Descartes La 6ème Méditation Métaphysique

Ledoux Bibliographie :  Dostoïevski, L’Idiot Epictète, Entretiens, livre III, chapitre XII « De l’exercice » Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs, 2ème section, Sur l’expression courante « il se peut que ce soit juste en théorie, mais en pratique cela ne vaut rien », Idée d’une histoire universelle, 6ème proposition, Conflit des facultés Descartes, Discours de la méthode, Les passions de l’âme Spinoza, Ethique de Spinoza, l'appendice au livre I, livres IV et V, Correspondance : Lettre

la vie par des récits fabuleux (mythos). Philosophes du 6èmeS avt J-C : passage du Mythos              Logos But : Chercher le principe unique de toute chose (explication + scientifique)   La philosophie nait en Grèce en Ionie (cotes turques) au 6ème S avt J-C. Suite à l’invasion des Perses. Au 5ème S à Athènes. Evénement fondateur : Procès + mort de Socrate en 339 ACN   Présocratiques = Précurseurs de la rationalité (principe de toute chose):   -          Thales : (Ionien début 6e S ACN)

Le Discours de la méthode de Descartes. 　 1636 Rédige le Discours de la Méthode publié en 1 637. 1641 Publication des Méditations Métaphysiques. 1644 Les "principes de la Philosophie". 1649 "Les Passions de l'Ame". 　 Introduction : Le Discours de la méthode est une recherche de la vérité dans les sciences = thème. Il s’agit d’un discours dans lequel le penseur met en avant une méthode pour trouver la vérité. Sa rédaction est assez autobiographique car elle correspond à son cheminement

dérivée puisqu’ils ne peuvent exister en dehors des substances. Une fois cela établie, on peut poser la question : « un homme est une substance, mais ne faut-il pas dire aussi qu’un moi est une substance ? » Cela c’est ce que pense Descartes contre Aristote. Pour Descartes il y a dans l’homme une âme qui est une substance au même titre qu’il y a un corps (aussi substance), et l’union de l’âme et du corps produit un homme tout entier qui constitue une troisième substance. Le mot « moi » désigne une

est comme moi. b. Rappel 1 : A-t-on déjà vu autrui ? Oui avec Descartes, c’est dans seconde méditation métaphysique, ( §11/12/13. Episode dans lequel il a constaté qu’il connait l’existence du morceau de cire par la seule inspection de  « l’esprit » - entendement -, mais que la perception est incapable de lui fournir une connaissance certaine de la nature du morceau de cire – même dans la 6eme méditation la perception fournira une expresse, sans certitude), qu’il traite le cas d’autrui

spéculative Philo pratique (triple pv de protéger, dominer, transformer) → dans l’intérêt de l’H Ex : Descartes dans Principes de philosophie compare philo à un arbre où racines = métaphysique, tronc = physique, branches = médecine, mécanique, morale Connaissance des lois de la mécanique → élaboration techniques nvelles → augmentation de la puissance humaine * Descartes → puissance technique vise à l’éthique (= à la bonne santé de l’H → donc à sa liberté) Il considère que la bonne

: critère politique de la majorité= politisation de la vérité. Eriger en vérité absolue l’existence de la majorité : Est-ce suffisant pour faire la vérité ? Puisqu’on sait que la majorité peut s’égarer. L’angle de la critique platonicienne est métaphysique. Il suppose que la vérité n’est pas matérielle  elle se situe dans les Idées (Eidos = pour lui, les idées ont une existence… Une idée est une entité/ un « objet » immatériel, éternel, non susceptible de dégradation… Ces « objets sont connaissables

physis, croître. Autrement dit, le domaine de la physique c’est le mouvement. Ca s’oppose donc à la métaphysique : au dessus de la physique. C’est ce qui s’occupe de ce qui ne bouge pas. Chez Aristote et Platon, c’est la science des premiers principes et des premières causes (Dieu pour Aristote et idées pour Platon). L’objet de métaphysique chez Descartes, c’est Dieu et l’âme. L’autre nom chez Descartes, c’est la philosophie première, fondatrice. Donc la physique, c’est la philosophie seconde jusqu’au

que je souffre, etc. mais il ne me fait point connaître ce que je suis, la nature de ma pensée, de ma volonté, de mes sentiments, de mes passions, de ma douleur, ni les rapports que toutes les choses ont entre elles. » (IIIème entretien sur la Métaphysique et la Religion, 1688). Autrement dit, la conscience nous permet de capter l’existence de notre être et de tout ce qui l’affecte mais ne nous livre pas leur essence : elle m’apprend que je suis là, maintenant, que je ne suis pas rien mais bien

transformé la culture de laquelle ils étaient issus à différents niveaux : la nourriture (cacao, épices, tabac, maïs, sucre,…) ce qui signifie que le schéma d’une simple accumulation ne tient pas puisque ces deux cultures se sont interpénétrées. 6ème chapitre : Histoire stationnaire et histoire cumulative Ce référentiel stationnaire et cumulatif est-il fondé ou résulte-t-il d’une approche ethnocentriste (p.42) ? Le jugement porté sur une culture est toujours relatif à l’observateur, il n’y