Demeure du Chaos

dieux, les hommes Jean-Pierre Vernant L'origine de l'univers: A l'origine on trouve Chaos, la Béance, illimité, ténébreux. Gaïa apparaît ensuite, la Terre, le plancher du monde qui s'étend de façon infinie dans toutes les directions. Mais sous cette surface demeure toujours la béance. Éros surgit de la Terre en troisième lieu, il est le vieil Amour, et ne correspond pas à une reproduction sexuée ( Chaos est neutre et Gaïa est féminin). Dès lors la Terre enfante de deux entités: Ouranos (

l'origine des dieux. ChaosSelon Hésiode, il précède non seulement l'origine du monde, mais celle des dieux. Chaos précède ainsi Gaïa (la Terre), Éros (l'Amour), le Tartare (les Enfers) , l' HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89r%C3%A8be" \o "Érèbe" Érèbe (les ténèbres des Enfers) et  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Nyx" \o "Nyx" Nyx (la Nuit). « Donc, au commencement, fut Chaos, et puis la Terre au vaste sein, siège inébranlable de tous les immortels qui habitent les sommets du

accepté le tableau fini parce qu'à l'époque c'était un tableau scandaleux inadmissible : le sourire est incorrect et la jeune femme est plantée devant un paysage préhumain, affreux, terrible. Le sourire de la Joconde : l'instant de grâce entre le chaos du passé et le néant à venir. Le sourire lie la figure au paysage à l'arrière plan. Le paysage est incohérent, dans la partie droite il y a des montagnes très hautes et tout en haut un lac, plat comme un miroir qui donne une ligne d'horizon très haute

tout début, il y a Béance, Vie obscure CHAOS; espace de chute, de vertige et de confusion. Ensuite apparut Terre : GAÏA Ne pas oublier que c’est au sein de la béance que GAÏA a surgi ; les deux sont des contraires puisqu'on a une forme distincte, séparée ici, et là la vie ténébreuse, la gueule béante, celle qui engloutit tout. Sous la stabilité demeure la béance. D’un côté les montagnes lumineuses, en-­‐dessous les profondeurs, l’enracinement. Après CHAOS ET GAÏA apparaît un troisième lieu que

Grand-Prêtre récitait le Poème de la Création. Cette lecture était accompagnée de commentaires probablement émis par l'assemblée des prêtres qui répondait au Grand-Prêtre et l'assistait. On célébrait alors les épisodes de la victoire de Mardouk sur le Chaos, sa Toute-Puissance, et en même temps on commémorait les événements mémorables de sa mort et de sa résurrection. En reliant ce poème aux scènes religieuses que l'on représentait, les actes accomplis lors de la Création prenaient des significations

plus confrontés à des hommes mais à des puissances surhumaines, des monstres et les compagnons d’Ulysse sont « effrayés par sa voix profonde et sa grande taille ». ~ La force de Polyphème est herculéenne. ~ Le cyclope incarne la violence et le chaos, il dévore les compagnons d’Ulysse sans aucun état d’âme. ~ Il symbolise le fort qui broie les faibles faisant écho à toutes les atrocités commises par les Achéens après la chute de la ville d’Ilion (ex : viol de Cassandre par Ajax) b) La

animaux sont incapables : cela suppose la mémoire (se souvenir de ce qui s'est répété d'un cas sur l'autre) et l'abstraction (abstraire une forme commune à cette diversité sensible). 2. La connaissance comme mise en ordre a) Le besoin d'ordonner le chaos des apparences Ce qu'il faut à présent remarquer, c'est que la nature se présente elle-même et d'elle-même comme une multiplicité que rien n'unit : ce que les sens nous offrent, c'est une suite sans fin et sans unité de « figures et de phénomènes

occidentales ; la mythologie égyptienne qui présente Atoum comme créateur originel, ou la cosmogonie nordique avec le géant Ymir de qui naquît toute chose, ou même de la mythologie grecque à travers Chaos mais cette fois ci, d'une manière ambiguë, car les hommes ne connaissent pas la nature de Chaos. Cependant il est lui aussi considéré comme cette récurrente divinité originelle.). Ces trois cosmogonies, Égyptiennes, nordiques et grecques s'identifient toutes à un être à l'origine des divinités créatrices

la plus lue. Pourtant, ce court récit est l'un des plus violents et des plus pessimistes (quel que puisse être le dénouement) que Voltaire ait jamais écrit. Le monde que traversent en effet Pangloss et son élève apparaît comme le vaste théâtre d'un chaos où les hommes deviennent des marionnettes soumises à la violence et à la cruauté d'une fatalité qu'ils désespèrent de pouvoir identifier. Ainsi, lorsque nous parvenons au chapitre 6, intitulé « _Comment on fit un bel auto-da-fé pour empêcher les

regardé plusieurs films avec des éléments fantastiques, y compris La Fille de Keltoum, Chaos, et Le Havre. Ces films emploient des techniques différents afin d’échapper du monde réel, et la fantaisie créer un effet différent dans chacun. Pourtant, la fantaisie permit à tous ces films de réussir à communiquer leurs idées centrales. Même si les films sont plus réalistes que des autres formes d’art, la fantaisie demeure un élément indispensable. La Fille de Keltoum, réalisé en 2001 par Mehdi Charef, est