Déception

décision » de l'essai L'amour et l'Occident datant de 1972. De plus l'amour devient méfiance comme nous le montre Quel genre de bisous? De Nicole Claveloux l'on constate que les personnes n'ont pas envie de s'impliquer dans une relation de peur d'une déception sentimental. Néanmoins comme avec le développement informatique, il est désormais possible de limiter les risques d'échecs grâce à internet où l'on peut sélectionner d'avance le partenaire idéal en voyant sa photo ainsi qu'une description détaillée

Et autrui c’est un plaisir et un risque (le fait qu’il soit au-delà). Nous imaginons autrui et nous prenons plaisir à cette imagination. Certes nous seront toujours déçu ( et nous décevrons toujours), mais il ne peut y avoir le plaisir sans la déception ambivalence. Autrui est toujours au delà des synthèses que l’on peut effectuer. * L’idiot de la famille de Sartre qui parle de Flaubert. Chacun est sans cesse au-delà  des synthèses qui peuvent être effectuées. III) Mais est-ce si négatif

mais que l’on continue néanmoins à le désirer ardemment, c’est là s’entêter vers l’impossible. Cependant, ce désir étant irréalisable, rechercher sa satisfaction induit une longue série d'échecs, entraînant toujours un peu plus de souffrance, de déception et de peine. La quête de l’inaccessible entraîne alors une douloureuse défaite. Fénélon dans Les Aventures de Télémaque met en garde son lecteur : « Les hommes veulent tout avoir, et ils se rendent malheureux par le désir superflu. ».

ou la mondanité, caractérise parfaitement cette évolution. Proust installe le décor, avec cette comtesse dirigeant sa province d’Autriche, qu’elle hérite de ses parents défunts. La jeune femme, très fragile sentimentalement, va, suite à quelques déceptions amoureuses dramatisées, devenir de plus en plus superficielle et s’éloigne peu à peu de sa vie d’avant, jusqu’au jour où elle quitte sa province, lieu de sa souveraineté, pour aller auprès de la Cour d’Autriche, dont elle disait revenir au bout

et sa déception face à ses obligations filiales. C’est justement cette déception pour tout ce qui l’entoure; pour son époux, sa maison, sa condition, sa relation amoureuse et sa vie en générale, qui donne lieu à un mal de vivre de plus en plus grand en elle. Ainsi, Emma est aux prises avec un malaise qui la ronge de plus en plus : « Est-ce que cette misère durerait toujours? est-ce qu’elle n’en sortirait jamais? »12 Ce questionnement montre combien Emma Bovary s’enlise dans ses déceptions, qui finissent

souffrance puisque le désir nait d'un malaise que nous cherchons à appaiser ou d'un manque que nous cherchons à combler et le désir est bien une source de souffrance puisque en désirant ce qu'on ne possède pas, on a un sentiment de frustration et de déception qui entraine la souffrance

est victime de ses lectures et de ses illusions romanesques. Les hommes sont attirés par elle, elle provoque le désir. Emma n’est jamais satisfaite, jamais comblé. Son mariage avec Charles et une déception et est d’un perpétuel ennui. Elle incarne l’infidélité féminine et suite à de nombreuses déceptions tout au long de sa vie elle se suicide. Elle est rendue bête par Flaubert qui se moque d’elle à travers le roman. En rendant Emma suicidaire et infidèle, il attaque les mœurs de l’époque.   Charles

respectée et honorée comme dans les romans qu'elle a lus. La nouveauté, très différente du rêve, la déprime. Emma balance entre idéal et médiocrité quotidienne. Même dans ses relations adultères avec Rodolphe et Léon, Emma finit par retrouver les mêmes déceptions que dans le mariage. La répétition des désillusions accroît le sentiment d'échec. Emma ne croit pas pouvoir trouver le bonheur dans la réalité. Elle n'accorde d'intérêt qu’aux êtres de fiction. Le drame d'Emma c'est de se faire toujours des illusions

prisonnière des sargasses nous pouvons constater que les personnages principaux refusent le monde dans lequel ils vivent car celui-ci est souvent fait de déceptions et de douleurs qui sont trop difficile à affronter. Dans un cœur simple le personnage principale qui se nomme Félicité a une vie très difficile, elle connait de nombreuses déception, notamment amoureuse et devient servante dès son plus jeune âge. Ainsi pour « survivre » dans ce monde qui pour elle est très rude elle est obligée d’utiliser

-Censuré lorsqu’il écrit une pièce de théâtre (ironie, accumulation et hyperbole soulignent sa déception) -Ecriture d’un texte traitant du produit net l’emmène droit à la prison , son honnêteté, paradoxalement, le pousse en prison. il y abandonne définitivement « espérance et liberté ». -Son désir de carrière honnête semble définitivement repoussé. La vie quotidienne de Figaro n’aura été que déceptions et rabaissement. La vie personnelle de Figaro n’apparaît guère plus épanouie : -La seule