Des Femmes La Bruyère

l’argumentation du XVIe à nos jours. CORPUS ___________________________________________ TEXTE A. Jean de La Bruyère, Les Caractères, 74, 1696 TEXTE B. Montesquieu, Lettres persanes, Lettre 28, 1721. TEXTE C. Voltaire, L'Ingénu, 1767. I. La question sur le corpus (/4). Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante : Expliquez l’objectif principal qui rapproche les textes de La Bruyère, Voltaire et Montesquieu. Vous analyserez les différents procédés littéraires utilisés. A la suite

avec eux, vous dégoutent par leurs ridicules expression […] Ils accompagnent un langage si extravagant d’un geste affecté et d’une prononciation qui est contrefaite ». La remarque 6 du livre V des Caractères ou mœurs de notre siècle publiés par La Bruyère en 1688 rend compte d’un vice à la mode. Certains se plaisent, par prétention, à pousser les subtilités du langage à un tel degré de raffinement qu’ils en deviennent parfaitement incompréhensibles. Le moraliste développe dans la remarque 7, cette

est l’antithèse des femmes de la cour, pas superficielle et non matérialiste. Le prince va la tester et n’a pas confiance en elle. Reflète l’univers manichéen. - La Bruyère – Les Caractères. De la cour Il utilise divers procédés argumentatifs (rsnmt inductif, rythme ternaire, arguments, ...) Blâme des courtisans, superficialités, vanité, hypocrisie, critiques. Il faut être omniprésent à la cour pour être reconnu, cour changeante à cause de la personnalité des gens. La Bruyère était à la cour donc

universelle est universelle : on peut se contenter des goûts. - Poésie du thème de l’amour avec personnification : « le bonheur souvent obscur [que l’amour] répand sur la vie des hommes] ». Conclusion Jean de la bruyère : les caractères (1688) Introduction      La Bruyère a beaucoup observé les seigneurs du 17ème siècle. Il a été témoin de cette « comédie humaine ». Ces observations vont aider à l’écriture des Les Caractères publiés en 1688. Les Caractères sont la revanche du talent et de

------------------------------------------------- La Bruyère, Les Caractères, III, Des femmes (5, 6, 8) 5 Chez les femmes, se parer et se farder n'est pas, je l'avoue, parler contre sa pensée; c'est plus aussi que le travestissement et la mascarade, où l'on ne se donne point pour ce que l'on paraît être, mais où l'on pense seulement à se cacher et à se faire ignorer: c'est chercher à imposer aux yeux, et vouloir paraître selon l'extérieur contre la vérité; c'est une espèce de menterie. Il faut juger des femmes depuis la chaussure

l’on retrouve au chapitre 3, le champ lexical de la violence : « morts »,  « mourants », « brulé » , « criblés », « égorgées », « éventrées »… Par ailleurs, les victimes sont variées et nombreuses. Elles sont aussi bien des « vieillards », que des « femmes » et des « enfants ». Les chiffres sont donnés a plusieurs reprises comme s’il s’agissait de détails sans importance pour ceux qui mènent ces guerres : « six mille hommes », « neuf à dix mille », « Le tout pouvait bien se monter à une trentaine de

La littérature française, c'est-à-dire l’ensemble des œuvres publiées en langue française (romans, poèmes, pièces de théâtre, etc.), a évolué au cours de l’histoire. En effet, la société, la façon dont vivent les hommes et les femmes, le pouvoir politique, les guerres, les périodes de croissance, les grands écrivains, tout cela a toujours fortement influencé la production littéraire de chaque époque. LE MOYEN ÂGE : LA NAISSANCE DE LA LITTÉRATURE Même si l’histoire du Moyen Âge commence à la fin

traduire, d’apprendre et de penser dans plusieurs langues. Ce faisant, il s’accapare une culture et la fait sienne : regardant le monde, il devient ainsi en capacité de l’ap- préhender avec des yeux neufs et aguerris, nourris par ses lectures. B. La Bruyère, Les Caractères. Texte d’après Henri Amer, “Littérature et portrait, Retz, Saint-Simon, Chateaubriand, Proust” Proposition pour la contraction : Tentons de définir la différence entre le portrait littéraire et les autres types de portraits. Le

principaux malgré qu’ils s’opposent. Donc dans beaucoup d’œuvres et chez beaucoup d’auteurs on retrouve les deux approches. Puis à la fin du siècle il y a eu la querelle entre les Anciens et les Modernes. Les Anciens dont La Fontaine, Nicolas Boileau, La Bruyère, prétendent que tout est découvert, tout est inventé, donc il n’y a pas de progrès dans l’art. Les Modernes de leur côté et surtout Charles Perrault, l’auteur des Contes de la mère l’Oye, affirment qu’il reste beaucoup à trouver et à améliorer.

les lointaines chansons " - La liberté est fortement liée à la nature : " dans les bruyères le bois la campagne, les vallons " (de même que la contrainte était justifiée par la religion " le jour des saints apôtres, laisser la reine à ses dévotions "). - les lavandières sont des femmes du peuple, modestes mais " heureuses " Elles représentent tout ce que la reine ne peut plus faire : marcher " dans les bruyères " (qui rappelle " dans les herbes " de l'enfance) chanter l'amour. C'est pour ces