Descartes Je Pense Donc Je Suis

à une possibilité morale ( Est-ce permis ? ) Cela renvoi donc à nous demander; si cela est bien légitime, mais aussi si cela est-il possible voire si nous en avons le droit ? Ainsi pouvons nous vivre des expériences sans moi ? Mais la question qui pose réellement problème et qui ouvre débat est : Le moi existe - il ? Est-ce que en notre personne le moi existe-t-il réellement ? C’est ainsi que nous pouvons nous reposer sur Descartes qui lui , observe que même lors de nos phases de sommeil

d'imperceptible (atome) et l'esprit serait quelque chose d'immatérielle qui permet de dégager du sens à la réalité. D'après Hegel dans La Raison dans l'Histoire, l'esprit germe dans la pensé de l'individu. Il a une réalité concrète car il se retrouve dans la pratique culturelle de chaque peuple, il y aurait donc interaction entre l'individu et l'esprit de son peuple. On peut voir un exemple avec la notion de liberté; chez les grecs, liberté est synonyme de non esclave. Aristote dans sa philosophie

même) ». Définition double :  « c’est la connaissance qu’a l’homme de ses pensées, de ses sentiments, et de ses actes. On distingue généralement la conscience spontanée (immédiate) laquelle renvoie à la simple présence de l’homme à lui même au moment où il pense, agit, sent, etc., et la conscience seconde (réfléchie) qui est la capacité de faire retour sur ses pensées, actions, et de les analyser, voire, de les juger ». La conscience spontanée accompagne

La découverte métaphysique de la conscience : 1ère découverte de Descartes  le cogito ergo sum Le « daïmon » invoqué par Socrate était une sorte de voie intérieure, philosophique, qui était en réalité la voix de sa conscience. 1) Les étapes du doute cartésien : Le 1er doute doit porter sur les choses sensibles, CAD sur la réalité. Concernant les sens, ils peuvent être trompeur (ex : illusion d’optique) il faut donc douter de nos sens. « Pourquoi ne puis-je être fou » : rejet de cette

La conscience Plan INTRODUCTION I- DESCARTES : LA CONSCIENCE COMME ENTITE ET COMME TRANSPARENCE A SOI A- La découverte du cogito (commentaire de la 4ème partie du Discours de la méthode de Descartes) B- Descartes érige donc la conscience, comme fondement de toute certitude. Elle est ce qu’il y a de plus certain au monde C- Ce qui est encore plus important, c’est que Descartes fait de la conscience un objet, un "moi" spécial, auquel on peut avoir accès II- LE MOI EN QUESTION

n’a jamais trouvé son Moi mais des perceptions. Comment peut-il savoir qu’il s’agit de ses perceptions ? LOCKE « Penser consiste a être conscient du fait qu’on pense. Il est impossible de percevoir sans percevoir qu’on perçoit. Par ce fait chacun est à l’une même ce qui appelle soi. » I- Le sujet comme substance pensante DESCARTES « Médiations métaphysiques » Substance = sub = sous et stare : apparence = ce qui se tien dessous les apparences qui peuvent se manifester sous une chose. C’est

connaissance de soi-même semble familière à l’homme. Seul être doté de conscience, l’homme est capable d’avoir connaissance de qui il est, de façon intuitive, elle lui apparait comme acquise. L’homme pense se connaitre par le biais de sa nature, de sa personnalité, de ses choix mais surtout de sa pensée. La faculté d’avoir conscience passe par la connaissance qui vise à se faire une représentation de soi-même par la saisie immédiate de ses actes, desseins et états. Cette conscience de soi prend

 Le Discours de la Méthode Le Discours de la Méthode témoigne de l’apprentissage de Descartes qui parvient à atteindre la vérité par l'utilisation de sa raison en appliquant sa méthode. Il montre d’abord l’intérêt et le fonctionnement de la méthode pour lutter contre toutes les connaissances déjà acquises et partir avec de nouvelles bases, puis montre son application d’une part, philosophiquement, en prouvant dans un monde dont on peut se douter de tout, l’existence du sujet pensant et de Dieu

l’homme-> dans ce car l’homme n’est pas vraiment l’Homme Le nominalisme mettait en périls la science -> car il est abstrait L’humanité n’est elle qu’un mot ? -> les hommes peuvent aller se battre pour cette valeur -> il y a eu des sacrifice en son nom -> donc pas simplement un mot Le conceptualisme de Pierre Abélard -> à composé une synthèse de ce conflit -> pour lui l’universel n’est pas une chose -> réalistes ont tort -> pour lui les nominalistes ont tord aussi car pas une chose -> c’est un concept

Conscience. Le mot apparaît au 17ème siècle. Avant, on ne trouvait pas ce mot mais on en parlait en utilisant d'autres synonymes tels que -Pensée (Pascal) -Reflexion -Ame (Aristote) (de nos jours, il s'agirait plutôt d'un champ religieux). Bien que le mot apparaisse au 17ème siècle, même chez Descartes il n'apparaîtra pas (il utilisera âme et je pense). Descartes emploie très rarement le mot de conscience mais c'est lui qui va clarifier le concept et il va tellement clarifier ce mot de conscience