Décrétale

une portée limitée mais évidemment comme elles viennent du successeur de sainte pierre, elles finissent par prendre une portée générale. Le document dans lequel s’exprime le droit donné par le pape est la décrétale. Au début du 5ème siècle avec le pape innocent 1er, un nouveau type de décrétale apparait, à savoir que ce ne sont plus de simples réponses qui sont émissent par le pape, mais de véritables règles, de véritables lois. A partir de là une fois que les lois sont données, les règles vont se

idées maîtresses de la théocratie pontificale que véhicule, à l'époque, les milieux de la noblesse italienne dont il est un parfait représentant. Son passage à l'université de Paris pour y étudier le droit canon au lendemain de l'élaboration des Décrétales de Grégoire IX, ne pouvait que renforcer ses convictions. Destinataire : Philippe IV le Bel. Né en 1268 à Fontainebleau, il est le fils Philippe III le Hardi et d'Isabelle d'Aragon. Il devient le 11e roi de France issue de la dynastie des Capétiens

de codifier (partiellement) sa législation, en rassamblant dans cinq livres plus d'un siècle de décrétales, de canons et de références diverses. L'oeuvre est promulguée par la bulle (ou décrétale) Rex Pacificus, en 1234. C'est au Liber Extra que le droit canonique doit son essor, car il a permis la centralisation doctrinale, un corps de législation unitaire qui s'est substitué aux diverses décrétales régionales. Se pose alors la question de savoir en quoi la promulgation du Liber Extra entre dans

discordantium canonum, « concorde des canons discordants », plus connu sous le titre Decretum Gratiani) est une œuvre majeure du droit canonique, rédigé entre 1140 et 1150, qui rassemble plus de 3 800 textes : canons dits apostoliques, textes patristiques, décrétales pontificales, décrets conciliaires, lois romaines et franques, etc. Il fait autorité jusqu'au Code de droit canonique de 1917.[réf. nécessaire] Cette œuvre collective sous la tutelle de Gratien n'a pas, par ailleurs, pour seule finalité de rassembler

canonique qui ont des leurs origine une valeur officiel vu qu’elles sont faite sur ordre du pape (Grégoire 9 par ex, époque du 12 e siècle) on appelle ces oeuvres les extravagantes, car elles se promènent en dehors du décret. Grégoire IX avec les décrétales en 1139, sexe et les clémentines. On retrouve deux compilations d’origines privée pervers de professeur de droit nommés les extravagantes communes et de Jean XXII prise en 1317 et seront ajouter par la suite en 1500 par Jean Chapuis dans son oeuvre

chrétienne). Les canons sont des règles. Ce qui émane du Pape (=évêque de Rome)= décrétales pontificales, dès 385. Ces décrétales pontificales = réponse à un particulier sur une question sur le droit canonique. C’est une consultation juridique. En moyenne, chaque Pape prend 1000 décrétales pontificales, donc cette masse de législation va être compilée. France : VIIIe premières compilations de canons de conciles et de décrétales. (Il en existe des fausses ex : compilation angesive). Document de référence

CORRESPONDANCE DE BONIFACE VIII AVEC PHILIPPE LE BEL (1296) I – LA DECRETALE « CLERICIS LAICOS » (24 février) … L’antiquité nous apprend que les laïques furent hostiles aux clercs. Fait que l’expérience du temps présent atteste à l’évidence, quand on les voit, non contents de leur domaine propre, entreprendre illicitement d’empiéter sur les terrains défendus, sans avoir la prudence de prendre garde que, sur les clercs, sur les personnes et sur les biens d’Eglise, tout pouvoir leur est interdit.

références explicite au droit romain. Peu après la rédaction du décret de gracien, on vit défiler des compilations privées de décrétales comme les décrétales de Grégoire IX, mises en ordre par Raymond de Pénafort et cette oeuvre comprenait 5 livres. Vient ensuite le sexte de Boniface VIII qui comprend aussi 5 livres. Cette oeuvre se présente comme le 6ème livre des décrétales de Grégoire IX. On trouve ensuite les clémentines de Clément V qui rassemblent les canons du concile de vienne de 1312. en dernier

décret entre 1140 et 1150, et tente d’y réaliser la concorde des canons discordants par la méthode scolastique. Le travail était considérable. Il fallait d’abord réunir les textes extraits de l’Ecriture et des Pères de l’Eglise, canons conciliaires, décrétales des papes, vaste collecte pour laquelle Gratien bénéficiait d’un certain nombre de travaux antérieurs, en particulier ceux d’Yves de Chartres mort en 1115 ; ensuite il fallait les classer, les regrouper, les comparer. Il fallait surtout, en cas

contradictions pour faire concorder tout les textes, et en proposant éventuellement des solutions nouvelles. Ce travail est considérable, pour composer ce décret il a fallu réunir les textes tirés des écritures saintes, tout les canons des conciles, les décrétales des papes, ensuite il a fallu réunir tout cela, classer, regrouper et comparer. Cette rédaction de ce décret traduit une nouvelle méthode d’approche du droit canonique, parce que dorénavant, à partir de la rédaction de ce décret, on ne va plus