Demoiselles Des Lumières

Paris : Ville lumière pendant la belle époque Introduction: L’expression "Belle Époque" a été créée au lendemain de la Première Guerre Mondiale pour désigner la période qui s’étend de la fin du XIXème siècle au début du XXème (soit approximativement de 1890 à 1914). Il s’agissait alors d’exprimer la nostalgie d’une période d’insouciance, de plaisir, de bonne santé économique dans le cadre de la deuxième Révolution Industrielle. Cette période est caractérisée par un grand rayonnement culturel

discret sillage de La Queste, La Mort Artu relate la disparition des valeurs courtoisesA. Mort de « l’idéal courtois » fondé sur la valorisation du héros chevalier, parfait guerrier et parfait amantMort de l’idéal amoureux (deux persos féminins : demoiselle d’Escalot et dame de Belloé meurent). Le couple courtois Lancelot-Guenièvre pas présentés comme des amants exemplaires, ont glissé dans la passion incontrôlable et charnelle.Dissipation progressive des conditions de l’aventure chevaleresque : plus

dernière le renseignant surtout sur la vie difficile des demoiselles de magasin. Mais avant de se livrer à des investigations sur le terrain, Zola a sans doute commencé par lire attentivement les trois articles de presse conservés dans son dossier préparatoire, sur lesquels il a pris cinq pages de notes : un article du Figaro sur « les grands bazars » (23 mars 1881), « Le calicot », de Jean Richepin, dans Gil Blas (21 novembre 1881), et « Les demoiselles de magasin », également dans Gil Blas (16 janvier

« la fée ». Elle est ensuite utilisée à l’échelle de la ville : l’éclairage électrique fait son apparition dans les grandes « artères » de la capitale et par exemple quelques immeubles commencent à être équipés d’ascenseurs. Paris devient la Ville-Lumière. La capitale dispose aussi de grands magasins, lieu de consommations. On peut cité entre autre « Au bonheur des dames », « les galeries Lafayette », « la Samaritaine »… Paris change de visage est devient un endroit de divertissement et de fête. Le

aux accusations : la naïve : « Quel papier ? », « je ne sais pas… », « ah ah par distraction » l’indignée : « j’en suis plus révoltée encore », « de quel droit s’il vous plaît ? » la femme faible qui s’évanouit (demoiselle en détresse) : « feint de se trouver mal », « je m’affaiblis, je meurs » l’injuriée innocente : « je ne veux rien de vous, laissez-moi » : elle a réussi à inverser les rôles et met Bartholo à ses pieds Elle le manipule, en sachant

sphère, le cône ». Ce célèbre précepte fut administré à son disciple Emilie Bernard, par le biais d’une correspondance qui fut rendue publique la même année. On parle de point de départ du cubisme lorsqu’on évoque le tableau de Picasso, Les Demoiselles d’Avignon (1907, huile sur toile, 243,9 x 233,7 cm, New York, The Museum of Modern Art), appliquant très clairement le principe. Il montre des corps traités de manière très schématique, comportant notamment des formes angulaires non dégrossies.

l'architecture gothique. Les innovations techniques de l’art gothique, qui se traduisent par une meilleure répartition des charges, permettent de construire des bâtiments beaucoup plus ouverts avec de larges baies, laissant ainsi entrer plus de lumière à l'intérieur. L’Impressionnisme I. Les grands noms de ce mouvement Claude Monet (1840-1926) Pierre Auguste Renoir (1841-1919) Édouard Manet (1832-1883) Edgar Degas (1834-1917) Paul Cézanne (1839-1906) Camille Pissarro (1830-1903)

de la réception. 1970 : Spiral jetty (la jetée en spiral) Great Salt Lake dans l’Utah, Robert Smithson (artiste de long art) 1914 : Marcel Duchamp artiste français nationalité américaine le Porte-Bouteilles 1907 : Pablo Picasso. Les demoiselles d’Avignon 1910 Wasllily Kandinsky Aquarelle abstraire première peinture abstraire ou il décidé de privilégier la couleur au détriment de la logique et des formes. 1919-1920 : Raoul Housman le critique d’art a composer une toile a partir

encore en tête d’autres anniversaires, d’autres fêtes célébrées au château quand elles étaient jeunes filles. Ses parents étaient de simples métayers et le village s’étonnait de l’amitié sans faille qui l’unissait à celle qu’on appelait alors « la Demoiselle de Kerostran » ! Cet attachement ne s’était jamais démenti, bien que Marianne eût vécu de nombreuses années à Paris à l’époque où son mari y dirigeait son cabinet d’études financières. À la naissance de Cédric, c’est tout naturellement son amie

reste de sa vie en France. Il initie le mouvement cubiste, brisant les lois traditionnelles de la peinture occidentale ; les objets représentés sont « aplatis » sur la toile afin que tous leurs angles soient visibles simultanément. Le tableau « Les Demoiselles d'Avignon » de 1907 inaugure cette technique révolutionnaire, probablement inspirée des arts africains ou « arts premiers ». Tenté un moment par le surréalisme, l'actualité politique le rattrape : il s'alarme de la montée du fascisme en Europe et