Description Ornementale

d'inventaire est le E 874. Il est en bon état de conservation. C’est de ce vase qu’est tiré le nom du peintre. Il s’agit de son vase éponyme. Problématique : Le Peintre de la Gorgone, entre héritage et nouveauté artistique. I – L’œuvre A/ Description * Il s’agit d’un vase composé de deux parties : un large bol et un haut pied mouluré. Le dinos repose sur un socle séparé, il présente 9 frises d'animaux et 5 frises uniquement florales et une frise figurée. Sur la lèvre, nous avons une

Problématique: Quel portrait Balzac fait-il de ce personnage? I. Une description très picturale 1) Mise enscène du personnage (mouvement, décor: apparait dans les escaliers) 2) Description faîte comme celle d’un tableau (ordre de la description, place accordée aux yeux: description faîte par N. Poussin un autre peintre) 3)Comparaison directe à une toile de Rembrandt, II.Une description double 1) Frenhofer= un sage (comparaison avec Socrate et Rabelais etc…)

sens. Ou plutôt dans la description d'un objet d'une banalité déconcertante, dont il va bien vite s'écarter. Car ce poème en prose est une symphonie de perceptions, de mouvements et sensations, d'images. La réalité entraperçue à la lueur d'une bougie, c'est un autre monde, celui de la littérature...[alinéa 3 : annonce des grandes lignes du plan adopté pour le développement argumenté du commentaireDans un premier temps, nous étudierons le caractère inaccoutumé de cette description, puis nous nous intéresserons

sublime ce qui par cela seul qu’on peut le penser, démontre une faculté de l’âme qui dépasse toute mesure des sens. »§25 De plus, Kant affirme que le Sublime est toujours grand et requiert de la simplicité alors que le beau peut-être petit et ornemental (p21) Nous nommons sublime ce qui est absolument grand, au-delà de toute comparaison ; ou bien on peut dire que ce en comparaison de quoi tout le reste est petit. C’est ce que ne peut pas offrir la nature. Cela prouve l’existence d’une faculté

baroque se développe entre 1580 et 1650, en réaction aux incertitudes et aux bouleversements du XVe siècle. Il connait son apogée entre 1620 et 1640. L’esthétique baroque est marquée par l'exubérance, le foisonnement de l’écriture et la surcharge ornementale, dominée entre autres par l'alambique rhétorique et la multiplication de figures de style comme la métaphore. On a donc une récurrence de thèmes comme l’inconstance, l’illusion (pièce de théâtre L'Illusion comique de Corneille), la métamorphose

l’œuvre d’un seul homme. Il est comme la bible et le talmud le résultat de la lente élaboration de nombreuses générations. Une première collection en fut réalisée en Babylonie de 869 à 886. Elle contient les prières de toute l’année ainsi qu’une description détaillée des cérémonies et usages religieux et constitue en ses grandes lignes la charpente du rituel. La Torah orale a donné naissance au Talmud, dont la version de Babylone, achevée au 4ème siècle, texte sacré du judaïsme moderne, fait aujourd'hui

défigurent les modernes : « Certaines maladies qui détruisent tant de beautés et défigurent les corps les plus parfaits étaient encore inconnues des Grecs. Dans les écrits des médecins grecs on ne trouve aucune mention de la variole, et dans aucune des descriptions de corps grecs qu’Homère détaille souvent jusque dans les moindres traits, ne figure un signe aussi caractéristique que les marques de petite vérole. Les maladies vénériennes, et le rachitisme qui en est la conséquence, n’exerçaient pas non plus

de l’étude des phénomènes sensoriels (lumières, sons, odeurs 5) et des relations entre art et liturgie là aussi fondée sur des considérations anthropologiques et  épistémologiques 6. les transferts d’idées et leurs sens, les évolutions techniques et  ornementales sont les indicateurs de mutations sociales et culturelles autant que les  indices favorables à la définition d’une vision spatiale. l’architecture est devenue,  comme énoncé il y a peu 7, le laboratoire commun à de multiples disciplines 8. De fait

symbolisme en guise d’explications). Matière prévue : essai d’analyse du texte de Huysmans  ANALYSE INTERNE > ANALYSE EXTERNE * Que se passe-t-il ? - des Esseintes contemple deux peintures de Gustave Moreau mettant en scène Salomé : description + mini-critiques d’art + rêve sur la base de ces peintures ; < REM : lien manifeste entre le texte de la Bible (son personnage et son histoire) et le texte de Huysmans : comment nommer ce lien, ce dialogue ? l’intertextualité ; * de quelle

de tout ignorer de son personnage. * Le topos du nouveau : l’évocation d’un personnage découvrant, en même temps que le lecteur, le monde de l’histoire, naturalise la présentation de l’univers fictif. * Le topos du dévoilement : la description de l’aube, du lever du jour, permet de dévoiler progressivement et « naturellement » l’espace de l’intrigue. * Le narrateur : statut et fonction . Les quatre statuts possibles * Le narrateur extradiégétique-hétérodiégétique :