Dépression respiratoire

des laxatifs, mais ces complications sont rares. Mais la gravité est mentale : * Désinsertion * Désert sentimental * Débâcle affective et familiale * Désespoir Désir de mort : 10-15 % décèdent par suicide Boulimie et dépression : un lien dans les deux sens 1. La crise 2. Les mécanismes Au cas par cas 3. Les conséquences 4. Le traitement 5. Conclusion Résumé : La boulimie est un besoin irrépressible de consommer une grande quantité d’aliments par crises.

inférieurs en demi-flexion.) 4. Autres signes : • Douleurs ou crampes musculaires. • Réflexes O-T normaux ou vifs. • Troubles dysautonomiques à type de dysphagie, hypersialorrhée, hypotension orthostatique, etc. • Troubles psychiques à type de dépression, délires, hallucinations et détérioration intellectuelle à un stade tardif. TRAITEMENT A. Traitement médical: - Médicaments anticholinergiques, type Trihexyphénidyle (Artane*) - Médicaments dopaminergiques (L Dopa), type Modopar en gélules

pression exercée au sol avec une température de 0 °C, au niveau de la mer et à une latitude de 45 °. Au niveau de la mer, en France métropolitaine, la pression atmosphérique varie entre 950 hPa et 1050 hPa. Les zones de basse pression sont appelées dépressions, celles de haute pression anticyclones. • la température est un paramètre très variable, notamment en fonction de l’altitude, de la longitude, de la saison, des conditions météorologiques, etc. Elle diminue depuis le sol jusqu’au sommet de la troposphère

mâtiné Mr D reste encore le plus souvent alité. Mr D a vu l’assistante sociale pour son devenir et une demande de convalescence, elle devait voir sa fille pour envisager un rapprochement prés de chez elle (Arras) PROJET DE SOINS : • Problème de dépression lié a un syndrome dépressif connu, majoré par de l’anxiété se manifestant par ses dires (Mr D est nostalgique de son domicile et de la présence de ses chiens (il dit « avoir peur de mourir ici, sans pouvoir dire au revoir a ses chiens), et aussi

et soir, c’est un anti-épileptique et un anti-convulsivant dont le mode d’action exact n’est pas connu. Effets indésirables : infection virale :pneumonie, infection respiratoire, infection urinaire, infection, otite moyenne, leucopénie, anorexie, augmentation de l'appétit, agressivité, confusion et labilité émotionnelle, dépression, anxiété, nervosité, trouble de la pensée, somnolence, étourdissements, ataxie, troubles visuels tels qu'amblyopie, diplopie, vertige, hypertension artérielle, vasodilatation

fluctuations non motrices : Dérèglement végétatif : nausées, douleurs abdominales, dysphagie, mictions impérieuses, sueurs, modifications de la température corporelle. Douleurs, paresthésies de la racine des membres ou des extrémités. Sensation de blocage respiratoire. Episode d’anxiété (attaque de panique) ou dépressif aigu. Dr MESSIN-02/2011 DYSKINESIES (mouvements involontaires) Peuvent apparaître avec les fluctuations ou dans un second temps. Sont plutôt observées chez les patients débutant leur maladie

dominante hystérique : hystérie chez l’adulte, trois types de symptômes : conversion corporelle (ex : paralysie, convulsion), rétrécissement du champ de conscience (scotomisation), théâtralisme (faire valoir, dépendance) pour lutter contre une profonde dépression. - Trouble névrotique à dominante obsessionnelle : rituels pour conjurer idées obsédantes, TICS, rumination mentale, comportements dominés par l’hésitation, besoin de vérification. Traits de caractère anal, goût de l’ordre, des collections

Claude JACQUES LA DEPRESSION : MALADIE DU 21ème SIECLE Où en sommes nous ? Ecole de Psychologie clinique 3ème année SOMMAIRE 1/ Introduction 2/ Définition de la dépression 3/L’historique 4/ La situation actuelle en chiffres 5/ Les différentes catégories 6/ Diagnostics 7/ D’où vient-elle 8/ Traitements actuels Psychiatriques, psychanalytiques et l’Analyse Transactionnelle 9/ Cas cliniques 10/ Conclusion 1/ INTRODUCTION La dépression, un ténébreux état

manque qui provoquent anxiété, agitation... La dépendance à l'héroïne entraîne des risques sociaux importants. Elle enclenche un processus de marginalisation chez certains usagers. La surdose ou overdose de l'héroïne peut provoquer une insuffisance respiratoire entraînant une perte de connaissance et éventuellement la mort. L'injection entraîne des risques d'infection (notamment par les virus du sida et des hépatites B et C) si l'usager ne se sert pas d'un matériel d'injection stérile, à usage unique

Cahier recherche et pratique VOLUME 1 NUMÉRO 2 SEPTEMBRE 2010 La dépression Considérations autour des choix de traitements Le traitement de la dépression : un choix de société Dr Martin Drapeau, psychologue Le diagnostic différentiel du trouble de l’humeur Dr Fabien Gagnon, psychologue et médecin psychiatre Les facteurs prédictifs de la réponse aux traitements Dr Jay C. Fournier et Dr Robert DeRubeis, psychologue Les facteurs thérapeutiques des troubles de l’humeur Dr Larry E