Des Questions Sur Le Dernier Jour D Un Condamné

une population de 260 millions d'habitants) et l'homicide demeure la cause de mortalité la plus importante parmi les jeunes âgés de dix à vingt-quatre ans (20 % des décès). D'après l'association Hand gun Control, en 1998,14 enfants mouraient chaque jour des suites d'un homicide, d'un suicide ou d'un accident d'arme. En ce qui concerne la violence dans les établissements scolaires, selon le ministère de l'Éducation, 6 000 étudiants auraient été expulsés durant l'année 1996-1997 pour avoir apporté

 La peine de mort est une peine prévue par la loi consistant à exécuter une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qualifiée de crime capital. Elle a été abolie en France en 1981, mais notre pays a été l'un des derniers pays à le faire en Europe. Pourtant, dès 1791, l'Assemblée Constituante proposait d'abolir la peine de mort, mais pendant deux siècles, les guerres, les crises économiques ou politiques, mais surtout l'opposition de l'opinion publique ont empêché les gouvernements successifs

le spectacle de ses pattes en train de gigoter, et il ne renonça que lorsqu’il commença à sentir sur le flanc une petite douleur sourde qu’il n’avait jamais éprouvée. 6« Ah, mon Dieu », songea-t-il, « quel métier fatigant j’ai choisi ! Jour après jour en tournée. Les affaires vous énervent bien plus qu’au siège même de la firme, et par-dessus le marché je dois subir le tracas des déplacements, le souci des correspondances ferroviaires, les repas irréguliers et mauvais, et des contacts

belle, il ne suffit que de trouver le sens de sa beauté. Mais, la vrai question à se poser est : l'art peut il être utile ? Une oeuvre d'art peut être belle, montrer le prestige du lieu où elle est disposée mais n'avoir aucune utilité. Tout le monde connaît la fameuse peinture se trouvant au plafond de la chapelle sixtine. Celle-ci est en effet très belle. Ce véritable chef-d'œuvre attire un grand nombre de touristes chaque jour. Mais à quoi pourrait bien servir une telle peinture? Si ce n'est

remariage ; que l'arrêt confirmatif attaqué a rejeté les demandes du ministère public et, accueillant la demande de M. T., a dit que ce dernier avait acquis la nationalité française a la date du 13 septembre 1976 », deviendra : « Le ministre de la population ayant refusé l’enregistrement de la déclaration de nationalité du mari, en invoquant une fraude à la loi, ce dernier a assigné le Procureur de la République afin de faire reconnaître qu'il avait valablement acquis la nationalité française. En réplique

permettant cette confrontation dont nait l’absurde,qui est l’appel humaine,la seule manière de la faire taire serait le suicide,mais ce dernier exclu car à sa manière ‘’le suicide résout l’absurde’’.Ou l’absurde ne doit pas se résoudre.L’absurde est générateur d’une énergie.Et ce refuse du suicide,c’est l’exaltation de la vie,la passion de l’homme absurde.Ce dernier n’abdique pas,il se révolte. Une réponse,La révolte Il faut maintenir l’absurde ne pas tenter de le résoudre,car l’absurde génère

Meursault décide d'aller nager, et rencontre Marie, une dactylo qu'il connaissait. Ils passent la nuit ensemble. Le lendemain, il rencontre Raymond Sintès (un voisin de palier) qui lui demande d'écrire une lettre pour humilier sa maîtresse Mauresque. Ce dernier est souteneur et s’est montré brutal avec celle-ci ; il craint des représailles du frère de celle-ci. La semaine suivante, Raymond frappe et injurie cette femme, et est convoqué au commissariat. En en sortant, il invite Meursault et Marie dans un

fait de nous des hommes. Par exemple, l'histoire de la science est une lutte permanente contre les préjugés. Dès lors, cette lutte, ce combat contre les préjugés peut-il un jour cesser, avoir une fin qui supposerait la disparition définitive de ces derniers ? Ne sommes-nous pas condamnés aux préjugés ? Pourquoi cette question ? Parce que nous constatons que la connaissance de la vérité ne semble pas suffire à détruire les préjugés. Faut-il alors se résigner à penser que nous ne nous débarrasserons

Texte 1 : Le dernier jour d’un condamné Ceux qui jugent et qui condamnent disent la peine de mort nécessaire. D’abord, - parce qu’il importe de retrancher de la communauté sociale un membre qui lui a déjà nui et qui pourrait lui nuire encore. - S’il ne s’agissait que de cela, la prison perpétuelle suffirait. À quoi bon la mort ? Vous objectez qu’on peut s’échapper d’une prison ? Faites mieux votre ronde. Si vous ne croyez pas à la solidité des barreaux de fer, comment osez-vous avoir des ménageries

cultures où vivre l’histoire en s’identifiant aux personnages. Mais tout cela ne suffit pas pour simplement qualifier un livre de cette façon. Ici nous nous penchons sur la définition d’un beau livre selon Cocteau : « Un beau livre doit soulever des questions » Selon lui, ce n’est ni l’esthétique ou le style d’écriture qui a une influence primordiale. Toujours selon lui, le livre ne mérite l’appellation de « beau » que quand l’histoire est capable de susciter des interrogations. Cocteau ne se contente