Description Personnages Phèdre

entre la poésie et l'amour ne sont donc plus à démontrer. La forme poétique se prête en effet particulièrement à exprimer ou à servir l'amour. [Phrase d'annonce de la deuxième partie] La poésie n'a pas toutefois l'apanage de l'expression ou de la description de l'amour. D'autres formes littéraires ont pour thème principal l'amour. En premier lieu, on constate que le roman d'amour est un genre à part entière, aussi ancien et aussi vivace que la poésie amoureuse : de Tristan et Iseut à Belle du Seigneur

détournés sont parfois les meilleurs ; et quand ils ne le seraient pas, ils n’en présenteraient pas moins d’avantages. C’est ce que La Fontaine, renouvelant au XVIIème siècle le genre antique de la fable en mettant en vers celles héritées d’Esope et de Phèdre, avait bien compris. Son projet, qu’il adresse au Dauphin, est porteur d’une ambition pédagogique claire. Par l’entremise d’une petite histoire, illustration plaisante et divertissante, la fable favorise l’accès, dès le plus jeune âge, et quel que

discours est plutôt délégué à un narrateur et à des personnages, nous aurons alors affaire au récit et à la fiction, au genre général de l’apologue. Quant au dialogue, il appartiendrait aux deux types puisqu’il est une argumentation directe, un débat entre plusieurs thèses ; mais il relève aussi de l’argumentation indirecte, de la fiction sous sa forme théâtrale ou romanesque. Le dialogue philosophique met en présence au moins deux personnages dont l’un est censé représenter l’auteur, faudrait-il

lieux dans Le colonel Chabert 4. Un héros à l’existence problématique Fiche méthode : Expliquer un texte descriptif Fiche méthode : Le vocabulaire de l’analyse littéraire Corrigés des exercices 5. La peinture d’une société : étude de trois personnages Fiche méthode : Le commentaire littéraire Corrigés des exercices 6. Le rapport des hommes à l’argent  dans des œuvres des XIXe et XXe siècles Corrigés des exercices Lecture cursive : Zola, La curée Séquence 3 – FR20 1 © Cned – Académie

Français : Livres 1°/ Sommaire * L’Assommoir de Zola * Le Mariage de Figaro * Phèdre de Racine * Gargantua de Rabelais * Madame Bovary de Flaubert * Les Femmes Savantes de Molière * La Parure de Maupassant * Jeannot et Colin de Voltaire * Le Mariage de Figaro de Beaumarchais * L’Avare de Molière * Une Vie de Maupassant * Le Tartuffe de Molière * Un Secret de Philippe Grimbert * Rhinocéros de Ionesco * La Leçon de Ionesco * Ruy

de vue. 3° Les personnages. 4° Les lieux . 5° Le temps. 6° Quel est le sens de l’histoire ? 1° Explication du titre, résumé et schéma narratif. Il s’agit d’expliquer en une courte phrase le titre de l’œuvre, dire quel est son sens. Dans un second temps, il s’agit de résumer l’histoire en quelques lignes . 2° Narration et point de vue. Vous devez préciser à quel(s) type(s) de narrateur(s) on a affaire et quel(s) est/sont le(s) point(s) de vue adopté(s). 3° Les personnages : Il s’agit de

les sujets d’invention Au-delà des épreuves du lycée, ces lectures vous invitent à des références qui développeront votre culture générale et citoyenne. Liste de lecture non exhaustive Théâtre : Corneille, Le Cid, L’Illusion comique Racine, Phèdre, Bérénice Molière, Dom Juan, Tartuffe, Le Misanthrope Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, L’île aux esclaves Musset, Lorenzaccio Rostand, Cyrano de Bergerac Anouilh, Antigone Giraudoux, La guerre de

mots dans une phrase. Effet de surpris. Antanaclase (féminin) : Une antanaclase est la reprise d’un même mot avec un sens différent. Exemple : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » (Blaise Pascal, Pensées, XXVIII) Antihéros : personnage qui ne possède aucune des qualités attribuées généralement au héros (courage,  moralité...). Anticipation : figure par laquelle on réfute d’avance une objection possible. Effet de persuasion. Exp: Il est vrai qu'il est logique de penser que les

parfois futile). Les personnages sont peu nombreux et sont pourvus d’une réalité psychologique, bien que celle-si soit moins développée que dans un roman. Quelques questions à se poser pour étudier une nouvelle (ou un extrait) : Les mouvements du texte : comment l’écriture et les personnages évoluent-ils ? Y a-t-il un événement perturbateur ? Quel est-il ? Les problématiques de l’écriture : en sait-on autant que le narrateur ? L’auteur paraît-il du côté des personnages ? Le cas échéant : peut-on

mythe suppose une continuité narrative. Elle demande un cadre, des personnages et une action. L’idée d’un dieu ou la foi en l’existence d’un héros ne suffisent pas à fonder un mythe. Ainsi, tandis que l’allégorie ou le symbolisme peuvent se résoudre dans la description, le mythe s’inscrit dans un déroulement chronologique. Sans doute, dès lors qu’est personnifiée une entité abstraite, la guerre par exemple, naît un personnage comparable aux dieux de certaines mythologies : l’Arès grec, en l’occurrence