Description Personnages Phèdre

non plus Dieu). - Goût de la surprise, de l’étonnement, du mouvement, pour provoquer l’admiration du lecteur ou du spectateur  - Reproduire la plénitude de la vie hors de toute contrainte rationnelle, d’où l’abondance luxuriante dans la description, ou l’hyperbole excessive dans l’expression des sentiments  - Art de l’ostentation, du trompe-l’œil, de la métamorphose, de l’instabilité, de l’illusion Thèmes : - L’illusion et l’instabilité, les métamorphoses du monde et des êtres

fonctionnement allégorique qui autorise une argumentation indirecte. Ils visent en effet à convaincre et persuader le lecteur indirectement, par un récit fictionnel arrangé, ordonné, destiné à présenter des idées, des valeurs symboliques, à travers • des personnages de fiction (hommes, dieux, animaux, végétaux...), à la fonction référentielle et symbolique s’inscrivant dans une tradition culturelle, • des situations initiatiques qui révèlent cette valeur symbolique, • des dialogues qui créent des pauses

comique de la scène repose en grande partie sur le quiproquo ayant lieu entre les deux personnages à propos du ruban que la jeune femme a offert à l’élu de son cœur. L’affolement du vieil homme, décelable grâce à ses nombreuses interjections et exclamations mais également via ses prises de parole très courtes, s’opposant au calme innocent et joyeux d’Agnès crée une rupture de taille entre les deux personnages, créant ici un fort comique de situation. Pour terminer, l’inexpérience d’Agnès, montrée

Proposition de lecture analytique pour l'exposition de Ruy Blas (acte I, scène 1) ✔ La fonction d'une exposition est d'abord d'informer (mise en place de l'intrigue, présentation des personnages, ancrage dans un lieu et une époque), mais aussi de séduire : il faudra étudier comment cette première scène s'articule autour de ce double objectif d'information et de séduction. Notons qu'en réalité l'exposition à proprement parler s'étend sur tout le premier acte : mise en place du motif de la vengeance

exposition est d'abord d'informer (mise en place de l'intrigue, présentation des personnages, ancrage dans un lieu et une époque), mais aussi de séduire : il faudra étudier comment cette première scène s'articule autour de ce double objectif d'information et de séduction. ✔ Notons qu'en réalité l'exposition à proprement parler s'étend sur tout le premier acte : mise en place du motif de la vengeance

ressources disponibles, de sa plus jeune fille. D’autres auteurs décrivent quant à eux une toute autre société, celle de l’aristocratie et de la bourgeoisie. Dans son roman Madame Bovary, Gustave Flaubert décrit avec une grande précision Charles Bovary, personnage purement aristocrate, et en dresse un portrait précis, plongeant le lecteur dans l’espace où se déroule l’action. Il le décrit, non sans ironie, d’ « une de ces pauvres choses […] dont la laideur muette a des profondeurs d’expression comme le visage

FICHE AUTEURS HUMANISTES : Erasme : 1469-1536. Eloge de la Folie(1509), Essai sur le libre arbitre. Thomas More : 1478-1535 Utopie(1516), = description d’une ile idéale. Rabelais : 1483-1553 Pantagruel(1532)= éloge du savoir, érudition, éducation…., Montaigne : 1533-1592 Apologie(1580)= homme sous l’influence de ses sens. Le savoir prime. PLEIADE Joachim du Bellay : 1522-1560 Défense et illustration de la langue Francaise(1549) Ronsard :1524-1585 Utilise l’ode, le sonnet

Nombreuses sont les fables connu et reconnu encore aujourd’hui comme Le Corbeau et le Renard, Le Chêne et le Roseau ou Le Loup et l’Agneau. Il remet au goût du jour le genre de la Fable au 17ème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope et de Phèdre. La forme de la fable correspond parfaitement l’idéal classique de brièveté, et du «plaire et instruire». La Fontaine a écrit deux recueils de fables qui sont divisés en livres. Le premier a été publié en 1668, c’est une dédicace au Dauphin et le

été rédigées à travers le temps, la première remontant à la Babylonie du XVIIIe ou XVIIe siècle avant JC. Le récit est composé de cunéiformes inscrits sur des tablettes d'argile, et il s'inspire de plusieurs récits. Ces récits mythiques ont pour personnage principal Gilgamesh, demi-dieu et roi de la Grande Ourouk, antique cité mésopotamienne. Il est puissant mais cruel et opprime son peuple. Pour le punir, les dieux décident de lui faire goûter à l'humanité, dont il ignore la saveur. Dans son cœur

Lecture analytique LA FONTAINE « le coche et la mouche » Fable inspirée de Phèdre (la mouche et la mule) « faire la mouche du coche » Comment LA FONTAINE parvient-t-il, dans un texte bref et amusant, à faire une satire de la société de son temps ? I/ L’art du récit A) construction de la fable Schéma narratif : Vers 1 à 5 : situation initiale (« dans un chemin ; femmes, moines, vieillards au soleil exposé » ) Effet d’attente vers 3 et 4 (verbe à la fin) Présent de narration