Derrière Ce Ciel éteint

négatifs. Le tableau des Alyscamps possède une majorité de couleurs froides : du gris , du vert , du bleu ... le ciel est représenté avec un dégradé allant du gris clair au noir et fait même paraître éteinte les couleurs chaudes comme le orange qui peut paraître marron par endroits ainsi que le jaune qui apparaît vert . On remarque que les arbres situés sur la gauche ont des couleurs plus éteintes que ceux de l’autre côté , le peintre a voulu rendre un effet d’ombre qui se retrouve également sur le sol

rosée brumeuse Assis sur une licorne N 'ai pas peur, tu ne peux pas m'entendre Mais moi je peux En train de regarder les boutons d'or s'ouvrir à la lumière Assis sur un pissenlit Trop ! Je ne te toucherai pas, Mais j'aurai pu Se noyer dans le ciel illuminé par la lumière des étoiles Voyageant par téléphone Hé-ho ! allons-y Toujours tellement haut Seul dans les nuages tout bleus Etendu sur un édredon Youpi! tu ne peux pas me voir, Mais moi je peux Pow R. Toc H. (instrumental)

Selon la Genèse, la tour de Babel était une tour que souhaitaient construire les hommes pour atteindre le ciel. Descendants de Noé, ces hommes représentaient l'humanité toute entière et parlaient la même et unique langue sur Terre. Pour contrecarrer leur projet qu'il jugeait plein d'orgueil et d'hybris, Dieu introduit la «confusion» des langues en les multipliant. Dès lors, les hommes ne purent plus communiquer entre eux , la construction de la tour ne put plus avancer et ils se dispersèrent sur

Origine du monde (I, 5-20) Avant la formation de la mer, de la terre, et du ciel qui les environne, la nature dans l'univers n'offrait qu'un seul aspect; on l'appela chaos, masse grossière, informe, qui n'avait que de la pesanteur, sans action et sans vie, mélange confus d'éléments qui se combattaient entre eux. Aucun soleil ne prêtait encore sa lumière au monde; la lune ne faisait point briller son croissant argenté; la terre n'était pas suspendue, balancée par son poids, au milieu des airs; l'océan

voix. Pas un bruit, pas un son ; toute vie est éteinte. Mais on entend parfois, comme une morne plainte, Quelque chien sans abri qui hurle au coin d'un bois. Plus de chansons dans l'air, sous nos pieds plus de chaumes. L'hiver s'est abattu sur toute floraison ; Des arbres dépouillés dressent à l'horizon Leurs squelettes blanchis ainsi que des fantômes. La lune est large et pâle et semble se hâter. On dirait qu'elle a froid dans le grand ciel austère. De son morne regard elle parcourt la

coupent strictement les éléments de l’image. On voit les armes plus grandes et grosses. C’est une perspective en diagonale, on ne voit pas les personnages face à face, mais de coté. Cette image se compose de deux plans, l’arrière plan, c'est-à-dire le ciel, qui est gris et qui exprime l’indifférence, car il ne communique aucune idée en particulier, et le premier plan, donc les soldats, qui cachent leur visage, sauf pour le soldat blessé qui est au milieu. Les personnages sont repartis équitablement

de ma mère, peut-être avait-elle tout simplement cessé de m’appeler… Je descendis les escaliers aussi vite que je pu, pressé de raconter ce qui venait de se passer. A mon grand étonnement, je ne vis personne, le vide total ; la télévision était éteinte, le plan de travail de maman était plus en désordre que jamais, et la porte de la maison était grandement ouverte… elle laissait passer une courant d’air léger mais glacial. Je me mis à appeler ma mère, à la chercher dans tous les recoins de la maison

soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t'aime. La vérité c'est ce qu'on croit En la nature c'est toi-même. George Sand Pour faire le portrait d'un oiseau Peindre d'abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple quelque chose de beau quelque chose d'utile pour l'oiseau placer ensuite la toile contre un arbre dans un jardin dans un bois ou dans une forêt se cacher derrière l'arbre sans rien

sombre mendiant, l’œil fier comme Antisthène, D’un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. Sganarelle en riant lui réclamait ses gages, Tandis que Don Luis avec un doigt tremblant Montrait à tous les morts errant sur les rivages Le fils audacieux qui railla son front blanc. Frissonnant sous son

fête.   Le feuillage strident a débordé le vert Sous la crue de lumière, Les roses prisonnières Ont fait irruption par les grilles de fer.   Le plaisir matinal des boutiques ouvertes Au maritime été Et des fenêtres vertes Qui se livrent au ciel, les volets écartés,     S'écoule vers la Place où stagnent les passants Jusqu'à ce que soit ronde L'ombre des orangers qui simulent un cadran Où le doux midi grogne. Jules Supervielle (1884-1960), du recueil Débarcadères, 1922 Au seul