Description D Un Lieu Sordide

Charles Baudelaire. Poème extrait de la section « spleen et idéal » des Fleurs du mal, « une charogne » décrit la promenade d’un couple interrompue par une vision d’horreur : l’apparition d’un cadavre en décomposition. Baudelaire y fait la description d’un cadavre en putréfaction trouvé sur le bord de la route qu’il compare à sa compagne. Ici c’est la charogne et non la femme aimée qui est au centre du poème. Baudelaire détourne donc cette ode à la beauté féminine en éloge d’un cadavre. Charles

incontrôlable. Extrait de l’avant-propos à la Comédie humaine (p.372) La description balzacienne Présentation de la séance : Cette séance aborde l’écriture réaliste par le biais des procédés littéraires utilisés dans la description. Elle prendra appui sur les pages consacrées à la pension Vauquer dont on pourra effectuer la lecture analytique. Il s’agira de définir les caractéristiques, ainsi que les limites de la description réaliste, celle-ci n’ayant pas pour but de reproduire exactement la réalité

symbolique de l’extrait I- Un incipit réaliste A- Une situation géographique précise  Dans l’extrait, on peut remarquer que la description prend une fonction référentielle voire documentaire. La technique descriptive de l’écrivain rappelle celle de Balzac, c'est-à-dire qu’il s’agit de faire découvrir aux lecteurs, le plus précisément possible, le lieu principal de l’action. Dans le texte, la situation géographique est extrêmement précise puisqu’on trouve un parcours avec trois noms de rues

refléter la réalité de façon fidèle au niveau du cadre spatio-temporel. Puis, nous étudierons l’objectivité annoncée de l’auteur et enfin la qualité des descriptions qui renforcent l’idée du reflet exact du réel. 1e sous-partie : L’auteur donne un reflet fidèle du réalisme d’un point de vue spatio-temporel car lorsqu’il décrit un lieu, c’est un lieu existant à son époque, le XIXe siècle, donc bien réel. Comme par exemple dans Au Bonheur Des Dames de Zola, dans lequel le magasin où travaille Denise

Les misérables, Les contemplations. Le réalisme (1850-1880) : Là, on ne parle plus de sentiment mais de comportement. On décrit la nature de manière objective en respectant les faits matériels. On étudie l’homme dans son milieu. Le roman est le lieu où se réalise la confrontation d’un être, venu souvent du plus bas de l’échelle sociale, avec la société. L’un des buts des réalistes est de dénoncer les défauts de la société, notamment la bourgeoisie qui est réputée pour son étroitesse d’esprit

carrefour central, du quartier et du roman. Il se trouve précisément près de la barrière, lieu de passage obligé des ouvriers qui vont travailler à Paris. On le retrouve comme lieu principal dans le livre. C’est un lieu clos et étouffant. Zola en donnant ce titre, à délimité un périmètre bien précis, entre l’abattoir et l’hôpital jusqu’à la barrière. Le titre rend compte à la fois de la pesanteur d’un lieu clos, labyrinthique, dont les occupants, tous interdépendant, ne peuvent s’affranchir. Et

du personnage principal qu’est Claude. On retrouve une multitude d’indications sur sa vie. « Atelier » => il est peintre « Artiste flâneur » => déambule => erre  il n’a pas de repères. (Confirmé par la suite) L21 => Je sais où il habite Description physique mince : « Dégingandé »l6 (=désarticulé) « mains ballantes » l15 => personnage pas très à l’aise avec son corps. On sait que c’est un personnage seul l30 => il a peur d’un autre corps humain. Le cadre spatio-temporel, à savoir Paris

ennui, il n'est pas "celui qui" peut s'élever et se libérer. Il nous fait voir le but du poème au deux dernière vers qui est comprendre le monde. B)le monde de l’idéal a ce monde terrestre s'oppose le monde de l’idéal, le poète nous en fait une description bien précise. On en relève dans le champ lexical de la hauteur : "Par delà", "au dessus", "montagne", "éther", "sphères étoilées". Tout cela indique une progression, un élargissement qui lui permet de s’échapper du monde terrestre. Ce monde de

les personnages dans un lieu qui va les déterminer Lieu malsain, maladif, qui nous fait penser a la mort. Les êtres se comportent suivant des facteurs qui les déterminent, ils ne sont que des produits de leur condition humaine. Zola donne dès l’incipit l’explication de ce qui va suivre. Axe 1 : Une description réaliste d’un lieu étrange, le passage du Pont Neuf * Une description réaliste et minutieuse : -Le lieu (adverbes et prépositions rythment la description, noms des rues…) -L’apparence

richesse et l'acuité de l'observation humaine et sociale, qui passe par la littérature, se perd irrémédiablement dans la reconstitution historique soigneuse mais strictement descriptive Passage à analyser : Etude de Derville Longue description Très sale, lieux sordide. Montre que ya quand même de la place pour l’intelligence de grands penseurs comme Derville - Thème de la saleté - Thème de la justice et du droit Analyse : Saleté : - Champ lexical étoffé : puanteur, cartons jaunis par l’usage