De l'âme

corps-âme et à ce sujet affirme qu’au contraire du corps l’âme serait immortelle et la philosophie serait sa délivrance. Nous allons à présent développer ce raisonnement de Socrate. Tout d’abord Socrate fait référence à une purification philosophique. Il explique tout d’abord que le philosophe sait que son âme est prisonnière de son corps et il le sait grâce à la philosophie. Il affirme également que le corps définirait l’ignorance de l’âme puisque d’après sa métaphore elle serait telle une vision

lLE PHÉDON I. — Idée générale du dialogue et personnages qui y prennent part Platon, dans ce dialogue, raconte les derniers instants de Socrate, et expose sa propre doctrine sur l'immortalité de l'âme ; il unit, avec un art merveilleux, le récit des derniers instants du sage, et la discussion philosophique entreprise et achevée en un tel moment avec tant de calme sérénité. Le philosophe pythagoricien Echécrate interroge Plié-don, fidèle disciple de Socrate, sur la mort de l'illustre condamné

de bon, à cause de lui il ne nous sera jamais possible de penser, et sur rien. (…) Pour nous, réellement, la preuve est faite: si nous devons jamais savoir purement quelque chose, il faut que nous nous séparions de lui et que nous considérions avec l'âme elle-même les choses elles-mêmes. Alors, à ce qu'il semble, nous appartiendra enfin ce que nous désirons et ce dont nous affirmons que nous sommes amoureux: la pensée. Cela, une fois que nous aurons cessé de vivre, et non pas, -tel est le sens du raisonnement-

les livres précédents par Platon, Socrate. Platon généralement considéré comme l'un des premiers et des plus grands philosophes occidentaux critique la théorie selon laquelle l’éducation reviendrait à une accumulation de connaissances dans laquelle l’Ame n’aurait préalablement aucun rôle à jouer, qu’il s’agirait d’inculquer une Ame vide. Il faudra donc savoir que pour Platon, philosophie et éducation sont liées, et que nous sommes ici dans un contexte où l'éducation est envisagée philosophiquement

Socrate, par son analogie de l'œil et de l'âme, dit “ si l'œil veut se voir lui-même, il doit regarder un œil et porter son regard sur cet endroit ou se trouve l’excellence de l'œil. Et cet endroit est la pupille. L'âme aussi, si elle veut se connaître soi-même, doit porter son regard sur une âme et avant tout sur cet endroit de l'âme ou se trouve l’excellence de l'âme" (Alcibiade, 132b) donc selon socrates prendre soin de son âme c’est se concentrer sur l'âme et non de son corps ou de ses biens matériels

: « Et par l'âme et Celui qui l'a harmonieusement façonnée ». « Et lui a inspiré son immoralité de même que sa piété ! ». « A réussi, certes, celui qui la purifie ». » Est perdu, certes, celui qui l'a corrompue » Le CORAN reconnaît dans l'âme charnelle (La Nafs) 3 parties : 1. La Nafs instigatrice du mal (al-ammâra bi al-sü) S12 (Yusuf) V53 : « je ne m'innocente pas, car l'âme est très instigatrice du mal.. » 2. La nafs qui blâme (al-tawwama) S75 (Al-Qiyâmah) V2 : « Je jure par l'âme qui ne cesse

théorie de l'introspection que l'âme raisonnable serait capable de faire en se ''contemplant elle-même'' 2.Le philosophe stoïcien développe l'idée que cette âme a soif d'apprendre pour tendre vers le savoir infini 3.L'empereur romain cite quelques valeurs de cette âme raisonnable et constate qu'elle peut être assimilée à une idée de justice Introduction : Dans Pensées pour moi-même, Marc Aurèle, empereur romain du IIe siècle, nous présente sa définition de l'âme raisonnable. Ce philosophe

Conséquence : le pb de l’âme : C’est le principe de l’âme : au sens large = ce qui produit l’animation. ( latin anima, grec psyche ). Cette idée suscite autant de problèmes qu’elle en résout : - c’est une réalité induite par la nécessité d’expliquer les phénomènes vitaux - Cependant, elle n’a jamais été observée puisque seuls ses effets sont perceptibles. ( il est de même pour tous les principes, y compris ceux de la physique : on observe pas un atome, on remarque ses effets ).L’âme comme principe vital

La !" passion est un mouvement de l'âme, qui engendre des mouvements du corps • Ce mouvement de l'âme est celui de la sensibilité : celui de la vie. La passion est le témoin de la vitalité. IV. La conception de Spinoza Le !" corps et l'âme sont unis et l'âme est un automate spirituel (et non une machine) • L'âme a les idées que lui confèrent les affections du corps et exprime ces affections (mais ne les cause pas). Le pouvoir de l'âme n'est pas plus grand que celui du corps. Le !" critère

Première partie : La notion de l’âme chez les Grecs La Grèce primitive L’animisme. La notion d’âme est issue des expériences inhérentes à une première et obscure prise de conscience par l’homme de sa propre réalité dans le monde. Le regroupement en catégorie des croyances manifestées par certains primitifs conduits à distinguer diverses sortes d’âmes : une âme-vie qui abandonne le corps pendant le sommeil, erre et rencontre alors d’autres âmes ; qui cherche après la mort un autre corps