Définition par récurrence

Les Médias Définition :  Opinion publique : ensemble des convictions, jugements et valeur d’une société à une époque donnée  Médias de masse : médias qui ont une audience ++ et touchent un large public dans une société démocratique  Crise politique : moment critique dans l’évolution d’une régime politique ( rôle très important : provoquer/nourrir/révéler ) L’Age du papier : suprématie de la presse écrite ( presse ++ importante : 1880-1914 )  presse d’opinion : engagée voir partisane

obligatoires, à traiter en priorité sont les suivants : , , , et et , , , et , , . Les autres exercices n’en sont pas moins intéressants pour autant, et doivent mériter votre attention. 1 Définitions de injection-surjection-bijection On considère une application , où est l’ensemble de départ (ensemble de définition , par . existe (de manière et s’il existe par l’application . Si et l’ensemble d’arrivée de . Ainsi, pour tout est l’image de , on dit que est un antécédent de de l’application) de unique

BANQUE, l’UNION GABONAISE DE BANQUE et le CREDIT DU SENEGAL) et dont les produits sur commissions représentent le principal contributeur dans leur PNB ; Et, un retrait de 15,9% à MAD 2,6 Md du résultat des opérations de marché du fait de la non récurrence des plus-values exceptionnelles enregistrées en 2009. Par pôle d’activité, la Banque Maroc, Europe et Zone Offshore contribue à elle seule à hauteur de 56,6% dans le PNB consolidé du Groupe, contre 22% pour les Banques de Détails à l’international

Chapitre 2 : COMPLÉMENT SUR LES FONCTIONS DÉRIVATIONS ET CONTINUITÉ I. Dérivation 1) Rappels : définitions Soit C une courbe Soit A un point fixé de C. La tangente T à C en A, si elle existe, est la position limite d'une courbe = (AM) lorsque M tend vers A. Soit f une fonction définie sur un intervalle I. Soit Cf la courbe représentative de f dans un repère orthogonal. Soit a un point appartenant à I. Si C admet un point d'abscisse à une tangente non parallèle à l'axe des ordonnées, f est dite

noblesse vu leur constante hypocrisie. Il nous propose de méditer sur l'amitié, un sentiment humain apprécié par tous. Il exagère beaucoup l'amitié entre les deux personnages, qui ont un lien unique avec l'autre. La morale de cette fable est la définition de l'amitié. Ce texte simple et court nous fait ressentir et partager des émotions, comme dans les salons délicats de l'époque où l'on dissertait sur l'amour. Conclusion La Fontaine s'engage fermement dans la fable et nous demande de nous

LES SEISMES SOMMAIRE Introduction I-Les séismes : 1-Définition 2-Caractéristiques et causes : 2.1-causes 2.2-caractéristiques 3-Ondes sismiques :3.1-Onde de Volume 3.2-Ondes de Surface 4- . La sismicité : Le risque sismique 5-Instruments de mesure des séismes II-La Conception Parasismique : A. Le génie parasismique B. Le sol C. L'isolation sismique de la base E. Les différents systèmes d'appuis :1. Les Amortisseurs Elastoplastiques 2. Les Amortisseurs

v n que lim v n = +∞ . deux suites telles qu’à partir d’un certain rang N, un ≥ v n et n →+∞ a) Que signifie, par définition, que lim v n = +∞ ? n →+∞ ( ) b) Que peut-on dire de la limite de un ? Prouver le résultat annoncé. ( ) définie par u0 = 1 et, pour tout n ∈» , ᕢ On considère la suite u n un +1 = −un + 2n + 1. a) Démontrer par récurrence que, pour tout entier naturel n, on a un = n + ( −1)n . ( ) b) Déterminer alors la limite de un . Exercice 2 (7

imparfait/plus que parfait : « eût seul » (l.2), « eût été assisté » (l.3) * Irréel présent conditionnel présent : « aurait-elle pu » (l.7), « serait-il venu » (l.8), « aurait-elle mis » (l.10), « auraient-ils pu » (l.11) * On remarque la récurrence des conjonctions « si », « s’… » (l.14, 29, 30 et 32) introduisant des subordonnées de condition qui marquent l’hypothèse, la condition, l’incertitude auxquelles se rajoutent des réponses à ces dernières dont le but est de prouver l’innocence des

L’HYPOTHESE D’ANTICIPATIONS RATIONNELLES Définition : Hypothèse selon laquelle les probabilités subjectives des agents sur les données futures sont les mêmes que celles fournies par la vraie distribution conditionnée par l'information qui pour eux est disponible Soit le modèle élémentaire (les variables sont en logarithme): (1) (2) (3) m=p+y fonction de demande de monnaie p = E-1 p + d (y - y*) fonction d'offre à la SW m = m* + u fonction d'offre de monnaie affectée d'un aléas u 1 La

. NI . 2.2.1 Définition . . . . . . . . . . . . . E C . . . . . . . . . . . H Y.T . . . . . . . . . . . 2.2.2 Probabilité Uniforme . . O. . . . L 2.2.3 Modèles d’urnes L E. P . . . . . . . . . . . . . . . . . . . O 2.3 Définition généraleÉ C Probabilités . . . . . . . . . . . . . . des 2.3.1 Pourquoi la définition précédente ne suffit-elle pas ? . 2.3.2 Les ensembles dénombrables . . . . . . . . . . . . . . 2.3.3 Tribu . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.3.4 Définition d’une probabilité