Dérivation lexicale

L’illustration de la puissance, occupée par le chêne est en forte présence dans cette partie. À mon sens, dans le champ lexical il serait question de l’invulnérabilité du chêne ; « arrête » (soleil) l.8, « brave » (tempête) l.9 et «défendre» (le roseau des intempéries) l.14. Le chêne apparaît en opposition avec le roseau (le faible) comme le puissant, celui ayant le pouvoir. Il démontre sa supériorité aisément par son apparence. Ainsi comme suis, le chêne est l’être résistant : «Tout vous est Aquilon

ville immense et s’appuie sur ses bâtiments et son organisation. Pour lui, NY est la ville de l’immensité et de la grandeur par excellence. Pour le montrer, il va utiliser différentes figures de style ainsi qu’un champ lexical adapté. On constate tout d’abord qu’il utilise le champ lexical de l’immensité avec de nombreux adjectifs tels que « ensembles massifs », « grandes perspectives », « grands rails » Il décrit NY à l’aide de comparaisons et de métaphores, par exemple « comme les grandes plaines

traite négrière et donc le commerce triangulaire affirmant, je cite: [qu'il s'agit] «d'arracher hommes, femmes et enfants a leurs terres» et que ces actions montrer clairement un manque d’humanité chez les négriers. Par ailleurs elle utilise le champ lexical du sang voir de la souffrance. Elle denonce qu'ils traitent ainsi les gens de couleur pour des choses futiles dont ils n'ont pas besoin, cette idee nous permet de faire le lien avec Candide de Voltaire mais aussi avec Les lettres persanes de Montesquieu

utilise aussi des point d’exclamation pour montrer son émerveillement :. Pour terminer, monsieur Jourdain désir apprendre plusieurs matières pour seulement bien paraître devant les autres car il veut être gentilhomme. Dans son livre il utilise un champ lexical de l’apprentissage :, (ligne 65), (ligne 11) qui montre qu’il veut apprendre.il tente d’apprendre des notions qui sont belles et faciles qu’il pourra étaler. ensuite, Monsieur Jourdain est un être ignorant qui connaît peu de choses. Pour

créé par mon orgueil et mon ennui » (34-36). - Or, et c’est là qu’il remet en cause la conception de l’amour de Camille (« Je veux aimer, mais je ne veux pas souffrir », p.66), Perdican présente la souffrance comme indissociable de l’amour : champ lexical de la souffrance (« trompé », « blessé », « malheureux », « souffert »). Autrement dit, pour lui, il faut prendre le risque d’aimer, même si cela peut nous rendre malheureux. Scène capitale puisqu’elle va amener Camille à l’acte III à laisser

effet, les personnages d’Hugo et de Valles sont deux enfants, victimes de leurs sociétés. Tout d’abord Cosette, contrainte d’aller chercher de l’eau par une nuit d’hiver au coeur d’une sombre foret, est l’idée même du personnage pathétique. Le champ lexical de la peur « cœur serré » l.13, ou encore « tremblement » l.15 est très présent dans cet extrait, et ne se rattache pas qu’à Cosette. Il désigne les hommes en général par le pronom « on », « on a peur » l.19. De plus, la nature comme « l’obscurité »

stratégique. Évoquant la dégradation à venir, le poète y oppose en effet une invitation simple : profiter de l’instant présent. a) Invitation au Carpe Diem - Cette invitation au Carpe Diem est annoncée sous le double champ lexical de la nature et du temps. Le champ lexical de la nature, avec l’adjectif « verte », tonalité du feuillage, est ici associée, par redondance presque, à la « nouveauté » (le feuillage nouveau est en général vert). - La beauté fugace de la fleur, et par conséquent de

Fable de La Fontaine. Plan : I- La vivacité du récit II- L'echec de l'argumentation Vous pouvez parler du champ lexical de la faim et de la stereotype des animaux avec le loup qui joue le role de predateur. Cependant on remarque que l agneau qui comprend le danger tente de trouver des arguments aux accusations du Loup. LES REPLIQUES DE L AGNEAU SONT DE PLUS EN PLUS court, il comprend que cela ne sert a rien son sort est deja jouer le loup cite "tu sera chatié de ta temerité"

première et jeune nouveauté » = Marie Comparaison avec la beauté de la nature: Ligne 3 : « rendre le ciel jaloux de sa vive couleur » = la rose Ligne 10 : « quand la terre et le ciel honoraient ta beauté » = Marie Champ lexical de la fleur et de la nature : « fleur », « arrose », « feuille », « vase », « ciel », « jardins », « arbres », « pluie », « terre ». Dernier mots = La rose / métamorphose avec le cops de Marie A) Structure du poème Sonnet en alexandrin

personnage principal ne paraît pas effrayé par sa mort prochaine. En effet il n'utilise pas d'euphémisme pour parler de celle-ci « j'étais condamné à mort » (l2). De plus il ressent seulement de l'ennui (l16) et de l'agacement (l50). L'absence de champ lexical de la colère nous amène à croire que Meursault est serein face à sa condamnation. Plus important il prend la venu du prêtre comme un jeu (l9). En somme il semble inintéressé par son état de sursis. Par contre le Prêtre, lui, semble s'intéresser à