Descartes 3ème Maxime Discours De La Méthode

PHILOSOPHIE Fiche de lecture : Le Discours de la méthode, René Descartes Diplômé du prestigieux collège de La Flèche et installé en Hollande depuis 1628, René Descartes multiplie les expériences et les recherches scientifiques. En effet, Descartes n’a qu’un seul souci : « marcher avec assurance en cette vie », et distinguer la vérité réelle de la vérité apparente car seule la recherche de la vérité l’intéresse : « Tout mon dessein, dit-il, ne tendait qu’à m’assurer et à rejeter la terre

Le discours de la méthode, Descartes Partie 1 Dans cette première partie, tout d’abord, Descartes nous explique que tous les hommes sont dotés de « bon sens » qui est synonyme selon lui de la raison. Ce bon sens permettrai à ceux qui agissent avec méthode de distinguer le vrai du faux et le bien du mal. Il est dit que chaque homme a une part égale de bon sens, il n’existe d’inégalités, seulement des êtres qui en font mauvais usage. Descartes distingue l’esprit de la raison, car pour lui

rationnelle, manquant de fantaisie et de créativité. Quelle image est la bonne ? Qu’est-ce qu’on s’ennuie à l’école ! Au collège de la Flèche, Descartes était un élève brillant, mais il s’ennuyait en cours. La pensée d’Aristote, la physique antique y faisait alors autorité. Descartes ne voit pas grand intérêt dans cet enseignement répétitif. La méthode lui parait aussi bien discutable : il ne s’agit que de dogmes, d’opinions non démontrées, qui donnent lieu à des discussions sans fin. Seules les

Discours de la Méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences , René Descartes 6 partie 1er partie diverses considération touchant les sciences 2ème partie principales règles de la Méthode 3ème partie morales de la Méthode 4ème partie Les raison par lesquelles il prouve l'existence de Dieu et de l'âme humaine, fondement de sa métaphysique 5ème partie Problème de la médecine, mouvement du cœur et différence qui est entre notre âme et de celle des bêtes

morale épicurienne le plaisir est le bien et la douleur. Tandis que les Stoïciens disent que la vertu, doit être poursuivit pour elle-même et non pour le plaisir qu’elle peut apporter. Epicuriens -> plaisir ≠ Stoïciens ns -> vertu Ma troisième maxime était de tâcher toujours [150] plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde, et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'y a rien qui soit entièrement en notre pouvoir, que nos pensées, en sorte qu'après que

tout simplement ce qu’on nomme la socialisation. Mais vous pouvez également montrer que souhaiter satisfaire tous ses désirs peut également nous conduire au malheur. Ici, vous pouvez penser aux analyses de Descartes dans le Discours de la méthode lorsqu’il expose la morale par provision, 3ème maxime, en disant qu’il vaut mieux changer ses désirs que l’ordre du monde. S’agit-il alors de rejeter le désir, de considérer que nous ne devons plus désirer ? Un tel rejet du désir n’est-il pas un rejet du corps

(titre)] La première méditation expose conjointement les raisons de douter et les choses dont on peut douter.    2. Méditation   a) Forme : à la fois "mémoires" et exposé rationnel. Descartes expose sa pensée telle qu'il l'aurait pensée. Unité de la démarche personnelle et conceptuelle. D'où le titre deMéditation, réflexion en acte.   b) Contenu-plan   • Origine du doute

psychologique 3°) Reflète les grands courants de pensée (psychologiques et religieux) -> pensée janséniste (renoncer à son bonheur immédiat pour assurer son salut) -> grandeur cornélienne (sens de l’honneur, noblesse de cœur) -> pensée Cartésienne (Descartes) : Traité des Passions La raison doit toujours maîtriser/réprimer les émotions, les élans du cœur Mme de La Fayette ne signe pas car Roman = genre méprisé Pour l’Église : Roman = mensonges Au XVIIème , 2 genres roi : -> théâtre (tragédie,

besoins ont une origine sociale (donc culturelle) : une maison paraît trop petite si un palais se construit à côté d’elle. Le désir est-il source de bonheur ou de souffrance ? Le fait de désirer témoigne de notre finitude, de notre imperfection. DESCARTES, Méditations métaphysiques, III : le fait de douter et de désirer prouve qu’il me manque quelque chose. PLATON, Le Banquet, « le mythe d’Aristophane » : nous désirons notre moitié (qui nous a été retirée par Zeus pour punir les premiers hommes

causalité entre des phénomènes du monde : entre deux phénomènes, quel est celui qui est la cause et celui qui est l’effet ? Ou quel est l’ordre d’antériorité ou de consécution entre deux choses qui sont ? Si on a compris que la connaissance c’est le discours vrai qui exprime l’adéquation de la cause et de l’effet, on pourra dire que la connaissance de ce qui est nécessaire (qui ne peut pas ne pas être), dépend de la capacité à déterminer cette relation. Voila pq la connaissance rationnelle de ce qui