Des Spectacles Le Cri Du Peuple

Cibo, un des Strozzi Magali Bonat - La Marquise Cibo, une femme, une des courtisanes, un des Strozzi Mohamed Brikat - Cardinal Valori, Bindo, Scoronconcolo, un des deux bourgeois, un des Strozzi Laurence Roy - Marie, une Dame de la cour, une femme du peuple, une des courtisanes, un des Strozzi Philippe Vincenot - Philippe Strozzi Clément Carabédian - Pierre Strozzi, un des Strozzi, foule Scénographie – Estelle Gautier Lumière – Franck Thevenon Son - André Serré Costumes – Clara Ognibene Assistante

le concernant permettent de situer sa composition après que Blaise Cendrars eut lu à Apollinaire son propre poème qu’il venait de terminer : “Les Pâques à New York”, un poème de distiques irréguliers mais rimés, où se déroulait un long itinéraire, peuplé de souvenirs, un long courant de poésie ininterrompue, dynamique, qui épousait le mouvement de la marche du poète-Christ, poème qui faisait de lui le premier poète de l’esprit nouveau. Et, dans “La prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de

le sanctuaire était protégé par de hautes murailles. Idée de prudence nécessaire à tout rite funéraire ou agraire, danger de souillure. Lors des rites des Grands Mystère, une procession allait d'Eleusis jusqu'à Athènes, la foule y poussait un cri, ce cri est devenu un dieu, un sentiment de sacré anime cette foule qui fait naître en elle une exaltation capable de s'adorer elle-même. -A l'intérieur de l'enceinte où les fidèles suivaient le rite, les fidèles vivent une réelle initiation symbolisée

qu'ils s'effacent. Après quoi le légat reprend la parole ; - Frère Bartolomé, je vous le répète, vous nous parlez de la triste misère de la guerre, qui est commune à tous les peuples, mais ici ce... - La guerre ? Quelle guerre ? Il quitte sa table et s'avance. Son émotion devient très vive et très visible. - Ces peuples ne nous faisaient pas la guerre ! Ils venaient à nous tout souriants, je visage gai, curieux de nous connaître, chargés de fruits et de présents ! Ils ne savaient même pas ce qu'est

comme l'hyperbole qui permettent de présenter une situation, des actions, des personnages de façon déformée, portée à un degré élevé. On peut noter l'utilisation fréquente du pluriel, l'insistance sur le nombre, l'emploi des termes collectifs comme « peuple, nation, armée... », de superlatifs «  le plus, très... », d'adverbes d'intensité «  beaucoup, terriblement, si... ». Les comparaisons et les métaphores favorisent le passage de la réalité à une représentation dramatisée, surdimensionnée. Les anaphores

bergougnan@ac-reims.fr Retrouver tous les livrets pédagogiques du Grand Théâtre sur le site du CRDP de Champagne-Ardenne : http://crdp.ac-reims.fr/artsculture/dossiers_peda/dossiers_peda.htm Livret pédagogique Saison 07/08 Sommaire LE SPECTACLE ....................................................................................................4 Production......................................................................................................5 Extrait du Lever de Rideau n°18

roman d'Orwell au dessin animé de John Halas De l’Antiquité au IXe s. Du IXe s. à la fin du XVIIe s. XVIIIe et XIXe s. Le XXe s. et notre époque Domaines artistiques Arts De L’espace Arts Du Langage Arts Du Quotidien Arts Du Son Arts Du Spectacle Vivant Arts Du Visuel Art, Espace, Temps Arts, Etats & Pouvoir Arts, Mythes & Religions Arts, Techniques, Expressions Arts, Ruptures, Continuité Thématiques artistiques Art, Créations, Cultures Référence artistique CARTEL Titre Artiste/Auteur

éloge dépasse son goût personnel et reflète l’idée d’une esthétique vertueuse et déjà réaliste. D’autre part, son texte essaie d’imiter, de rendre par les mots une représentation picturale. * Texte 2 : extrait de Lettre à d’Alembert sur les spectacles de Rousseau (1758) A l’opposé de l’admiration que le XVIIIème siècle montre pour le théâtre et l’œuvre de Molière, Jean-Jacques Rousseau condamne pour sa part la représentation théâtrale qui, selon lui, met en valeur des défauts des hommes et

qu’il faut donner une bonne éducation au peuple et ensuite bien le diriger. Il fait également, rétablir un équilibre entre les pauvres et les riches. Il veut nous expliquer que d’un côté la société a tord de voler , tuer … mais ce n’est pas totalement de leur faute puisque c’est un manque d’éducation , face a un problème majeur : la pauvreté . Comme nous le savons , la guillotine se faisait sur les places de marché afin de bien faire comprendre aux peuples ce qui les attendaient en cas de faute

garde une certaine joie dans chaque fable. → Le petit théâtre des Fables : distribution des rôles, dialogue. Pouvoir incarné par le Lion Brutalité : inspiré par les loups & repose sur les courtisans. Veulerie : Singe ou caméléon. Réprime le Peuple. La Fontaine prend partie des plus faibles : Cerf a la ruse (vers 33 à 49 vers court, mépris dans ses ordres). Vers 44 : Discours pour séduire ≠ propos du Roi. Ose la familiarité car Discours ♀ Vers 50 : Coup de théâtre, renversement de situation