Débat

logiques, retirer de l'étude tout ce qui n'est pas nécessaire, et regrouper des données dispersées permet de retrouver une cohérence, tout en permettant d'être mieux compris dans son fonctionnement. La légalité de ce « palier » du hack est sujette à débat, notamment par le statut indéfini de la légalité de certaines méthodes de lecture des données (notamment les Packet sniffers). Le terme de hack est très employé par les internautes et les médias d'information, mais dans des significations qui tendent

concernant sa mise en œuvre et son exploitation. 1. Synthèse : Vous ferez une synthèse objective, concise et ordonnée des documents ci-joints consacrés aux OGM. Document 1 : H. NOWOTNY, P. SCOTT, M. GIBBONS, Repenser la science “Débats”, éd. Belin, 2003 Document 2: Jean-Claude GUILLEBAUD, Le principe d’humanité, éd. du Seuil, 2001 Document 3 : Hervé KEMPF, Le Monde, 25 juin 2003

sujet sur toutes les lèvres, qui accapare la télévision et la radio, qui fait débat. Ce sujet est la réforme des retraites. En effet, l'age légale de départ à la retraite passe à 62 ans (le taux plein à 67 ans) contre 60 actuellement. La durée de cotisation légale sera lui aussi progressivement relevé à partir de 2016 pour passer de 65 ans, actuellement, à 67 ans à l'horizon 2023. Néanmoins, on laisse en dehors de ce débat les jeunes qui sont des milliers à manifester chaque jour. Cependant, on ne

dignififié indissociable individuel et collective. La valorisation du débat en affirmant les individualités détruit le sentiment d’unanimisme qui contribuait a homogénéiser le groupe et souder le nous collectif. Le développement de l’individualisme, est en contradiction avec l’ethos populaire (caractère populaire). De fait, les militants d’origine populaire se font rares, il y’a aussi la généralisation, au sein du PS, d’une « culture du débat  » qui valorise la réflexion collective, la libre expression

générale qu’il mène. - Les débats sur les pétitions. L’article 53 de la Charte de 1814 (art. 45 de celle de 1830) consacre le droit de pétition (« Toute pétition à l’une ou à l’autre des Chambres ne peut être faite et présentée que par écrit. La loi interdit d’en apporter en personne et à la barre »). Ainsi, les citoyens peuvent adresser des pétitions à l’une ou à l’autre des assemblées. Les pétitions font l’objet d’un débat entre les parlementaires, et ceux-ci peuvent

engendrer différentes sortes de violence par un effet pervers involontaire. En effet, la démocratie qui prône la liberté d’expression et de pensée pour tous peut déboucher sur des débordements. Cela suscite des questions. Par exemple, lors des débats politiques certains partis peuvent entretenir le conflit et donc une certaine forme de violence. Mais est-ce de la violence ou une manière de gérer le fait que l’on puisse librement et légitimement exprimer publiquement des opinions contraires

certains débats sur le devant de la scène, ils peuvent également en occulter d’autres. Ils sont par conséquent soumis à une éthique : exactitude de l’information, respect de la vie privée, et vérification des sources. Il existe tout d’abord une inégalité entre les médias. En effet, la télévision, média de masse, touchant des citoyens le plus souvent passifs, est accusée de simplifier les débats et de " faire " l’opinion, alors que la course à l’audience laisse peu de place au débat démocratique

simplifiée du design, courte et accessible, en format de poche et agréable à lire. Mais aussi, un livre abordable permettant à toutes les classes (aisées ou non) de se le procurer. Elle veut également montrer grâce à ce livre le nombre prodigieux de débats, questions, contradictions, théories et engagements qu’il y a eu dans l’histoire du design (ce qui rend le livre un peu plus compliqué à lire). Mais elle a voulu parler de tous ces « rebondissements » sans prendre parti pour tel mouvement ou tel designer

palatiale, aucune rationalité n’était présente, cependant avec les années, un nouveau modèle politique a fait ses pas dans l’histoire : la Polis. De là, la rationalité a pris toute sa forme puisque celui-ci donnait accès au savoir, aux discussions, au débat logique et aux décisions communes. Avec cette politique, le peuple était égal, il avait tout le même droit de parole et pouvait donner leur opinion sur les lois éventuellement votées. Alors, effectivement, la rationalité devient évidente avec le modèle

colonial’’, Paris, Editions du Croquant et Savoir / Agir, septembre 2006. Contact : romain.bertrand@ceri-sciencespo.fr 2 Questions de recherche / Research in question – n° 18 – Juin 2006 http://www.ceri-sciences-po.org/publica/qdr.htm LA MISE EN DEBAT DE LA COMPREHENSION DU FAIT COLONIAL L’année 2005 aura bel et bien été celle de la guerre ouverte des mémoires du fait colonial. Elle fut de fait scandée par la brusque apparition sur la scène publique du collectif militant des Indigènes de la République