Derrière les murs

toute autre réalité se cache derrière ces paysages de rêve. Ce phénomène est présenté dans le reportage sur le Brésil qui a été diffusé sur la chaîne française M6 lors d’une enquête exclusive. Ce reportage illustre l’opposition entre l’image que les pays occidentaux ont du Brésil et la triste réalité que les habitants locaux connaissent. Les policiers brésiliens de Rio de Janeiro s’apprêtent régulièrement à entrer dans les favelas dans les bidonvilles se trouvant derrière les imposants bâtiments de

entrant sur scène sans faire de bruit] » 3- Ruy Blas : « Mon seigneur me voilà vous m’avez demandez ? » 4- Don Salluste : « Oui mais sans bruit. La Reine va passer, là dans la Galerie, en allant de la messe à la chambre d’honneur, [La Reine passe derrière sans faire de bruit et va se mettre en place] Dans deux heures. Ruy Blas, soyez là. » [Tous les personnages se retournent] 5- Voix Off : [tonalité neutre posture simple] « En Espagne, à la fin du XVIIème siècle, Don Salluste, grand Seigneur disgracié

roman, 'Vipère au poing', en 1948, qu'il atteint une véritable notoriété artistique. Ce fut la grande révélation de l'année et Bazin manqua de peu le Goncourt. Son talent est confirmé dès l'année suivante avec un deuxième roman, 'La tête contre les murs'. Il devient membre en 1950 de l'Académie Goncourt, et en devient président en 1972. Hervé Bazin est aussi célèbre pour ses critiques littéraires et ses nombreuses participations à 'L' Information'. Auteur désormais classique, il a été traduit

distance. Il s’approchait, inlassablement. La petite maison était devant lui. Une haie haute d’un mètre environ encadrait un portail qui ne captait pas la faible lueur de l’éclairage électrique avoisinant. Il se tenait là, derrière le portail, à contempler les murs sombres qui composait le refuge de la personne qu’il était venu chercher. Depuis cet endroit, il avait une vue d’ensemble sur le petit jardin de sa cible. Dans un coin trainait une niche et on pouvait voir dispersés sur le sol quelques

Deux poissons rouges, l'un à taches blanches et l'autre noires, affamés, voyant la vie derrière un écran de verre, décident une bonne fois pour toute d'exprimer ce qu'ils pensent. Poisson rouge à taches blanches : « - Trois jours, voilà trois jours que personne ne nous a nourri ! Poisson rouge à taches noires : Tu es nouveau ici ? Cela est si fréquent... ils doivent tous penser que quelqu'un d'autre s'est occupé de nous et par conséquent aucun d'eux ne prend vraiment la peine de le faire.

<!--[if !supportEmptyParas]--><!--[endif]--> - Au second plan La vision est floue. On entrevoit un ours en peluche qui gît au sol ainsi qu’un livre ouvert. Il y a également un bureau, un ordinateur, une chaise vide et derrière elle, un lit. Les murs sont roses. <!--[if !supportEmptyParas]--><!--[endif]--> - Au dernier plan Ici se trouve la partie rédactionnelle. <!--[if !supportEmptyParas]--><!--[endif]--> * L’interprétation <!--[if !supportEmptyParas]--><

pendaison « Pathé ! » de couleur jaune. Le reste du plafond est beige avec pleins de petites LED bleus qui font l'effet d'un ciel étoilé. Derrière les bornes de paiement automatique, il y a des canapés qui sont verts, et, sur la gauche de ses canapés, il y a un espace jeux-vidéos avec des arcades diverses et un jeux de palet sur glaces etc La majorité des murs sont rouges avec des affiches ou des écrans montrant les films à l'affiche, les prochaines sorties. Tout à gauche, sur le mur, il y a une

d’ailleurs cette ville qui offre son titre au roman à travers deux vers d’un poème de Saib-e-Tabrizi, poète persan du XVIIème siècle : « Nul ne pourrait compter les lunes qui luisent sur ses toits Ni les mille soleils splendides qui se cachent derrière ses murs » Ces « mille soleils splendides » semblent bien cachés : à chaque nouvel espoir c’est une déception ou une désillusion qui apparaît et nous fait tourner la page avec une certaine appréhension car qui ne connaît pas le sort de Kaboul… L’AVIS

de lumière sur la plage des sables fins. Le vent soufflent les saules qui jettent leurs feuilles auburn à la terre et ébouriffent ses boucles blondes. Elle se met dans un lit de feuilles rouges et vertes. Derrière la grotte était une forêt animée dont les arbres murmurent et où les anciens murs du temple racontent leur histoire. Les singes se balancent dans les arbres et les oiseaux chantent des chansons d'amour. La forêt porte des odeurs d'épicés et tout etait mystérieux. Plus loin, il y avait les

terre dans la petite fenêtre. La terre buvait l’eau ; elle était comme une bouche qui a très soif. Et puis elle a trop bu d’eau et elle a rendu du sale. Je n’ai pas aimé. Maman est jolie, je sais. Ici dans l’endroit où je dors avec tout autour les murs qui font froid, j’ai un papier. Il était pour être mangé par le feu quand il est enfermé dans la chaudière. Il y a dessus Films et Vedettes. Il y a des images avec des figures d’autres mamans. Papa dit qu’elles sont jolies. Une fois, il l’a dit