre son point sur l’âme et le mouvement du corps en affirmant

Texte : Il faut donc se représenter l'âme comme une puissance composée par nature d'un attelage ailé et d'un cocher. Cela étant, chez les dieux, les chevaux et les cochers sont tous bons et de bonne race, alors que, pour le reste des vivants, il y a mélange. Chez nous - premier point - celui qui commande est le cocher d'un équipage apparié ; de ces deux chevaux, - second point - l'un est beau et bon pour celui qui commande, et d'une race bonne et belle, alors que l'autre est le contraire et d'une

Alain, Définitions (L’âme) : Dans ce texte, Alain fait une description de l’âme en mettant en relation le corps et l’esprit. Par définition, l’âme est un principe de vie et de pensée de l’homme, qui anime son corps. Descartes considère deux réalités : l’âme qui relève la substance pensante et le corps qui relève la substance étendue. Que faut-il entendre par ce mot « âme » ? C’est la question que se pose Alain dans ce texte. « L’âme c’est ce qui refuse le corps. » tel est la thèse de l’auteur,

enfin à envisager la pure donation à soi de l’âme. Si on peut définir l’homme, comme La Mettrie, comme une machine, c’est qu’alors on le résume à son corps. Descartes, lui, regarde l’homme comme à la fois un corps et un esprit, mais, conformément à son dualisme, il confond l’esprit avec l’intellect et semble ne trouver dans l’âme que l’activité de la pensée. Comment peut-on, sans réduction, tout à la fois distinguer et relier le corps, l’esprit et l’âme ? (texte) 1) Dans l’attitude naturelle

texte Commentaire d'un extrait du texte de Bergson, "L'énergie spirituelle". Extrait: "Que nous dit l'expérience? Elle nous montre………..entre le cerveau et la conscience." Que nous dit en effet l'expérience ? Elle nous montre que la vie de l'âme ou, si vous aimez mieux, la vie de la conscience, est liée à la vie du corps, qu'il y a solidarité entre elles, rien de plus. Mais ce point n'a jamais été contesté par personne, et il y a loin de là à soutenir que le cérébral est l'équivalent du mental

débat sur l’existence de 2 mondes, car en effet Platon croît à l’existence de deux mondes distincts tant dis que Démocrite croit qu’il n’existe qu’un seul monde. D’autre part, il y a l’immortalité de l’âme ; Platon dit que le corps est mortel et qu’elle possède une âme immortelle. Selon Démocrite, l’âme serait mortelle puisqu’elle est composée de matière. Somme toute, la philosophie de Démocrite s’oppose totalement à celle de Platon. Premièrement, la philosophie moniste de Démocrite s’oppose à la

atypique de la mort, à travers la bouche de son maître. I Dualisme entre l'âme et le corps L'être est divisé en deux parties : l'âme veut s'élever vers le divin, contempler le monde des idées. Le corps, quant à lui, attire l'être vers la matière, vers ce qui est périssable et mortel. Il est brutal avec l'âme ( clou, « ἧλον », ligne 1 ; agrafer, «  προσπερονᾷ », ligne 2 ). Les conséquences de cette emprise du corps sur l'âme sont particulièrement néfastes pour elle, elle est souillée ( « ἀναπλέα »