Dernières Volontés

Qu’est-ce qui justifie le respect d’autrui? Lorsque l’ on est enfant, on nous éduque de manière à respecter les gens. On nous apprend , à laisser notre siège dans le bus à une personne âgée . Par conséquent la réponse à « Qu’est-ce qui justifie le respect d’autrui ? » semble être une évidence. En effet, tout le justifie car c’est un des fondement de nos sociétés . Pourtant , cette interrogation , semble bien remettre en question les valeurs du respect ? En quoi est-on obligé de respecter

Selon les Droits de l’Homme et du Citoyen, l’homme est libre par définition, le temps des esclaves étant en principe révolu. Or l’homme libre est un être autonome, qui peut faire ce qu’il veut sans être déterminé dans ses choix par un ou d’ autres hommes. Or choisir, n’est-ce pas s’engager, tout en sacrifiant d’autres possibilités ? Et s’engager, si c’est exprimer sa liberté, n’est-ce pas aussi la perdre, d’une certaine manière, puisque l’engagement suppose promesse et fidélité, c’est-à-dire certaines

Ils sont alors dépendants de leurs parents et notamment de la raison de ceux-ci. De plus, l'éducation passe forcément par l'obéissance. Un enfant afin de poursuive son processus d'éducation doit obéir à ses parents c'est à dire se soumettre à la volonté de ceux-ci. En effet, ses parents font preuves de raison contrairement à lui. Les hommes s'habituent donc au fait d'être dominés dès le plus jeune âge, et ne se rendent pas compte de la valeur de la liberté puisqu'ils ne l'ont jamais vraiment connue

l’arreter et qu’il participe grace a elle de la nature de Dieu. Cette si grande chose est la volonté, le libre arbitre, par laquelle Descartes échappe au determinisme. La volonté, l’infini et la liberté sont liées ensemble meme si elle ne peuvent se differencier l’une de l’autre que par l’illusion. La volonté de Descartes est donc libre car elle est infinie, sa liberté consiste dans l’infinité de sa volonté. On determine donc l’une de ces trois notions comme un rapport entre les deux autres. Descartes

Suffit-il de dire non pour être libre ? « Dire non » signifie refuser ce que l’autre nous propose ou nous impose, s’opposer à une autre volonté que la sienne. Dire non c‘est exprimer un sentiment personnel, si je m’oppose à autrui c’est que je possède ma propre individualité. Pour Kant « la liberté est une propriété de la volonté de tous les êtres raisonnables », pour Rousseau c'est "un vrai pouvoir de juger, de dire oui ou non, d’accepter ou de refuser". Alors Suffirait-il de dire non pour être

question posée part d'une définition, la plus courante (« faire ce que l'on veut »), et la met en cause, en ménageant la possibilité qu'elle soit insuffisante. Cette définition courante fait de la liberté l'absence d'obstacles à la réalisation de ma volonté, bref l'absence de contraintes. Or il existe évidemment toutes sortes de contraintes : des limites physiques, des prescriptions légales ou morales, etc. Toute la question est donc de savoir si la liberté est bien l'absence de contraintes, ou si au

Plan : I- Apparemment la conscience est sujet : se maîtriser soi-même, c’est prendre conscience des désirs qui nous traversent et les contrôler par la volonté. 1-Qu’est-ce que la conscience ? 2-Conscience et libre arbitre. 3-Désir et volonté. I- Le désir est sujet : la conscience nous donne l’illusion que nous pouvons choisir nos actes. 1-Les conflits de désirs. 2-Incompatibilité entre le déterminisme et la théorie du libre arbitre. 3-Déterminisme et pessimisme II- La libre

« La nature, dit Kant, évoque surtout les idées du sublime par le spectacle du chaos, des désordres les plus sauvages et de la dévastation, pourvu qu’elle y manifeste de la grandeur et de la puissance » (Critique du jugement, §23). Dévastation, grandeur et puissance : il n’y a vraiment pas de quoi rire. Dans le cas du sublime dynamique, Kant va jusqu’à dire que le sublime a toujours quelque chose de terrible et que, s’il ne l’excite pas directement, il évoque du moins la crainte. « Des rochers audacieusement

s’impose à lui-même une morale. Le fondement de la moralité : des sentiments à la voix de la raison Analysant notre expérience de la moralité, Kant se demande ce qui en constitue l’essence et il la découvre dans l’idée de « bonne volonté ». Pour savoir si quelqu’un a commis une bonne ou une mauvaise action, l’essentiel n’est pas le but de l’action, mais plutôt l’intention ou le motif de l’agent qui a présidé à sa réalisation. Si l’acte est intéressé, s’il répond à un souci d’efficacité

néant, l'absence, la nullité. vouloir : La volonté se définit comme la faculté de choix : pouvoir de se déterminer librement à agir ou à s'abstenir d'agir, en vertu de motifs. La volonté implique une délibération consciente : par ce trait, l'acte volontaire s'oppose à l'acte qui procède de l'instinct, de l'impulsion, d'un réflexe ou d'une habitude. Vouloir, c'est donc poursuivre une fin déterminée et conscient. On peut déjà noter que la volonté inclue également une faculté de représentation.