Déploration du Christ

passé "avait reçu" v1 – "regarda" v12 Description et discours Narrateur = Hugo puis l'aïeul v13 Scène théâtralisée scène de deuil dramatise, description "une toupie en buis"(l.8), mise en scène dans l'écriture, tout est choisi, comparaison avec le Christ au vers 9 Ressorts du pathétique émouvoir le lecteur, situation : avec la grand-mère qui pleure (l.4) et l'innovence de l'enfant symbolisé avec sa toupie (l.8), les lieux des lieux : "logis propre, humble, plaisible, honnête", ils ne méritent pas

Les origines de la tragédie. La tragédie apparaît à Athènes au vieme siècle avant Jésus Christ. Elle est représentée dans le cadre des fêtes de Dionysos (fin janvier et fin juin). Le mot τραγῳδία est composé de τράγος / (« bouc ») et ᾠδή / (« chant ») ; il veut originellement dire « chant du bouc ». Mais les raisons d’un tel vocable ne sont pas très claires. La tragédie pourrait avoir été d’abord liée au satyre, compagnon de Dionysos, mi-homme mi-bouc. Cette hypothèse semble étayée par Aristote

BAIGNOIRE sabot en cuivre cachée sous l'horizontalité d'une draperie, coffre avec une dédicace, tel l’épitaphe d’une tombe, le corps nu héroïque et idéalisé coincé dans la baignoire, l’attitude de Marat qui rappelle l’abandon d’un Christ mort d’une déposition ou d’une déploration. Ainsi, l'historien d'art Klaus Lankheit (de) a pu comparer ce motif de l'abandon (bras pendant, tête affaissée) à l'image du Sauveur mort dans La Pietà de Michel-Ange ou La Mise au tombeau deCaravage4. Le choix de l’instant (le

l’idéalisation et la dramatisation d’une peinture d’histoire : grande diagonale de la lumière, coffre avec une dédicace, tel l’épitaphe d’une tombe, le corps nu héroïque et idéalisé, l’attitude de Marat qui rappelle l’abandon d’un Christ mort d’une déposition ou d’une déploration. Le choix de l’instant (le titre donné par David était « Marat à son dernier soupir »)1, la solennité, le naturalisme et l’idéalisation élèvent le sujet et confère une portée politique et symbolique à la réalité contemporaine

En juillet 1481, a la demande du pape Sixte IV, l’artiste se rend a Rome ou il exécute trois vastes compositions dans la nouvelle chapelle pontificale ( Sixtine) : « Les Epreuves de Moïse, Le Châtiment des prêtres rebelles et Les tentations du Christ ». En 1482, son travail a Rome terminé, Botticelli revient à Florence et va réaliser en une dizaine d’année toute une série de tableaux mythologiques qui lui assurent aujourd’hui (dans l’essentiel) sa célébrité. L’œuvre la plus connu étant l’allégorie

monde et du peuple hébreu et les récits séparés). Les livres prophétiques (la prédiction du messie) et pour finir les livres poétique et sapientaux. * Le nouveau Testament : Histoire de Jésus, le Christ (le Messie) et des apôtres. Composé de 27 livres, les quatre évangiles (la vie du Christ) : trois synoptiques : Matthieu, Marc et Luc, mis a part l’Apocalypse selon Saint Jean. On trouve aussi les actes des apôtres et les lettres apostoliques. Les rapports entre les deux Testaments La méthode

Pour le jugement dernier on ne pouvait imaginer un déploiement d’énergie plus dramatique chez le créateur. Dans un corps tout en torsions, un dieu terrifiant crée en même temps la lune et le soleil. Quatre cents corps nus avec en son centre un christ tout en vigueur, son buste rectangulaire légèrement tordu et une position contrastée des bras. Il ne semble qu’être une image inversée de l’inimitable Laocoon. Dans d’autres cas pour St Jean Baptiste on songe à l’hercule de Farnèse. Les corps grands

d’Utrecht, avec plusieurs chefs-d’œuvre de ter Brugghen (Christ aux outrages du Musée de l’Assistance Publique11), Honthorst, et Baburen. De ce dernier peintre (le moins connu des Français, le Louvre n’en possédant pas, hélas), on verra le Fumeur de pipe du Musée Marmottan que ce musée n’expose pas, et l’admirable Couronnement d’épines conservé à Kansas City (ill. 8). Quant à Honthorst, le plus émouvant de ses tableaux montré ici est certainement le Christ aux outrages (ill. 9) de Los Angeles. Après la section

s'effondre ac eux quand ils se rebellent contre le roi de France ou le suzerain pour leurs revendications : assez d'être pauvre ac riches au dessus d'eux. La quête: errant, cherchent quelque quelque chose. ( le Graal aurait recueilli le sang du christ, mythe chrétien) Le don contraignant : faire jurer à quelqu'un d'accomplir quelque chose sans savoir de quoi il s'agit. Se défiler=perdre son honneur. ----- Les femmes: fées, femmes intouchables.Statut insignifiant. Femme=pécheresse, christianisme

immédiatement, sur cette terre même, d’un paradis révélé » (Baudelaire, Notes nouvelles sur Edgar Poe). La mélancolie, signe du génie – On peut en revanche parler de « dolorisme romantique » dans le sens où, par l’intermédiaire d’une analogie entre le Christ et le poète, la souffrance devient le signe d’une élection puis d’une assomption artistique : « Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur / Les plus désespérés sont les chants les plus beaux / Et j’en sais d’immortels qui sont de purs sanglots