Déraillement

Leur nationalité est précisée afin d'insister sur le fait qu'ils ne sont pas Français, suivie du nombre d'attentats commis, pour que les gens fassent le rapprochement entre ces deux élements. 3) Les photos rectangulaires représentent des déraillements de trains, des armes, un homme transpercé de balles : Elles cherchent à produire un sentiment d'horreur sur le passant, et à assimiler les résistants à ces crimes. 4) Les couleurs de l'affiche sont le rouge pour le sang, la violence, et le

bas, celle de Manouchian, chef de groupe, et vers les photos rectangulaires représentants les méfaits. Il y a donc bien manipulation du regard. La flèche symbolique pointe vers le crime, accusant ainsi les résistants. On observe cinq photos : déraillement de trains/ explosions/ armes saisies/ corps criblés de balles. Ces cinq photos représentent les méfaits réalisés (prétendument) par les terroristes. La photo du milieu, témoigne des armes saisies. Le butin réalisé par la police est présenté à

ils étaient directement visés par le Régime de Vichy), les membres des FTP-MOI s’occupaient de la guérilla urbaine dès le début 1942, intensifiant la lutte armée après la Rafle du Vèl d’Hiv. Leurs bataillons ont mené des milliers d’actions : déraillements de trains, poses de bombes dans des officines de collaborateurs et de soldats allemands, lancers de grenades, vols d’armes, d’argent et d’explosifs, distributions de tracts. Le FTP-MOI tente également d’inciter la communauté juive à l’auto-défense

La métaphore de la foudre, qui connote la rapidité et la brutalité, convient bien au déraillement du train. L'antithèse « Souillée de terre et de bave, elle toujours si luisante » et les métaphores animales soulignent le sort dégradant de la Lison exhibée à tous les regards «  ses organes meurtris, mis au plein jour », 2 ) Les champs lexicaux de la violence et de la mort sont très présents : des déraillements spéctaculaires à l'époque ont inspiré Zola. Il emploie un registre très réaliste du corps

destination de leurs réseaux SOE dont l'une des missions essentielles est le sabotage. Les chemins de fer sont la cible préférée des saboteurs. On comprend d'ailleurs bien vite que le déboulonnage est autrement plus efficace que les explosifs. Les déraillements de train sont d'une efficacité discutable pendant toute la période de l'occupation où les Allemands parviennent à réparer les voies assez rapidement. Après le débarquement de Normandie et celui de Provence, joints aux bombardements alliés, ils

Vincennes. 15 novembre : Le cabinet Painlevé est renversé par la Chambre. 16 novembre : Le radical Georges Clemenceau président du Conseil pour la deuxième fois (fin en 1920). Censure, chasse aux “embusqués”, visites aux tranchées. 12 décembre : Déraillement d'un train à Saint-Michel-de-Maurienne qui fait 543 victimes. Décembre : Arrestation de Joseph Caillaux pour « espionnage et trahison ». La Chanson de Craonne, d'auteur inconnu, est composée. Retranscrite par Paul Vaillant-Couturier, elle exprime

Américains débarquent, au grand soulagement des prisonniers toujours détenus à l’écurie. Les bombardements se poursuivent, mais la fin de la guerre est imminente. Le 30 avril, A. et sa famille embarquent dans un train à destination de la France. Un déraillement de wagons ralentit leur périple. Chez les voyageurs, la fébrilité est palpable. Au début de mai, c’est l’arrivée à Hayange. Enfin, la guerre est finie !28 juillet 1944. A., sa famille et une vingtaine d’autres prisonniers sont conduits vers

nationalités : la consonance étrangère des noms, les qualificatifs « juif » « communiste » « hongrois »… voudraient faire croire que la plupart des résistants n’étaient pas français. • Les photos rectangulaires montrent des actes terroristes : déraillement de trains, un corps criblé de balles et au centre, une saisie d’armes. Le corps transpercé de balles estil celui d’une victime des résistants ou le corps d’un résistant ? On ne sait pas. • Le texte : on trouve des légendes aux photos et un texte

moments : l’assassinat de Grandmorin et le meurtre de Séverine par Jacques. Mais le roman comporte d’autres instants déterminants : les aveux de Séverine, l’un à Roubaud l’autre à Jacques, l’immobilisation de La Lison dans la neige et celui du déraillement où Zola joue avec le temps, le rythme et les regards des personnages pour dramatiser la scène à l’extrême. Il utilise un raccourci cinématographique pour présenter les points de vue successifs des protagonistes du drame. Il a également retenu les

La présence dans photos dans les portraits des résistants( portraits noir et blanc) sont des visages patibulaires avec des coiffures hirsutes sont disposés pour former une flèche qui nous pointe les photos qui relatent des actes terroristes (déraillement de train ; cadavre...). Au centre des photos, il y a la fierté des nazis, la saisie d'arme. Il manque les prénoms des résistants ce qui montre le rejet de l'aspect affectif (les déshumanisant). Dans l'affiche leurs nationalités et leurs idéologies