Des Questions Sur Le Dernier Jour D Un Condamné

CORPUS – « LA QUESTION DE L’HOMME DANS LES GENRES DE L’ARGUMENTATION » Thème : « Quand la littérature dénonce l’injustice» Sommaire I. Textes  1. Victor Hugo, Le Dernier Jour d’un condamné, extrait de la préface, 1829. Première publication anonyme. 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir, 2e partie, chapitre 41, 1831. 3. Victor Hugo, Les Misérables, 1862. Le personnage de Gavroche 4e partie, livre V, chapitre 12 + 5e partie, livre V, chapitre 15. 4. Arthur Rimbaud, « Le Dormeur

civilisations à travers l’histoire, on estime qu’elle était déjà née à l’Antiquité. Aujourd’hui elle évolue beaucoup, de plus en plus de pays souhaitent remettent en cause cette peine et d’autres ne l’applique pas depuis au moins dix ans. A ce jour l’abolition de cette peine capitale se cesse de s’étendre à travers le monde. Beaucoup de personnes luttent pour sa disparition et d’autre contre. I- Historique de la peine de mort      La peine de mort est appliquée, depuis bien longtemps dans

remords alors que d’après eux, ils combattent pour le bien. Voltaire se moque de ceci avec l’expression « boucherie héroïque », pour lui la guerre montre le vrai visage de l’homme, des bruits assoiffé de sang. Nous pourrions nous poser la même question mais sur les autres auteurs de ce siècle pour voir s’ils ont les mêmes points de vue que Voltaire. Est-ce que les lecteurs attendent que le héros soit un personnage héroïque, fantastique et exceptionnel ? Jean-Paul Sartre raconte dans

au fil du temps. Dans cet extrait l'aumônier pénètre dans la cellule de Meursault, la conversation s'engage entre les deux hommes, les paroles de douceur et d'espoir mettent Meursault hors de lui ; la tentative de repentir Meursault échoue et ce dernier se précipite sur l'aumônier le saisit au collet et l'insulte, c'est alors que Meursault a une terrible révélation : tout homme naît pour mourir, d'une façon ou d'une autre nous sommes tous destinés à mourir.  I. La révolte de Meursault      Meursault

la guerre franco-allemande comme une guerre de caprice et non de liberté, alors le 17 Septembre, il publie un appel à la levée en masse et à la resistance. Thème2 : Victor Hugo est fortement impressionné dés son enfance par la vision d'un condamné conduit à l'échafaud, puis à son adolescence, par les préparatifs du bourreau dressant la guillotine. Arguments : Le premier tort est à la nature le second à l'éducation: je cite « La nature a mal ébauché, l'éducation a mal retouché l'ébauche

écriture comme un outil. Est-il possible d’utiliser la littérature comme une arme pour dénoncer des inégalités, défendre une cause? Notre sujet étant principalement sur la dénonciation de l’esclavage au siècle des lumières. Pour répondre à cette question, nous verrons dans un premier temps que la littérature peut avoir un rôle important dans la dénonciation de certaines inégalités ou de défense d’une cause. Puis dans un second temps, qu’elle peut aussi être mal interprétée et donc changer la compréhension

mouvement terroriste de parvenir au pouvoir. La grâce royale. La grâce royale est la licence du Roi de dispenser un condamné d'exécuter tout ou partie de sa peine. Il peut aussi la réduire ou la modifier ou encore accorder un délai d'épreuve. Le recours doit être introduit le plus rapidement possible au moyen d'une lettre qui sera adressée à « Sa Majesté le Roi » et dans laquelle le condamné expose les raisons de sa demande. Il est souhaitable de faire parvenir une copie de ce recours au Procureur du

mort ? Nous faisons cette question sérieusement : nous la  faisons pour qu'on y réponde : nous la faisons aux cri- minalistes, et non aux lettrés bavards. Nous savons  qu'il y a des gens qui prennent l'excellence de la peine  de mort pour texte à paradoxe comme tout autre  thème. Il y en d'autres qui n'aiment la peine de mort  que parce qu'ils haïssent tel ou tel qui l'attaque. C'est  pour eux une question quasi littéraire, une question  de personnes, une question de noms propres. Ceux-là 

Publié en 1829, Le Dernier jour d'un condamné de Victor Hugo (1801-1885) est un virulent réquisitoire* contre la peine de mort. Durant les derniers instants de sa vie, un homme consigne dans son journal ses pensées, ses impressions, son désespoir face à l'horreur de la guillotine. Les critiques trouvent l'oeuvre peu convaincante lors de sa parution. Trois ans plus tard, Victor Hugo rédige une préface pour une nouvelle édition dans laquelle il démontre que la peine capitale doit être abolie. On peut

Hugo : Le Dernier jour d’un condamné Chapitre 13 Plan : I) Présentation des forçats par le narrateur, ce qu’il voit. 1. Harcèlement psychologique et déshumanisation des forçats par les forgerons 2. Atmosphère de peur comme dans un film d’horreur II) Un spectacle particulier et étrange qui se produit 1. Scène paradoxale entre la situation des forçats et leur agissement. 2. Une joie des forçats mais une joie triste III) Un condamné qui devient