Dégoût

l’école d’asservir les élèves qui lui sont confié, de les conditionner, voire les dégouter de la vrai connaissance. Et c’est justement là que l’école joue un mauvais rôle, l’école conditionne les élèves à s’implanter dans la société, pour que se soit les élève qui s’adapte à la société et non l’inverse. Alors pour que l’école atteigne ses objectifs elle ne pense même plus au fait que les élèves pourraient être dégoûtés de ce type d’éducation qui ne plait pas aux élèves. La vraie connaissance a été

Anderson. Ce personnage, rongé par la colère et la haine, monte une machination froidement calculée pour venger la mort de son frère, et il ne lésine pas sur les moyens pour arriver à ses fins. Son ambivalence met mal à l'aise, il inspire à la fois dégoût et pitié. Cruel, manipulateur, séducteur et pervers, on comprend néanmoins les raisons de sa rage lorsque son passé brisé par le racisme est évoqué. Car J'irai cracher sur vos tombes est avant tout une violente dénonciation de l'intolérance et

esthétisme sans faille quitte à idéaliser la réalité. Jean-Marie Fruchard dit aussi le dégoût personnifié, Honoré Daumier, vers 1832, terre crue Le dégoût personnifié est l'une des 36 sculptures des Célébrités du Juste Milieu, série d'Honoré Daumier. Cette sculpture représente Jean-Marie Fruchard, député du XIXe siècle. Daumier représente Jean-Marie Fruchard avec un air écoeuré, un air de dégoût. Le député paraît méchant, hargneux, il a l'air d'être un homme puissant, qui aime se gaver

même l'usage qu'en feront plus tard le pétainisme et le nazisme » (www.alalettre.com) On retrouve donc le corps fort du capitaine de classe versus le corps faible de Philippe. Puis le dégout corporel qu’on l’on puisse ressentir en vivant des émotions fortes et les marques qu’un corps peut porter dû à ce dégout. Nous voilà arrivés au passage choisi. La composition du passage  Le passage choisi est composé de deux parties, le premier (35 lignes) beaucoup plus long par rapport au deuxième (4

Camille, éternellement malade et chétif. Thérèse sait depuis toujours qu'elle est promise à son cousin, cet être inoffensif qui la répugne un peu plus chaque jour. Cependant, cette jeune femme, de nature silencieuse et renfermée, ne montre nullement son dégoût, habituée à l'idée d'épouser un malade, le jour de leur mariage. Menant une vie sans le moindre changement, partagée entre la boutique de la rue noire malfamée et les parties de domino du jeudi soir avec sa tante, Camille, le chef de son époux, Grivet

a- le poète : apparaît ici comme - un contemplateur de l’univers - un aventurier de la pensée ( poème qui affirme donc la nécessite de dépasser l’expérience du dégoût pour accéder à un départ I- Structure : marquée par la typographie & la syntaxe ( 2 moments 1. la plainte de Crusoé II- Enonciation : complexe = des discours multiples

positifs et négatifs. Développement: D’un point de vue globale ce tableau est très grossier, il est bâclé et imprécis, les couleurs sont pâle et les traits ne sont pas soignés. Le peintre l’a peint de façon a ce qu’elle donne cette sensation de dégoût dans un but précis. Les couleurs de ce tableau sont très jaunâtres, trop brillant et tape à l’œil, il possède des zones sinistres et noirâtres, des zones sombres. Les traits sont maladroits et balourd, il donne au tableau une impression caricatural

linda envoie la conversation!! Vous avez envoyé un wizz. linda dit : lol yasmina dit : linda dit : ok Linda Bannani 30 janvier, 21:41 Tu as perdu toute mon amitié, toute mon estime, et tout mon respect. Tu me degoutes comme jamais personne ne m' as degouté, tes la plus grosse et la plus douée des menteuses qui soit. Je voulais juste te le dire pour que tout soi clair entre nous deux. Je me suis trompée sur ton compte, je veux plus entendre parler de toi. Je t' ai dit de pas changer

répétition de « même si » donnent à entendre les pensées des personnages, les débats qu’ils ont dû mener avant l’achat du cheval. - de très nombreuses répétitions : le nom « idée », les conjonctions « même si », Les adjectifs « saturé » et « dégoûtés » De nombreuses anaphores « comme quoi » et parallélismes - l’enchaînement des phrases se fait souvent par reprises, ex. l. 15-16 « le lendemain à Ram ». => Ce style très particulier permet au narrateur de faire d’emblée ressentir l’ambiance

résonance avec l’adjectif « court » : « le dos court » (v.6) pour dessiner un corps aux formes ramassées, inélégantes. A la Vénus traditionnelle qui incarne la beauté et la grâce naturelle du corps féminin, Rimbaud oppose le spectacle de la laideur. Le dégoût ressenti par le poète face à ce corps s’exprime de multiples façons. Le vocabulaire des sens est mobilisé pour décrire cette répulsion : on notera l’expression curieusement synesthésique (superposition de l’olfactif et du gustatif) pour évoquer l’odeur