Déjanire

ciel de désespoir, entouré de flammes et mourant brûlé sur un bûcher. Dans le mythe d’Hercule, celui-ci meurt victime du stratagème du centaure Nessus. Avant de mourir de la flèche décochée par Hercule, Nessus s’assure d’une vengeance : il donne à Déjanire un philtre supposé garantir la fidélité d’Hercule, le héros. Lorsqu’elle l’utilise, il se révèle être en fait le déclencheur d’un terrible supplice : il provoque d’insupportables brûlures, qui conduisent Hercule au suicide. Ayant fait préparer un

s'occupèrent fort bien de lui. En récompense, Zeus les plaça par la suite parmi les étoiles sous le nom d'Hyades. page 2 FILIATION Sémélé Zeus DIONYSOS Epouse* / amante Enfants Aphrodite Priape Héra Pasithéa Aura Iacchos Althaea Déjanire Ariane* Oenopion, Thoas, Staphylos, Latromis, Euanthès, Tauropolos • Attributions • Attributs • Enfance • Filiation • Légendes • Amours • Culte • Iconographie • Sources

célèbre d’entre eux, Chiron, figure du centaure sage et bienveillant, a été le précepteur d’Achille, mais ils peuvent aussi être perçus comme des êtres mauvais et violents : Nessus, qui avait enlevé Déjanire, épouse d’Hercule, fut tué par celui-ci d’une flèche empoisonnée : par vengeance, il persuada Déjanire, juste avant de mourir, de coudre une tunique avec sa peau et de l’offrir à Hercule, ce qui en ferait un mari toujours fidèle. Empoisonnée, la tunique se colla à la peau du héros dès qu’il la porta

en Lydie, et tombe amoureux d'Omphale, et finit par l'épouser. Est assujetti par la reine. La troisième femme est Déjanire. Va être lié au suicide d'Héraclès. Va devoir la disputé contre Achéloos (un Dieu-fleuve, représenté comme le sont les fleuves dans l’Antiquité, a tête barbu et force d'un taureau(a donc corne). Nessos, un centaure, se comporte mal. Va vouloir abuser de Déjanire, Héraclès va le poursuivre et le tuer.Déjanire va réussir à faire revetir à Héraclès la tunique du centaure. Va le

légitime de Zeus, qui condamna Héraclès a accomplir les fameux travaux, censé le mener aux limites du monde. On sait aussi que la tradition lui attribue une mort horrible. En effet il est empoisonné après avoir revêtu la tunique remise à son épouse Déjanire par le centaure Nessos, mais est élevé a une dignité divine par son père Zeus. Il faut garder en mémoire cette image du héros le plus célèbre de la mythologie grecque, dont la vie, la mort et l’apothéose ont inspiré les grands poètes tragiques athéniens

|bigleur cruel, non à ce lot ! Si, farcis-toi dito le coeur ! | |Lied à monstre velu, ange ni bête, sec à pseudo délire : Tsarine (sellée, là), Cid, Arétin, abruti de Ninive, Déjanire.. | |Le Phenix, eve de sables, écarté, ne peut égarer racines radiales en mana : l’Oubli, fétiche en argile. | |Foudre.

réciproquement), il entre en contact avec l'avant, l'antérieur perdu à jamais mais qui s'impose à lui. Ce que Q appelle « la trace sonore, dont le premier fredon est non terrestre, liquide, amniotique. On ne peut se défaire - dans l'affect, dans la robe de Déjanire des sentiments - de cette nuée sonore originaire autant qu'on reste sous le régime de l'émotion " (LLM 53).  Les images "surnaturelles" dans leur prosaïsme cherchent à dire ce que rejoint la musique, ce qu’elle hisse du plus profond, au-delà ou

terrestre, il mourut comme l'avait annoncé Zeus son père, qui avait ainsi dévoilé sa fin : "aucun homme vivant ne pourra tuer Héraclès, sa chute sera causée par un ennemi déjà mort". Revêtu malgré lui de la terrible tunique offerte par Nessus à Déjanire, imprégnée du sang de l'Hydre qu'il avait jadis vaincu, en proie aux plus terribles douleurs, le héros fit, à sa propre intention, élever un bûcher fait de branches de chêne et de troncs d'olivier, sur la cime du mont Oeta. Les arbres utilisés symbolisaient

transformée en vache et fait attacher à un arbre, mais Zeus envoya Hermès afin d’endormir les multiples yeux d’Argus et de délivrer ainsi son amante. Nues : en moyen français, nuages. Conins : lapins sauvages. Achelois : Roi d’Etolie, il demande Déjanire en mariage en même temps qu’Hercule ce qui provoque un duel entre les deux hommes. Voyant que l’avantage va à son adversaire, il décide d’user de ruses et de stratagème : Il se métamorphose, sa dernière transformation est le taureau. Il est vaincu

reconnu mon Lorenzino d'autrefois ». Mais son corps semble souillé par le vice. A la scène 5 de l'acte IV il tente de corrompre sa tante. Il s'accuse de pouvoir corrompre sa mère « si son cerveau le prenait à tâche ». Il compare son vice à la robe de Déjanire : il ne peut plus s'en débarrasser.   La seule chose à laquelle Lorenzo croit pouvoir se rattacher est le meurtre d'Alexandre. Il y met toute sa force, tout son esprit. Le spectateur découvre au fil de la pièce les détails du meurtre préparé par