Denise Boucher

trente-cinq ans [et est de] taille moyenne. [Il a] les épaules fortes, [le] visage presque rectangulaire, les yeux sombres et droits, mais les mâchoires saillantes. [Son] nez [est] fort et régulier. [Ses] cheveux noirs [sont] coupés très court. La bouche est arquée avec des lèvres pleines et presque toujours serrées. Il a un peu l’air d’un paysan Sicilien avec sa peau cuite, son poil noir et ses vêtements de teintes toujours foncées, mais qui lui vont bien. […] [Il est] toujours nu-tête [et a] l’air

ciliature somatique, qui recouvre la cellule et bat de façon synchronisée, lui permet de se déplacer. Une ciliature orale distincte couvre la grande invagination ventrale en forme d'entonnoir, le péristome, qui mène jusqu'au cytostome (la bouche). Elle se nourrit essentiellement de bactéries par phagocytose. La paramécie vit isolée en eau douce. Elle fait partie des « infusoires » des anciens auteurs : elle apparaît en grand nombre dans les infusions de végétaux, rendant sa culture

possible du palais pour produire ce son. Dans le cadre de notre poème, on peut donc avoir l’impression que le narrateur a, au départ de son énoncé, de la peine à sortir pleinement les mots de sa bouche et que au fur et à mesure que l’action se passe et qu’il finit par capituler face au destin, la bouche s’ouvre, le son se fait plus fort jusqu’à s’affaiblir à nouveau au dernier vers avec « A ce qu’a préd[i]t la tz[i]gane ». Autre répétition de ce genre aux vers 5 et 6 avec le son /u/ transcrit dans :

soupirs» ou encore “Fut jeté dans un trou comme un chien crevé, après avoir été éventré par un boulet et piétiné, écrasé, mis en bouillie par les charges de cavalerie.” Guernica illustre parfaitement la douleur du peuple : tous les personnages ont la bouche ouverte afin d'exprimer l'effroi,la terreur et la douleur. Comme le personnage brûlé vif à droite du tableau qui exprime la souffrance et le désaroi par ses yeux en forme de larmes ainsi que son visage qui est tourné vers le ciel avec les bras levés

joie de la part de ses personnages alors que la petite est terrifiée, ils sont comme content de ce qu’il lui arrive. tout deux sont des personnages américains, qui “vend du rêve aux enfants”. Si on observe d’un bon point de vue, la jeune fille à la bouche retouchée, on aperçoit un sourire forcé. Dans cet oeuvre, Bansky veut dénoncé l’impéralisme (Etat qui veut conquérir d’autres etats.) a travers des symboles de capitalisme. Il veut également choqué les personnes qui soutiennent les poliques américaines

émissions ultrasons des chauves-souris sont d’une extrême diversité. Elles sont produite par expiration de l’air qui fait vibrer le larynx passant par les résonateurs que sont le pharynx, puis, suivant les espèces, le nez (famille des rhinolophidés) ou la bouche (famille des vespertilionidés) RHINOLOPHIDES : C’est la structure du museau en forme de feuille nasale et l’accroche systématique de l’animal, pendu tête en bas enveloppé dans ses ailes, qui caractérisent le plus cette famille VESPERTILIONIDES :

assimilation est imparfaite. Quand la perte de tonus des muscles du visage touche les muscles labiaux il se produit une ptose de la lèvre inférieure qui peut laisser s'écouler la salive. Les glandes salivaires s'atrophient, donnant une bouche sèche, un goût métallique dans la bouche. Il en découle une sélection alimentaire : la personne âgée va laisser de côté tout ce qui est riche en résidus et en vitamines et choisir les aliments riches en amidon, les dessertsÉ ce qui influe sur la fonction gastro-intestinale

foule contribuent à imaginer la scène. Ensuite, la description du corps se fait par étape, afin de ne pas mélanger le spectateur. On parcourt le visage comme avec une caméra : une vue d’ensemble du visage puis description des yeux, du nez, de la bouche et enfin de ses cheveux "coulant en un ruissellement d’or. 6. Un portrait à la visée symbolique et politique Enfin, la scène décrite comporte une visée symbolique et politique. En effet, Zola ne se contente pas de décrire les effets de la maladie

l'image de deux ailes de papillon. Après avoir été cachée pendant deux décennies, la gorge refait son apparition. Cette disposition nouvelle est peut-être une réponse aux incommodités de la grande fraise, beaucoup trop volumineuse pour accéder à la bouche, que ce soit pour s'alimenter, pour porter un verre à ses lèvres ou encore pour embrasser ; l'ouverture de la fraise devant le visage est peut-être une adaptation pratique pour en contourner les contraintes. Nonobstant cet aspect encombrant, la grande

étaient empreints d'une grâce nébuleuse, son regard attestait des efforts trahis, mille espérances trompées! La morne impassibilité du suicide donnait à ce front une pâleur mate et maladive, un sourire amer dessinait de légers plis dans les coins de la bouche, et la physionomie exprimait une résignation qui faisait mal à voir. Quelque secret génie scintillait au fond de ces yeux voilés peut-être par les fatigues du plaisir. Etait-ce la débauche qui marquait de son sale cachet cette noble figure jadis pure