Derrière les murs

La foudre tomba en début d’après-midi, le ciel était noir comme s’il faisait complètement nuit. La pluie fine et glaciale battait le sol avec violence. Un enfant laissait ses yeux admirer le spectacle, derrière une mince fenêtre qui le séparait de la tempête. Le temps s’arrêta quelques secondes, tandis que le flash des éclairs brillait dans le regard du petit garçon, émerveillé par cette nature qui se déchainait dangereusement. Le vent renversait les arbres qui perdaient leurs feuilles de couleur

avec qui que ce soit! même entre ses quatre murs, sache que j'achète notre tranquillité! Alors contente toi de vaquer à tes occupations! Sur ce , il sortit en claquant la porte! La mère et le fils se regardèrent abasourdis. Eva continua à s'occuper en cuisine, Stan sortit pour rejoindre ses camarades de classe. Dans la cour de l'école, de petits groupes d'enfants étaient formés.Stan cherchait du regard son ami cartman, il l'entendit crier de derrière un arbre: -hé! viens , nous sommes entrain

qu’il cherchait du travail. Ce soir-là, pendant qu’elle guettait son retour, elle croyait l’avoir vu entrer au bal du Grand-Balcon, dont les dix fenêtres flambantes éclairaient d’une nappe d’incendie la coulée noire des boulevards extérieurs ; et, derrière lui, elle avait aperçu la petite Adèle, une brunisseuse qui dînait à leur restaurant, marchant à cinq ou six pas, les mains ballantes, comme si elle venait de lui quitter le bras pour ne pas passer ensemble sous la clarté crue des globes de la porte

PALESTINE VIVRA, PALESTINE VAINCRA Tu te lève le matin et tu te prépare au travaille Lui se lève le matin et prépare la bataille Tu sort de ta maison et rentre dans ta voiture Lui sort de la sienne et se cache derrière les murs Tu as le rire, il a les larmes Tu as les chants et lui les armes Tout ce lux et tu te plaint Pour lui le lux, c'est de dormir sans faim On massacre sa famille, ses amis Tu ne bouge pas, d'où vient ce mépris ? Il vie dans la souffrance Et toi dans l'ignorance

sait tout, il voit tout. Type : narratif et descriptif, fonction informative. Elisa fut introduite dans le bureau, il est vaste et richement meublée, une odeur d’encaustique se dégage de la pièce. Les fenêtres sont ornées de lourds rideaux verts. Les murs sont tapissés d’une moquette murale beige. Le parquet est brillant et bien entretenu, les meubles du XIXème sont d’un bois de couleur sombre. Le temps semble s’être arrêté au début du XXème siècle. Elisa se tient debout près d’un lourd fauteuil de

pierres éparses rappellent le modèle occidental qui avait inspiré les architectes. Car ce qui a été détruit n’est pas seulement un « songe oriental » quelconque, une n-ième reproduction des cités interdites en forme de cour carrée ou de fort retranché derrière ses murailles rouges, comme on en trouve dans d’autres cités chinoises, pas non plus une reproduction des trésors de l'architecture de la Chine comme le mini Potala tibétain qu’on trouve à Chengde au nord de Pékin, et pas seulement une évocation

voulait dire au juste ? Et quand cela arriverait-il ? Elle brûlait de lui demander ce que signifiaient les mots étranges qu’elle avait entendus, « camps » et « rafle ». Mais il aurait alors fallu avouer qu‘elle les avait espionnés, et plusieurs fois, derrière la porte. Elle n’avait pas osé. « Ouvrez ! Police ! » La police avait-elle trouvé Papa dans la cave ? Etait-ce pour ça qu’ils étaient là, pour emmener Papa dans ces endroits dont il parlait quand il murmurait dans la nuit, ces « camps » qui se trouvaient

le dépanneur le plus longtemps possible. Aussi, l’entrepôt est situé au fond complètement du dépanneur pour économiser l’espace et faciliter les livraisons. Dans la même gamme de produit, il y a le vin qui est situé à proximité du réfrigérateur. Derrière le comptoir caisse, on retrouve les produits de tabac et les cigarettes. Comme ces produits sont aussi des achats planifiés, ils sont à gauche afin que le client finisse par acheter cela et non commence par celui-ci et n’achète rien d’autre. Proche

Ernest Pignon-Ernest, niçois, vit et travaille à Paris. Depuis plus de trente ans il appose des images sur les murs des cités. "... au début il y a un lieu, un lieu de vie sur lequel je souhaite travailler. J'essaie d'en comprendre, d'en saisir à la fois tout ce qui s'y voit : l'espace, la lumière, les couleurs... et, dans le même mouvement ce qui ne se voit pas, ne se voit plus : l'histoire, les souvenirs enfouis, la charge symbolique... Dans ce lieu réel saisi ainsi dans sa complexité, je viens

musique merveilleuse a retenti dans tout le salon. C’est alors qu’il a vu (…………………………………………..) une faible lueur derrière la fenêtre, puis un scintillement, et enfin une lumière aveuglante qui s’est répandue partout. Il voyait (………………………………………………………..)  maintenant devant lui une salle de bal. Il a alors vu (………………………………………………………………..) des formes colorées qui se glissaient le long des murs. Pierre regardait (……………………………………………………..) ce spectacle avec étonnement et admiration. Il regardait (………………………………………………………………