Description D Un Lieu Sordide

suffixe péjoratif : " noirâtre "(L9), " blanchâtre "(L22), ‘’bleuâtre ‘’(L28). La présence de la mort, du mal être et du malheur sont omniprésentes dans cet incipit par les couleurs prédominantes des couleurs sombres qui rappellent l’aspect sordide de la description : ‘’ombres ‘’(L4) et (L10), ‘’ ternes’’(L29), ‘’ténèbres’’ (L34), ‘’ligne noirâtre’’(L9), ‘’obscurité’’(L22) ; ces expressions rappellent l’atmosphère mortel qui jouera un rôle d’effet d’annonce. Tout ce qui se rapporte à une lumière naturelle

relevé issu d'une enquête de terrain. La représentation complète de la Morgue est d'un réalisme atroce : Zola nous décrit l'odeur qui y règne. L'auteur privilégie les descriptions sordides. mile Zola peint dans ce roman le Paris de cette époque et surtout la vie, les sentiments de Thérèse Raquin, sa passion, ses tourments. La description d'un dépôt mortuaire est un document traumatisant du naturalisme. Plus que tout, Thérèse Raquin se veut une analyse des effets de la confrontation entre des personnages

Magasin des suicidesMon premier ressenti à la lecture : Dans quelles mesures cette scène est-elle visuelle ? (sur quoi repose la dynamique du texte ?)Sur les dialogues Ponctuation = intensité du discoursLa description du magasin nous aide aussi à imaginer le décorLe langage familier nous donne l’impression de faire partie de la scène comme si un proche nous parlait. Elle répète tout ce que dit son client ce qui crée un rythme dans la scène. La narration ne prend pas bcp de place ds ce

Décrire un personnage CAP 1ere année Objectif Séances Séance 1 Savoir lire et écrire des descriptions Rubriques Lecture Objectifs Lire et comprendre une description Relever les éléments qui caractérisent un portrait Titre du cours Les caractéristiques d’un portrait Durée 2H Deux extraits de textes : Texte 1Les misérables V Hugo Texte 2 Une partie de campagne Maupassant Séance 2 Identifier les règles d’accord des adjectifs Séance 3 Orthographe Se concentrer pour écrire un texte

allons ￩tudier, Zola d￩peint le lieu de vie sordide de son h￩ro￯ne avec une pr￩cision chirurgicale, avant m￪me de parler d'elle et de son histoire. Nous verrons quel est l'int￩r￪t romanesque de l'apparition de la boutique et de Th￩r￨se. Dans une premi￨re partie nous ￩tudierons la pr￩sentation de la mercerie et dans une seconde partie le portrait de Th￩r￨se Zola en naturaliste d￩crit la ruelle et la boutique de Th￩r￨se tr￨s pr￩cis￩ment. Premi￨rement il d￩taille le lieu, le passage du pont-neuf pour

un tel milieu. Cet exposé théorique est cependant loin d’être ennuyeux. Comment le narrateur parvient-il à capter l’attention du lecteur avant même le début de l’histoire ? Nous étudierons d’abord la présentation de ce projet romanesque, puis la description des bas-fonds parisiens pour nous interroger finalement sur l’angoisse suscitée chez le lecteur. Cet incipit n’est pas narratif : avant de narrer son histoire, le narrateur veut conclure un pacte avec son lecteur et justifier sa démarche.

les plus grands malheurs une beauté notoire. La ville désigne toujours chez Baudelaire Paris. Le poète y a d'ailleurs vécu la plus grande partie de son existence. Il a connus cette ville sous tous ces états. Mais Paris c'est aussi le lieu de tous les possibles, lieu de rencontres infinies. Baudelaire est d’ailleurs un "artiste voyeur" de la capitale. Il voit sa ville changer, avec les grands travaux d’Haussmann (1853 à 1870). Cette section montre Paris moderne, et c'est ce qui le rend malheureux

d’Emile Zola, une description détaillée du lieu, dans lequel va se dérouler l’intrigue, est produite. Cherchant à s’appuyer sur les recherches du célèbre scientifique nommé Claude Bernard, Zola trouvera son inspiration à partir de personnalités scientifiques. Celui-ci est alors un auteur naturaliste. Dans ce commentaire, on se penchera sur l’incipit du roman et plus précisément sur la description du passage du Pont-Neuf. Notre but serait alors de démontrer comment la description réaliste ressort-elle

gothique et du roman policier, Ferragus s’ouvre sur une description du Paris de la Restauration, qui fournit le cadre d’une double intrigue, amoureuse et financière. Ville de tous les contrastes, suscitant à la fois crainte et admiration, la ville fait l’objet d’une description réaliste mais que les accents lyriques du narrateur élèvent au statut de mythe. I. Les mystères de Paris : incipit et suspens 1. Une position stratégique Cette description constitue l’incipit du roman, ce qui donne à la

misère noire. Elle est logée sous les toits, dans des chambres inconfortables que le grand magasin met à disposition de ses vendeuses pour qu’elles soient sur place et donc plus rentables. L’extrait étudié montre une description détaillée des conditions de vie des vendeuses. La description réaliste met en relief la dureté d’un système et fait apparaître la face cachée du grand magasin. [Lecture] [Reprise de la question posée] Dans une première partie, nous brosserons un tableau réaliste de la