Déguisement

Bruegel on voit des personnages qui portent des chandelles en plein jour ou d’autres coiffés d’une marmite …. Dans cette œuvre du 16ème siècle, on ressent assez bien l’atmosphère festive : abondance des victuailles et du vin, jeux de hasard et déguisements, musique et spectacles semblent, dans la partie gauche du tableau, entre l’auberge et le roi de carnaval, lancer un défi à l’autre camp, issu de l’église et regroupé derrière la triste figure du Carême. Le carnaval peut donc être considéré

envoyer par un billet l'ordre de ne pas sortir. Il sort de scène et va prier. Arrivée en scène du vrai Don César déguisé en Zafari qui s'est réfugié par hasard dans le logis de Ruy Blas. Il est habillé en haillon et revêt un beau manteau trouvé (déguisement donné à Ruy Blas par Salluste). Il reçoit à son nom (en réalité pour Ruy Blas) une grosse somme d'argent puis un rendez-vous avec une dame, il joue le jeu et accepte les deux. Don César tue Don Guritan. Salluste fait arrêter Don César et doit hâter

| |X | | | |à lui proposer le mariage en renonçant à son héritage. | | | | | |à lui proposer le mariage sous son déguisement de suivante. | | | | | |à renoncer à toute idée de mariage.

mot “singes”. Les marques de l’hypocrisie sont de proposer aux autres une apparence qui n’est pas la réalité ; c’est un double jeu : “La duplicité”. Elle est définie par Don Juan grâce au champ lexical du déguisement, du jeu, et de la chasse : il utilise la métaphore vestimentaire du déguisement : “Le manteau de la religion”, on prend l’apparence qui n’est pas la sienne : il utilise le vocabulaire de la comédie “Le personnage d’homme de bien est le meilleur de tous les personnages qu’on puisse jouer”

perte d’identité, aux multiples identités + masque (cache sa réelle identité) Autre personnages : * Don César = noble déchu qui se cache derrière un vagabond (Zafari) * Don Salluste = déguisement pour comploter COMMENT ? Donne à voir l’être déchiré qu’il est ? * Costumes, déguisements * Façon de parler : alternance des niveaux de langues (du familier au soutenu) et des registres (du comique au tragique) * Jeux d’ombre et de lumière (ombre = zone de complot / lumière =

de théâtre écrite par Marivaux Au début du XVIIIe siècle , en effet Marivaux crée un théâtre fortement inspiré du théâtre italien ‘’la commedia dell' arte ‘’ qui mélange des personnages traditionnels du théâtre comme le maître et valet avec des déguisements propice à de nombreux quiproquo. Dans La Fausse Suivante, une jeune femme se fait passer pour un Chevalier, afin de connaître les sentiments d'un prétendant. Ici, elle affronte

penser que cette scène se déroule à une époque antérieure et que le personnage est arrivé dans un autre monde. Nous pouvons faire une première remarque sur les déguisements que portent les invités qui sont accentués par l’emploi à deux reprises du mot « costumes »  aux lignes 12 et 18. Les personnes sont donc assimilés à leur déguisement comme « le grand pierrot » (ligne 7) ou « quelque dandy » (ligne17) ce qui prouve que Meaulnes a l’impression de vivre dans une autre époque. Ainsi lui-même ne se

lui que ma sœur eût donné le fil fatal. » mais surtout longuement développé par R : p.50 : v.649 etc : « Par vous aurait péri le monstre de la Crète… » C) La mise en scène de l’héroïne par elle-même : exhibition et déguisement P en pleureuse au retour de Thésée. Déguisement au sens figuré : pleure le deuil de ses espérances (refus d’H) => la plainte de l’amante éconduite est déguisée en deuil de la femme abusée. Phèdre exhibitionniste : délirante, déguisée (au sens littéral) en Diane chasseresse

liste de mots sur une feuille, ils ont un certain temps pour inventer une chanson avec et nous la chanter. Nom : voyage autour de la terre Type d’activité : veillée Nb d’enfants : 30 environ Nb d’anim : 3 environ Matériel nécessaire : déguisement, des feuilles, des feutres Déroulement : les organisateurs des JO arrivent à la colo, ils n’arrivent pas à se décider sur le prochain pays où se déroulera les JO, ils ont besoin de l’aide des enfants pour avoir une meilleure image des différents

La maschera symbolise tout simplement la masquerade ou un bal masqué en italien. Cette tradition qui apparaît dans la noblesse française à l’époque médiévale trouve probablement des origines en culture italienne. L’engouement aux déguisements se renforce à la Renaissance et cette fois-ci, sans doute, c’est dû à l’inspiration des artistes italiens qui introduisent le port des masques décorés. Léonard de Vinci, Rosso Fiorentino ou Le Primatice sont les artistes appelés par François 1er qui dessinent