Decrire Un Oiseau

plusieurs significations. La traversée d'une route, d'un désert, ou encore d'un chemin. La traversée d'un sentiment, d'une émotion... Ce mot, je vais l'approfondir pendant 5 jours. J’ai choisi, pour ce dossier, quelques activités par jour et non de tout décrire. Déroulement de la semaine Jour 1 → Lundi La première journée commence. Nous nous découvrons, nous nous sommes croisé dans certains couloirs sans même se connaître pour la plupart. Un peu de silence, et des minutes d'observation.

se comporte de manière critique, en suivant et en corrigeant sa propre interprétation. L’émergence de la conscience de l’animal à l’homme (1995) D Danton Exemple : les imitations de l’oiseau-lyre http://www.dailymotion.com/video/x8be60_l-oiseau-lyre-oiseau-imitateur_animals Il faut poser le problème de l’apparition de la conscience sur un plan phylogénétique et ontogénétique. Il ne faut pas chercher à localiser la conscience. La métacognition a été démontrée chez le rat : savoir que l’on ne

émotions sont envisagés sous l'angle de réponses comportementales à des stimuli extérieurs. Ces réponses sont le fruit d'un apprentissage se déclenchant par réflexes conditionnés. 6 Le Gestaltisme • Début 20e : Allemagne puis USA But: décrire tout fait psychique en le décomposant, et expliquer les actes psychiques les + complexes par l'application généralisée d'un schéma simple (fondé sur l'observation de comportements) • Postulat : « Le tout est différent de la somme de ses parties

identité antillaise à multiples facettes. Ainsi, il a décrit les Antilles comme un carrefour ou différentes influences telles que le passé esclavagiste et le contact avec 1 'Europe, par exemple, s'entremêlent. La démarche de Glissant était donc de décrire les Antilles comme un espace dynamique mais aussi de proposer une alternative antillaise à !'Histoire. Créolité et narration : refonte identitaire en action 29 La créolité poursuit la recherche identitaire amorcée par la négritude et l'antillanité

pierres. Andy Goldsworthy a une vision très poétique aussi de la nature. On prenant une pierre sur lequel il a fait adhérer à l’aide de l’eau, des plumes d’oiseaux, puis en jetant ensuite le tout dans une rivière, il a donné l’impression d’un oiseau qui prend son envole par les plumes qui se détachent de la pierre en suivant le courant de l’eau. Bien qu'il n'utilise généralement pas d'autres outils que ses propres mains, il lui est arrivé de faire appel à de la machinerie lourde ou légère

qui regardaient déjà»), qui est propre aux poètes (Hugo écrivit : «Tout vit, tout est plein d’âmes»). Les premiers mouvements se déclenchent avec ces «ailes» qui «se levèrent», qui sont sans doute les ailes noires de la nuit, vue comme un immense oiseau qui couvre la terre et ainsi la tient dans l’obscurité. «La première entreprise» est à comprendre «la première à être entreprise». La lumière se manifeste dans le sentier par de «frais et blêmes éclats», ce qui est une correspondance et une preuve

Habitat : Déf. Habitat : Endroit dans lequel une espèce donnée trouve les conditions nécessaires pour combler ses besoins de manière optimale. Facteur biotique : relation avec être vivant Facteur abiotique : élément non-vivant 8 facteurs pour décrire habitat : 1. Climat 5. Présence d’un plan d’eau 2. Nature du sol 6. Faune 3. Relief 7. Flore 4. Nature de l’eau

son aspect en cours d’accomplissement : « s’en va battant et se cognant » souligne la constance, l’effort constant de l’oiseau pour trouver l’issue in- existante qui conduirait à la délivrance. - Mais l’aile de l’espérance est « timide » : ( tout oiseau, hors de son élément est gauche, cf L’Albatros) On note le réalisme de l’expression « battre » : cogner, et allitération en p « plafond pourri », cela traduit l’enfermement. La strophe qui suit poursuit la perte de tout espoir... Quand la pluie

ou sera, ou même un monde à part entière plus ou moins ancré dans la réalité, c’est avant tout un monde subjectif qui rend compte de la sensibilité de l’auteur. Dans le chapitre neuf du Grand Meaulnes d’Alain Fournier, le chant d’un oiseau que d’aucun pourraient décrire comme des notes discordantes troublant l’air paisible est présenté comme « la voix de la matinée, la parole dite sous l’ombrage, l’invitation au voyage entre les aulnes », ce qui transforme la simple promenade de François Seuret en

regardaient déjà»), qui est propre aux poètes (Hugo écrivit : «Tout vit, tout est plein d’âmes»). Les premiers mouvements se déclenchent avec ces «ailes» qui «se levèrent», qui sont sans doute les ailes noires de la nuit, vue comme un immense oiseau qui couvre la terre et ainsi la tient dans l’obscurité. «La première entreprise» est à comprendre «la première à être entreprise». La lumière se manifeste dans le sentier par de «frais et blêmes éclats», ce qui est une correspondance et une preuve