Dégoût

les décrit comme "Vilaine bête et mauvaises herbes" pour retranscrire ce que pense la plupart des personnes. Il utilise un champ lexical qui se rapporte à la pensée de l'Humain. En effet, l'Homme les détestent donc l'auteur va employer une sorte de dégout par rapport à celui-ci ; "Maudites, Chétives, Victimes, Pauvre animal, Plante obscure …». De plus, la présence des points d'exclamations va permettre de confirmés les affirmations. On remarque que Victor Hugo emploie très souvent des anaphores :

modernité la force (cyclones, défient)
- ville minérale     II- De l'admiration au dégout a- une construction dychotomique (2 parties) poème marqué par un mouvement dyptique : 1ere partie > mais. 1ère partie semble élogieuse, présente Manh. Puis 2eme blâme de Ny. b- un éloge ambigu (si timide, d abord... ai été : fini) inquiétant. Yeux de chouette, lumiere étrange, éclipse du soleil.... c- le dégout (vision infernale) : une ville qui est marquée par la négation répétée avec une insistance

ensuite comparée à son amante de façon artistique. Le poème crée une confusion chez les lecteurs, car c'est un poème romantique en premier lieu; mais le fait d'introduire une charogne qui est une image de la laideur et de l'horreur donne un côté de dégoût au poème. La première problématique qui peut être posée est « En quel sens Baudelaire magnifie-t-il ici un objet sordide ». La réponse à cette problématique se fera en deux temps, premièrement, se fera la présentation du blâme de l'objet puis deuxièmement

d’autres expressions négatives comme la colère, la peur, puis le dégoût seront progressivement identifiées tandis que la surprise pose encore problème aux enfants de cinq à six ans (Gosselin, et al. 1995 ; Brun et Nadel, 1997). On note des types d’erreurs systématiques de reconnaissance (peur–surprise, peur–tristesse, surprise–joie, dégoût–colère…) qui confirment la difficulté à démarquer la colère de la tristesse, de la peur et du dégoût, et qui témoignent d’un niveau différent de catégorisation (Bullock

confiait à des enfants plus grands, ne les reprenant que pour les nourrir, leur donner, de bouche à bouche, le riz préalablement mâché par elle. Lorsqu’elle le faisait par hasard devant un Blanc, le Blanc détournait la tête de dégoût. Les mères en riaient. Qu’est-ce que ces dégoûts-là pouvaient bien représenter dans la plaine ? Il y avait mille ans que c’était comme ça qu’on faisait pour nourrir les enfants. Pour essayer plutôt d’en sauver quelque uns de la mort. Car il en mourrait tellement que la boue

voit le jour. Lucien Camus est mobilisé en septembre 1914. Blessé à la bataille de la Marne, il meurt à l'hôpital militaire de Saint-Brieuc le 17 octobre 1914. De son père, Camus ne connaîtra qu'une photographie et une anecdote significative : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale. Sa mère, d'origine espagnole, est sourde. La famille s'installe rue de Lyon à Belcourt, un quartier populaire d'Alger. Albert fait ses études dans cette ville, encouragé par ses professeurs dont Jean Grenier

objets qui sont évoqués n’ont rien en commun avec ces thèmes lyriques. Hugo a choisi « l’araignée », Lautréamont « le poux », Corbière « le crapaud » et Nouveau « le peigne ». Les trois premiers auteurs ont choisi un objet qui suscite usuellement le dégoût, Nouveau quand à lui consacre un poème à un objet trivial, banal, le peigne. Non seulement les objets sortent des thématiques abordées usuellement en poésie, mais en plus les auteurs les célèbrent. Ce sont des éloges paradoxaux : Hugo « aime »

Une première lecture suffit à faire ressortir la violence et cruauté du prêtre. Pour cela, l’auteur a utilisé une accumulation d’adjectifs péjoratifs illustrée dans la L14 « austère et violent » ; L16 « colère et dégoût « ; L27 « sermons violents » ; L43 « Un grain furieux l’assaillit ». L’auteur emploie également des comparaisons animalières où le prêtre est comparé à un cheval « tirant et haletant » et la cabane à une bête « trébuchant comme une bête » L59. Nous

aveuglée par ses rêves est incapable de lire, dans les événements, la réalité telle qu'elle est vraiment. Les différentes étapes de sa vie viendront confirmer ces premières impressions de vie morne et triste et provoqueront un désenchantement proche du dégoût. Le quotidien, avec son cortège de lassitudes et d'ennuis s'imposera de plus en plus à Jeanne : " Que désirait-elle ? Elle ne le savait pas. AUCUN besoin mondain ne la possédait. AUCUNE soif de plaisirs. Aucun élan vers des joies possibles. Ainsi

journal, elle fit la connaissance de Jacques, qui était le passé de Mamouchka. Elle pleura. Sa grand-mère sa confidente, sa meilleure amie lui avait caché son passé. Elle senti l’admiration, son amour pour elle disparaître afin de laisser place au dégoût, au mépris et aux mensonges. Jacques était un nazis, et ressentait pour lui de la haine, elle avait honte, elle le détestait. Jacques était un homme qu’Anna avait aimé, malgré qui aie tué tant de personnes et cela pour un seul critère : ils étaient