Demoiselles Des Lumières

œuvre est considérée comme le premier grand roman de la littérature française car il est le premier qui dote son héroïne d'une psychologie complexe dans un cadre historique bien défini, celui de la cour des Valois de Henri II. Il met en scène la demoiselle de Chartres, qui fait face aux dangers de la cour. Tiraillée entre son amour pour son amant et ses devoirs conjugaux, elle finira sa vie exilée de tous, contrainte de ses fautes morales.1) La psychologie du roman et l’intemporalité des sentiments

des Lumières a été fascinée par les mœurs et coutumes des peuples qu’elle découvrait. On décrit toujours leur sauvagerie. C’est qu’elle permet aux Européens, avant même de comprendre ces sociétés comme des cultures spécifiques, de les inclure dans l’histoire comparée des civilisations, qui commence à poindre, en postulant l’unité de la nature humaine. Par effet de miroir, elle donne aussi à voir ce qui reste de superstition dans les coutumes européennes. Aux yeux des philosophes des Lumières, cette

également une autre nouveauté technique qui est le cinéma apporté par les frères Lumières à Paris. En effet, la première représentation privée du cinématographe eu lieu à Paris le 22 mars 1895 dans les locaux de la Société d'Encouragement pour l'Industrie Nationale, puis, s’en suivi la première projection publique a lieu au Salon indien du Grand Café toujours à Paris, le 28 décembre 1895, présentée par Antoine Lumière lui-même devant trente-trois spectateurs. Paris peut donc être considérée comme

cubisme et le surréalisme, certaines sont liés à différentes phases de sa vie et d'autre simplement au mouvement. C'est en 1904 que Picasso rejoint définitivement la France. Le cubisme apparaît avec Picasso en 1907 avec le célèbre tableau Les Demoiselles d’Avignon qui fut présenté au public lors d'une exposition en 1916. Avant de peindre Guernica il n'apparaît pas dans la peinture de Picasso de trace de la tragédie de la 1ère Guerre Mondiale qui se déroule autours de lui. C'est le soulèvement du

miroir, le tableau se compose alors simplement d’un cadrage en légère plongée et légèrement décentré sur une coiffeuse et ses objets du quotidien. Le miroir est légèrement décalé par rapport au centre du tableau, ce qui permet de révéler une source de lumière, c’est à dire une fenêtre sur la droite de la toile. Mais la complexité de la composition réside dans le miroir, qui donne une vraie profondeur à l’œuvre. On se retrouve donc dans une position où l’on découvre ce qui se passe derrière nous par le

gazelle. J’aurais tant aimé être forte dans plusieurs domaines pour prouver aux autres que je ne suis pas nulle. J’aurais voulu qu’il me regarde-moi et pas elle. Je me suis toujours dit que j’avais une vie de merde. » Chapitre 1 : Prologue La lumière éclairait la pièce, engendrait le chant des oiseaux. Les nuages n’étaient pas présents, la brise se faufilait à l’intérieur des classes ce qui fait un sifflement aigu. Le professeur, nommé Monsieur Sarazin, appelait chaque élève par leurs noms de

cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Présentation de l’auteur : Pablo Picasso : Picasso est né en 1881 en Espagne et il est mort en 1973 en France où il a passé la majeure partie de sa vie. En 1907, Picasso peint les Demoiselles d’Avignon (huile sur toile, 244 x 234 cm) qui est l’œuvre fondatrice du cubisme, et il invente en compagnie de Georges Braque

alimentent la dimension spirituelle de cette littérature. II-Les grandes œuvres du mouvement symboliste 1) la littérature a) Les romans : Paul Adam est le romancier symboliste le plus représentatif. Il écrit d’ailleurs Les Demoiselles Goubert avec Jean Moréas en 1886. b) Le théâtre : Paul Fort permet au mouvement de connaître une certaine notoriété c) La poésie : Charles Baudelaire marque le début du symbolisme en publiant Les Fleurs du mal mais d’autres

Villers-Cotterets. « Force de la littérature, force de la nature, comme son héros Porthos qu'il aimait tant, il choisit de vivre sa vie. Cette vie foisonnante, luxuriante, parfois criarde, jamais mesquine, tout entière habitée par une généreuse lumière.» (Jacques Chirac, Discours prononcé à l'occasion du transfert des cendres d'Alexandre Dumas au Panthéon, 30 novembre 2002) Bibliographie (extrait) : 1829 : Henri III et sa cour. 1831 : Antony ; Charles VII chez ses grands vassaux

plus de sincérité possible (Un enterrement à Ornans, 1850). Les critiques sont choqués par ses productions. Son Atelier du peintre est rejeté de l'Exposition universelle (1855), ce qui le décide à exposer ses œuvres individuellement. Il peint les Demoiselles du bord de Seine (1857), le Sommeil (1866), la toile érotique l'Origine du monde (1866) et réalise la Falaise d'Etretat, lors d'un séjour en Normandie. Par la suite, il préside les Beaux-Arts et prend part au mouvement de la Commune. Accusé d'avoir