Décor

central du tableau, représente l’idéal de la beauté féminine. Elle possède une anatomie parfaite, renforcé par son déhanchement, une peau pâle et nacrée. La chevelure abondante, symbole féminin par excellence, est mise en valeur par ses mains. Le décor est réalisé dans des couleurs pastelles effacées. Les autres personnages sont peints dans des tons sombres et sont en admiration devant la déesse. Tous ses éléments concourent à attirer le regard du spectateur sur Vénus, qui resplendit de lumière.

alors Lise en échange de son silence. Les décors : Tout d’abord, définissons le terme décor : le décor est le milieu dans lequel vit quelqu’un, dans lequel se situe une action ou se produit un phénomène. Dans « Insoupçonnable », les décors sont décrits avec minutie et jouent un rôle important. Les décors de Tanguy Viel sont d’abord inspirés de sa Bretagne natale. Il met ainsi en valeur la mer, décor typique de la Bretagne, je cite : « Et chacun d’abord s’était extasié sur le paysage de mer

immense du souvenir». Néanmoins, dans la second paragraphe, il apparaît que le goût n'est que la base du souvenir, il permet le retour d'un souvenir mais vague. Par la suite, le narrateur semble redonner une importance à la vue avec la notion de «décor» et le verbe revoir. Marcel se souvient et revoit son enfance. Tous ses souvenirs font directement écho à des sens différents. Ainsi, indirectement, on perçoit l'importance de l'ouïe avec la référence aux rues et à la ville mais aussi de l'odorat avec

textes de Ionesco par ex fournissent des didascalies très précises, permettant de « visualiser » le décor, les costumes, l’apparence et les déplacements des personnages. Ex : la scène d’exposition de Rhinocéros, on peut très bien imaginer la place de village, les boutiques, le carillon de l’église, les 2 personnages qui arrivent… La lecture fait appel à l’imagination. Chacun peut imaginer à sa guise le décor de L’Ile des esclaves de Marivaux : une plage, des cocotiers, la mer, quelques cases… Ce sera

procède par juxtaposition progressive souligne l'aspect hétéroclite du décor : baromètre, gravures, poêle. L'énumération met en lumière la profusion de vieilleries dégradée par la rhétorique utilisée à savoir les subordonnées relatives « qui sort quand il pleut où la poussière se combine avec l'huile quand le bois se carbonise ». Les subordonnées faussement explicatives sont en fait destinées à dénigrer les objets du décor. 3) Le traitement hyperbolique Il s'amorce avec la personnification alliée

ce sont les plus abondantes et celles qui permettent de reconnaître une pièce de Beckett au premier coup d’oeil. Fin de partie s’ouvre sur plusieurs pages de didascalies décrivant minutieusement le décor, puis la pantomime de Clov. Elles frappent par leur extrême précision, comme si le vide du décor se trouvait compensé à la lecture par la précision presque maniaque des notations, par exemple le nombre de pas que doit faire Clov (p. 12). Insérées dans le discours des personnages, les indications

au Walker Art Gallery de Liverpool. Comme dans l’oeuvre antique, Narcisse est représenté en train de contempler son reflet dans l’eau. Mais cette fois, il est allongé sur la terre au bord de l’eau. On peut apercevoir son reflet dans la rivière. Le décor est composé d’arbres et de fleurs en tout genre, et on y voit une forêt au second plan. La déesse Echo est présente dans ce tableau, sur l’autre rive de la rivière. Elle le regarde, peu vêtue. On sent de la peine dans son regard : elle est amoureuse

sachant de rien comment cela commence ou finit, c'est pour cela qu'il va au théâtre.  Et il se regarde lui-même, les mains posées sur les genoux.  Et il pleure et il rit, et il n’à point envie de s'en aller. » b) Habillons une pièce ou les décors… Le décor, disait Louis Jouvet, c’est le « costume de la pièce ». Le théâtre : temple des plaisirs, tel est le titre évocateur que Théophile Gauthier, admirateur de représentations, a imaginé pour justifier son enthousiasme pour ce lieu unique qui voit communier

secte qu’à une réunion de ministres telle que Hugo l’envisageait. Il y aura là une violence du pouvoir qu’on peut retrouver dans les affaires politiques actuelles. Les costumes et les décors ne seront pas tout à fait d’époque. J’ai doncopté pour un décor léger : des tentures, des malles. Quelques accessoires viendront compléter la décoration. Deplus, Ruy Blas est une pièce construite sur le travestissement .La pièce fournit plusieurs exemples : Ruy Blas devient le laquais de Don Salluste puis ministre

dos au monde qui l'entoure, car par sa position le personne semble étranger. Il semble mis en avant et au centre de toutes les attentions comme si il était observé, peut-être même jugé (on peut faire référence au procès de meursault). Au niveau du décor il n’y a pas beaucoup d’objet, il est plutôt banal ce qui peut représenter la vie banal de tous les jours comme dans la 1ere partie de l’étranger. Toutefois, la couleur jaune/oranger de la lumière peut nous faire penser au soleil et la couleur bleu