Deisme Dans Candide

roman ironique : Jacques le Fataliste de Diderot   -Le conte philosophique : qui propose une forme narrative différente du roman, car il n'a aucun souci de réalisme, mais il contribue à la diversité littéraire, les oeuvres de Voltaire, l'Ingénu, Candide, Zadig, etc.     Introduction au siècle des Lumières     Le siècle des Lumières est sans doute le siècle le plus dense, le plus révolutionnaire, le plus novateur dans tous les domaines qui soient : sciences, littérature, arts musicaux, picturaux

qu’en soit l’explication, n’est pas la réalisation des desseins de Dieu ; - en religion : les opinions des Philosophes sont variées, qui vont du déisme de Voltaire ou du théisme fervent de Rousseau au matérialisme de Diderot ; plutôt qu’anti-religieux, ils s’opposent à une religion révélée qui entraverait les progrès de la civilisation (Voltaire). 1/ Déisme. Terme souvent utilisé au XVIII° siècle, n’a que rarement été défini de façon précise. C’est qu’il recouvre un « accompagnement », variable selon

scandaleusement ») des réalités positives : le fait que les philosophes accroissent le respect de Dieu et qu’ils montrent qu’il est omniprésent (cf. déisme de la plupart des philosophes des Lumières). Il s’agit pour Voltaire de présenter positivement le déisme et de montrer que les philosophes des Lumières ne sont pas nécessairement athées ; le déisme est ici présenté positivement comme une pratique respectueuse envers Dieu et comme une croyance sans culte. Au contraire, Voltaire vilipende les cérémonies

savoyard, incluse dans "l'Emile". Il considère que la matière ne peut se mouvoir par elle-même et pose la nécessité d'une volonté transcendante. Sans chercher à prouver ses idées, mais par le seul élan du coeur, il souscrit à la "religion naturelle" ou déisme, qui lui permet d'accéder à Dieu sans l'intermédiaire des textes sacrés ou du clergé. Le doute lui étant insupportable, sa foi en Dieu n'est pas issue de la raison comme celle des autres déistes de son siècle, mais vient de ce qu'il ressent, des sentiments

de citoyen. - cosmopolitisme soutenu par la suprématie culturelle de la France et du français - l'intérêt profond de la philosophie: qu'est-ce que c'est qu’une connaissance et qu’est-ce qui se trouve au fond de cette connaissance → la nature → Déisme, la vraie connaissance est variable, pas constante Jean-Jacques Rousseau - pour résoudre tous les problèmes de la société humaine il faut retourner vers la nature qui seule est pure - sentimentalité, idéalisation de l’homme naturel primordial

pouvoir Source : http://www.intellego.fr/intelleblog/Les-combats-des-Lumieres/6604 Religion : La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers à une mécanique, inspire le déisme de Voltaire et la religion naturelle de Rousseau (qui croit que l’homme est doté d’une conscience morale innée). Diderot, dans sa Lettre sur les aveugles (1749), s’interroge sur le principe organisateur du vivant et semble rejeter l’existence

dorénavant par l'observation de la nature plutôt que par l'étude de sources autorisées telles qu'Aristote et la Bible. Par contre la plupart des penseurs des Lumières ne renoncèrent pas complètement à la religion. Ils adoptèrent plutôt une forme de déisme (Le déisme, du latin deus (dieu) est une croyance ou une doctrine qui affirme l'existence d'un Dieu et son influence dans l'univers, tant dans la création que dans le fonctionnement de ce dernier), mais rejetèrent les arcanes de la théologie chrétienne

agressivement en faveur de la tolérance au nom de la raison » en expliquant la pensée en vers le totalitarisme de l’eglise du point de vue des philosophes des lumières. Ainsi commencent des divergences au sein des religions et des courants comme le déisme naissent. C’est ainsi qu’un courant révolutionnaire est instaure par les lumières et les individus commencent a penser par eux memes. Ensuite commencent les découvertes de la vérité, qui transforment les sciences en un medium pour arriver a la

pouvoir Source : http://www.intellego.fr/intelleblog/Les-combats-des-Lumieres/6604 Religion : La critique de la religion. La remise en question du mécanisme classique, autrement dit de la théorie qui assimile l’univers à une mécanique, inspire le déisme de Voltaire et la religion naturelle de Rousseau (qui croit que l’homme est doté d’une conscience morale innée). Diderot, dans sa Lettre sur les aveugles (1749), s’interroge sur le principe organisateur du vivant et semble rejeter l’existence de Dieu

Il critique la persécution des Huguenots* par la monarchie française. Cet esprit critique mène à un esprit de réforme. Les encyclopédiste prennent parti pour le développement de l'instruction des belles lettres, la lutte contre l'inquisition (cf Candide CHAP 6) et l'esclavage. -Bourgeois: Les valeurs prônées par ces philosophes sont souvent celles des bourgeois. L'article "les Réfugiés" en est un exemple. Il valorise le travail, la richesse et l'industrielle qui s'opposent donc aux valeurs traditionnelles