Description De Rambert

pour aider les gens. Il accepte aussi la mort de sa femme après tout qu’il a passée avec la peste. Jean Tarrou : C’est un homme qui cherche la calme interne. Il se trouve par hasard dans la ville. Il aidera Rieux. Il moura de la peste. Jean Rambert : C’est un journaliste de Paris. Quand la peste arrive il veut s’évader parce que il y a son amie qui l’attend mais au moment qu’il pourrait s’évader, il reste pour aider Rieux et Tarrou. Scènes : Incipit Les pages 175 à180 (édition folio)

la visée de cet exrrait : I. LA NÉCESSITÉ D’UN BILAN On retrouve deux parties dont la 1ère est le 1er paragraphe dans laquelle le Rieux surplombe la situation et la 2ème est formée des deux derniers paragraphes dans laquelle on retrouve une description de l'apogée - Il manifeste sa présence pour introduire cette pause : → 3ème pers. du sing. « le narrateur »(L10) + 1ère pers. du plur. « nos concitoyens » (L9+), donc il est inclut: + « On le voit » l.3 le narrateur s’englobe avec les habitants

progression de l’intensité sonore des manifestations vocales de la foule : silence, puis successivement, chuchotements, exclamations, cris. 37. Enfin, on peut relever une progression dans le ton du récit : on passe de l’humour grinçant à la description froide d’une panique.   3/ La mise en spectacle du fléau de la peste     38.  Nous sommes à peu près au milieu du roman : c’est à ce moment que Camus a choisi de faire culminer les manifestations de la peste en là-dedans en spectacle à toute

de Paneloux - engagement de Rambert dans la résistance Narrateur Narrateur anonyme PARTIE II : Phase de développement de la maladie (9 chapitres) - emploi de la première personne du pluriel : « la peste fut notre affaire à tous » - réflexion sur le héros et sur la résistance (chapitre 8), ce qui permet de faire le lien entre la peste (roman) et la guerre (Seconde guerre mondiale) « le narrateur croit qu'il convient de décrire la situation générale » : description des enterrements (ici, on ne

comme un malaise existenciel de l’auteur. Nous pouvons nous demander quels sont les enjeux et les particularités de ce poème ? Nous verrons, comment, en racontant ce combat entre l’epernce et l’angoisse, Baudelaire nous propose ici une description du spleen Le texte est composé de cinq quatrains et est repartit en deux phases, une de quatre quatrains, l’autres d’une seul, cela pourait etre synonyme d’un changement de situation. Dans les trois premiere stophes le rythme est l’anguisssant

en particulier, qui se trouve dans la partie IV, section trois, lorsque on évoque l'agonie du fils d'un juge d'instruction, M. Othon . De quelle manière la peste est elle perçu dans cet extrait ? Dans une première partie, nous allons voir, une description réaliste avec la souffrance du jeune Othon et dans une seconde partie nous allons voir, l'impuissance face a cette peste . Dans la ville d’Oran, une équipe de médecins et de volontaires luttent contre une maladie qui répand la terreur, La Peste

assiste à la progression puis au déclin de la peste, on en voit les effets sur la population. Albert Camus crée ainsi une situation expérimentale qui permet d’étudier ce que deviennent les hommes dans une période de crise. Le récit est ponctué de descriptions de la cité, présentée comme «une ville ordinaire ». p. 05. Elle est évoquée à travers les saisons, le temps qu’il fait, l’activité quotidienne: travail, marchés, transports, cafés, cinémas, les différents quartiers, la mer. « Cette ville

l’abstraction, avec des moyens appropriés, en oubliant les individus et toute faiblesse due à la sensiblerie. Il a perdu beaucoup d’illusions, mais il garde la nostalgie d’un univers humain transparent et chaleureux : Il s’adresse au journaliste Rambert avec "le langage d’un homme lassé du monde ou il vivait, ayant pourtant le goût de ses semblables". Celui-ci, dérouté par l’intransigeance de principe du docteur, contrastant avec sa tolérance à l’égard de son exigence de bonheur, finira par sympathiser

une histoire tragique, car nous pouvons nous apercevoir qu’à la fin du livre beaucoup de personne, dont plusieurs personnages principaux meurt de la peste ou d’autres causes. On remarque également qu’il y a un effet symétrique, car au début de la description de la ville d’Oran, le narrateur décrit la ville, comme « (…) Oran est, en effet, une ville ordinaire et rien de plus qu’une préfecture française de la côte algérienne » à la première page du livre, c’est une ville tranquille, donc on en déduit

celui-ci est-il représentatif du profiteur de guerre ? Il s’agira de présenter le personnage pendant les diverses parties du livre, puis de faire une analogie avec la Seconde Guerre Mondiale et enfin de montrer la vision de camus sur cet homme. I. description du personnage Avant tout, il est surnommé le « désespéré » (p37), à la suite de sa tentative de suicide qu’il met sur le compte de « chagrins intimes » (p37-38). Nous pouvons également supposer, par raisonnement, qu’il est idiot car celui-ci est