Description Personnages Phèdre

de nombreux recueils de fable, appelés isopets, sont constitués. Les origines du genre : Esope (VII-VI siècle AC) Phèdre (auteur latin, -15/50 ap JC) La matière de la fable : Des récits vivants et variés : les récits sont brefs, les discours et les personnages sont présentés rapidement. Des personnages variés : des hommes, des animaux, des végétaux et des objets. Des descriptions pittoresques Des dialogues Des dialectes que l'on peut retenir facilement (visée dialectique). Cependant, dans la fable

 Victor Hugo introduit un long poème de 344 vers : Réponse à un acte d'accusation. Dans se dernier Hugo se souvient du combat qu’il a menée contre le classicisme et qui a révolutionné la littérature française. Dans cette œuvre ou les mots sont les personnages, Victor Hugo y développe une défense de son action personnelle et dresse un tableau de la langue et de la littérature française avant le romantisme. Le titre du poème présente l’œuvre comme une défense de Hugo, mais il nous indique aussi que nous

Caractéristiques des fables de la Fontaine [*1621 †1695] Le terme «fable» est dérivé du mot latin «fabula» et désigne un genre littéraire hérité de l'Antiquité, illustré par Esope et Phèdre. La fable se rattache à divers genres littéraires: • à la poésie par l'emploi des vers, • au récit par les éléments narratifs et descriptifs, • au genre dramatique par le déroulement de l'action et du dialogue. Les traits typiques de la fable sont: la présentation et la critique des hommes sous le déguisement

il a inventé le genre de la fable, c’est un texte court, en prose qui termine avec une morale et il emploie des animaux pour moins choquer le lecteur et mieux faire la satire des hommes. Ses fables ont inspiré des auteurs européens et arabes dont Phèdre Ier siècle av JC et la Fontaine au XVIIème siècle. 3) Présentation du texte * Dans cette fable un aigle et une renarde deviennent amis jusqu’à la trahison de l’aigle et la vengeance de la renarde. LECTURE 4) Problématique (=question du

apologue ? Du grec « apologos » qui signifie « langage sous le langage», l'apologue est un genre littéraire qui appartient au registre didactique et dont la visée est d'instruire le lecteur tout en le divertissant. Dès l'antiquité des auteurs comme Phèdre et Esope se sont donnés pour mission d'offrir des lecons de sagesse avec des textes simples à comprendre et d'une grande brièveté. Au 17 eme la fable connaît son heure de gloire avec le fabuliste Jean de La Fontaine et la naissance du conte philosophique

Cet ancien esclave qui aurait vécu au VIe siècle av. J-C a laissé des centaines de fables en prose mettant en scène des animaux et développant une morale facile à comprendre. La tradition ésopique s’est ensuite transmise grâce au fabuliste latin Phèdre au Ier siècle, puis grâce à l’humanisme au XVIe siècle qui a donné des traductions et des imitations des fables antiques, et enfin grâce à l’œuvre de La Fontaine au XVIIe siècle qui s’est inspiré des Anciens. • Depuis l’antiquité, l’apologue a

INTRODUCTION. Avec l’apparition de la Fable dans l'antiquité par Esope et Phèdre, genre qui permet aux écrivains du classicisme de pouvoir critiquer la société tout en évitant la censure. C’est au XVII siècle que Jean de La Fontaine nous fait redécouvrir la fable, où il réussi à nous faire passer une morale tout en faisant parler des animaux ou/et des végétaux en les comparant souvent aux gens de la cour. Le livre Fables de Jean de La Fontaine, publié entre 1668 et 1694, compte 243 fables écrites

dissimuler dans un placard comme un personnage de farce tandis que l’amour impossible entre les deux jeunes gens et leur mort à la fin de la pièce constitue l’aspect tragique de la pièce qui restera l’un des exemples les plus critiqués de remise en cause des règles classiques. Les auteurs ne s’attaquent pas seulement à la différence entre «genre noble» et «genre bas», mais ont également eu le pouvoir de remettre en cause leur société, ainsi dans Dom Juan de Molière, le personnage éponyme est un libertin de

leurs similitudes. Le loup et l’agneau. Cette fable est inspirée d’un apologue du fabuliste grec Esope, et du fabuliste latin Phèdre. Ici, la morale, « la raison du plus fort est toujours la meilleure », est située à l’ouverture du texte. La situation initiale nous est ensuite présentée. Après cela, il y a dialogue qui met en relief la thèse des deux personnages, et enfin la séquence finale. Lors du dialogue, le loup présente une série d’accusation pour justifier son acte. Il y a donc la thèse

évoqués notamment par Boileau dans son Art poétique. « Que dès les premiers vers, l'action préparée Sans peine du sujet aplanisse l'entrée ». Efficacité dramatique de cette ouverture : -introduit immédiatement les différents personnages présents sur scène : (« Ruy Blas » nommé dès le premier vers, « Gudiel » dès le vers 4 et Don Salluste « chef de la maison de Bazan » vers 17) -Présentation de la situation de disgrâce de Don Salluste dès le vers 4 «renvoyé