D'elles

été énoncée n’a guère évolué. Serviteur de la loi, le juge administratif l’est à un double titre. D’une part, il l’est nécessairement parce que c’est d’elle qu’il détient toujours, au moins formellement, le pouvoir de juger l’administration et à travers l’Exécutif. D’autre part, il l’est mécaniquement parce que c’est d’elle qu’il tire essentiellement, malgré son relatif déclin, les normes qui lui permettent d’exercer son office. Autrement dit, la loi constitue, à la fois, le fondement

Maddie bien que Maddie ne les intéressait pas, mais dès la disparition, elle avait été devenue intéressante. Ils trouvaient le journal intime d’elle et lisaient un extrait où elle explique qu’elle était tombée amoureuse. En plus elle écrivait que Christelle avait dit à elle que ce garçon l’aimait. En réalité Christelle et toute les autres filles se moquaient d’elle mais elle considérait ces filles comme ses amies.(1) Après avoir lu cet extrait, les camarades de classe cherchaient des réponses sur la

appelé sa belle-mère récemment pour lui demander de l'accompagner à la boulangerie car elle n'a pas le permis de conduire et que sa belle-mère lui aurait refusé en lui« raccrochant au nez ». Elle poursuit en m'expliquant que cet événement l'a mis hors d'elle et qu'elle s'est rendue à pied chez sa belle-mère où elles ont eu une explication virulente. Mme B ayant dit à sa belle-mère des choses qu'elle portait depuis des années sur son cœur et qu'elle n'avait jamais osé lui dire jusque là. Entre temps

Elle est la mère des deux héros. Âgée de quarante-huit ans, c'est une belle femme que le temps a peu marquée : « Mme Roland, une femme de quarante-huit ans et qui ne les portait pas ». La description que l'auteur nous fait d'elle est très positive : c'est une femme belle, au caractère doux, aimée de tous, son air est heureux, reposée. Elle aime les lectures simples, d'amour, et la poésie, même mauvaise, éveille en elle quelques cordes sensibles : « [...] la sensation d'un désir mystérieux presque

mouvoir, son corps est rigide, elle est totalement dépendante. Madame B. a tous les jours la visite d’un des membres de sa famille, son époux, ses deux filles, un de ses petits-fils. Ils prennent soin d’elle en l’emmenant en balade, en lui donnant à manger, en restant assis auprès d’elle ou en lui racontant des nouvelles et en s’assurant qu’elle ait tout ce dont elle a besoin (linge, produit de toilette...). Elle s’est mariée à l’âge de 18 ans à un avocat pour qui elle effectuait des travaux

ne faut pas déshonorer les lois qu’imposent les dieux. Analyse d’Antigone Antigone est la fiancée d’Hémon, la fille d’Œdipe et la sœur de Polynice, Ismène et Étéocle. Elle est une femme de caractère (surtout pour l’époque), très décidée et sûre d’elle. Elle est fière et parfois même orgueilleuse, elle a soucis de sa gloire et de sa réputation envers les dieux. Elle commence la pièce en montrant déjà qu’elle est soucieuse des lois des dieux, et de leurs malédictions : « Sais-tu de ces malheurs

de sa sensibilité, de son honneur et de sa proité" , et d'esprit "il a ...des lumières, de l'esprit, de la gaieté, du goût pour les beaux-arts, et surtout de l'originalité." *La narratrice a de la détermination, du jugement. Elle n'aime pas parlé d'elle, elle insiste sur le fait qu'elle y est obligé "je peins une partie de mes malheurs". Elle ne se fonde absolument pas sur sa coquetterie. Analyse synthétique: I) Les indices d'énonciations _emploie de la première personne (mon, ma, mes, je.

cadeau de Diego, est son animal de compagnie. Les papillons qui virevoltent autour d’elle évoque la résurrection et l’espoir. Derrière elle, des plantes tropicales symbolisent son pays natal : le Mexique. Etrangement le visage n’exprime pas de sentiments, le regard est insondable, les paupières sont lourdes, la moustache exagérée (une façon de nier sa féminité bafouée). Seuls les éléments placés autour d’elle traduisent son moi intérieur. La pose est frontale, directe, le spectateur pris

et découvre que son amour pour Ellénore a passé. Il aimerait partir, mais hésite et reviens toujours auprès d'elle, bien que cette situation le rende extrêmement malheureux. Il confie à un ami sa résolution de partir, mais celui-ci fait lire à Ellénore la lettre qui annonce son départ définitif. Elle tombe gravement malade. Déchiré par un grand sentiment de culpabilité, il reste auprès d'elle jusqu'à sa mort. Le livre se termine par la lecture d'une des lettres d'Ellénore, qui lui affirme que c'est

droits et valeurs. 2. Si je n’ai pas d’argent pour m’approprié le monde extérieur, je n’ai pas fait preuve que j’étais propriétaire de moi, donc je ne peux pas être qualifiée comme étant une personne libre. 3. La liberté d’une personne, propriétaire d’elle-même, s’exerce exclusivement en vue de s’approprier les biens du monde extérieur. 4. Victoire incontestable des droits fondamentaux négatifs sur tous les autres droits. Sinon atteinte à la propriété privée, à l’autonomie, à la personne et surtout